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mercredi 27 juillet 2016

La gabegie continue à France Télé…au moment même où la CGC Média dépose une plainte en citation directe pour les délits, entre autres, de favoritisme, prise illégale d’intérêts, recel....


La gabegie continue à France Télé…au moment même où la CGC Média dépose une plainte en citation directe pour les délits, entre autres, de favoritisme, prise illégale d’intérêts, recel.... 

Il y a un moment où tout le monde se dit : Là, ça va ! C’est ce que se disent depuis l’été dernier la très très grande majorité des salariés de France Télés qui n’ont qu’un mot à la bouche « dégoûtés ». 

Il n’y a  pas aujourd’hui une personne interrogée qui n’ait à se plaindre des procédés et pratiques qui règnent au sein de l’entreprise, du cynisme, du mépris et du dédain subis au quotidien,  des oukases permanents de cette armée mexicaine, des avancées à marche forcée sur l’air de « si t’es pas content, c’est pareil » malgré les faux-semblants de soi-disant dialogue totalement absent, des dérapages perpétuels, du flicage des salariés, des annonces à l’emporte-pièce, bref du souk innommable et surtout du climat nauséabond style France Télécom en pleine période « chaude » qui pourrit tout en interne.

Les personnels en ont plus que ras-le-bol….ils n’ont plus qu’une idée en tête et sont persuadés qu’elle est l’explication à tout ce foutoir et cet amateurisme : alors même que le législateur avait prévu dans ses textes la nomination d’un professionnel du secteur à France Télés, force est de constater que c’est tout le contraire et que le parachutage de l’an dernier a été fait à dessein pour mieux torpiller la boîte et inciter l’actionnaire (l’État) à se désengager. 

Le nouvel article du « Canard enchaîné » de ce mercredi 26 juillet « France Télé au pays de cigales » la semaine même où le Conseil de la CGC des médias doit déposer une plainte en citation directe visant nommément quatre protagonistes, pour des délits, notamment, de favoritisme, de prise illégale d’intérêt, de recel sur le territoire national et à une date non couverte par la prescription, délits prévus et réprimés par les articles 432-12 et 432-14 du Code pénal avec, entre autres demandes, l’interdiction de gestion d’une entreprise publique –  est semble-t-il la goutte d’eau qui fait déborder le vase.

Alors même que l’ex Orange annonce un millier de départs (de salariés qui feraient valoir comme par enchantement leur droits à retraite et partiraient avec 6 mois de salaire en moyenne imposables de surcroît) et qui ne seraient remplacés qu’à moitié par de nouveaux venus, l’escapade dans Le Lubéron ne passe pas… mais alors pas du tout.

Le Lubéron où Michel Field possède une maison, à Saint-Satur­nin-lès-Apt, pour être précis (un des coins les plus chers de la région, soit dit en passant)


Extrait du portait de l’intéressé dans le VSD du vendredi 8 février 2008:

"Né le 17 juillet 1954 de Michel Feld­schuh à Saint-Satur­nin-lès-Apt, dans une maison louée à l’an­née par sa mère. Sa grand-mère, comé­dienne, avait élu domi­cile dans ce village du Lubé­ron car elle était tombée amou­reuse du maire. Dès que Michel a commencé à bien gagner sa vie, il y a acquis à son tour une maison."

Voici ce que nous révèle une fois encore le palmipède du jour :

« Lorsqu'il s'agit de gamberger sur l'avenir du service public et la stratégie de France Télés, le groupe ne lésine pas sur les sacrifices. Les 7 et 8 juillet, Delphine Ernotte a organisé un séminaire qui réunissait les 14 huiles du comex (comité exécutif) et les 10 excellences du comité stratégique de la maison. 


Dans le Pas-de-Calais ? Non, dans le chic cadre de La Coquillade, un humble Relais & Châteaux  classé 5 étoiles, planté au milieu des vignes du Lubéron, à 17 km d'un des plus beaux villages de France, Gordes.


Dans cette gentille auberge, avec ses « terrasses à l'esprit lounge », dixit le site Internet, ses piscines et son « spa de 1500 m², unique dans la région », la cogitation a dû être très rude. Et peu onéreuse. D'ailleurs, du côté de la présidence de France Télés, on assure que l'escapade n'a coûté qu' « environ 1000€ par personne ». Autrement dit, la plaisanterie dans le Lubéron aura coûté autour de 24.000 €. 


Ça aide à réfléchir. »



« Quand est-ce qu’ils dégagent ? » entend-t-on à la moindre conversation« On n’a jamais vécu ça, c’est totalement pourri » ajoute l’un…« Y en a marre, ils n’ont rien compris » enchérit l’autre, « ils nous prennent pour de la m… » conclut cette dernière, etc….et ce ne sont quasiment, là, que les réactions le plus dicibles!

La rentrée à France Télé devrait être plus que chaude pour ne pas dire explosive…judiciairement parlant comme socialement disant.

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