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lundi 19 septembre 2016

Décryptage qu’il disait le couple Field/Ernotte…59 journalistes déplorent aujourd’hui l'image "ternie" de la radio par celle de la télé.



Décryptage qu’il disait le couple Field/Ernotte…59 journalistes déplorent aujourd’hui l'image "ternie" de la radio par celle de la télé. 

Il n’aura pas fallu longtemps pour que « franceinfo  » (la radio) dénonce  l'image "ternie" que renvoient la télévision et le site web quasiment éponyme « franceinfo : ».

59 journalistes de Radio France, dont des rédacteurs en chef et des chefs de service, l’ont fait savoir dans une motion consultée par l'AFP :

"La direction ne peut plus ignorer la déception, la colère, les inquiétudes de 59 journalistes de la rédaction", soulignent ceux qui représentent un tiers des journalistes de la radio. 

Ils déplorent que la chaîne de télévision ait "annoncé 'une prise d'otage en cours à Paris', interrogeant ensuite la cliente d'un salon de coiffure et lui conseillant de 'rester à l'abri' !". Les journalistes écrivent ensuite que "la radio n'a pas fait cette erreur parce qu'elle a pris le temps de vérifier l'information", ajoutant qu'il "est inenvisageable que la télé ou le site internet qui portent le nom de la radio continuent de diffuser des informations contradictoires avec l'antenne radio, voire carrément non vérifiées."

"Décryptage" qu’il disait le couple Field/Ernotte…"Prudence et recul nécessaires" qu’il ajoutait l’imperturbable duo largement discrédité.

"La radio n'a pas fait l’erreur de « franceinfo : » parce qu'elle a pris le temps de vérifier l'information"…ça c’est pour la crédibilité et le recul ernotto-fieldien !

Les 59 journalistes exigent à présent des "garanties d'urgence", notamment sur la "cohérence éditoriale" entre les différentes antennes. Ils réclament également "un site internet qui reflète enfin le travail de la radio dès cette semaine", ainsi que l'ouverture d'une négociation sur l'encadrement de leur droit à l'image avant le 15 octobre. 

L’ex Orange dont les jours semblent de plus en plus comptés, visiblement contactée par l'AFP n'a pas souhaité réagir.

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