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samedi 28 octobre 2017

L’ex Orange continue d’accuser le gouvernement Macron de tous les maux…nouvel emprunt en vue pour finir 2017 !



L’ex Orange continue d’accuser le gouvernement Macron de tous les maux…nouvel emprunt en vue pour finir 2017 ! 

Le 29 novembre 2016, le blog CGC Média rappelait dans un article intitulé « France Télé : nouveau recours à l’emprunt pour finir 2016 !...et pendant ce temps-là, la boite claque le fric de la redevance : 28M€ en moins de 4 mois » que l’ex Orange pleurait déjà misère deux quelques semaines avant Noël et la fin de l’année précédente.

Le blog CGC Média qui écrivait « Personne ne comprend pourquoi France 2 claque chaque jour 330.000 euros pour des émissions de l’après-midi et pour quelles raisons le numérobis de l’ex Orange, en opposition à Caroline Got laisse filer ?! » citait entre autres Renaud Revel qui dans sa rubrique « Immédias 2016 » indiquait que "C’est une note  de 330 000 euros dont doit s’acquitter, chaque jour, le vaisseau amiral de France Télévisions pour l’ensemble de ces programmes. 330 000 euros qui font au total, 1,650 million d’euros par semaine. Soit 28 millions d’euros, sur les 17 semaines inscrites au calendrier de rentrée des chaînes".

Le journaliste qualifiait alors la situation « Tout simplement, de non-sens économique ».  
Bis repetita placent pour 2017 avec un paramètre supplémentaire: l’ex Orange ayant tellement crié sur tous les toits que l’entreprise avait retrouvé le chemin du positif (du jamais vu sous Pflimlin !) histoire de pilonner le rapport de la Cour des comptes de 212 pages qui parle pourtant d’impasse  financière, que  l’actionnaire a fini par l'entendre! 

Elle a eu beau conspuer le Gouvernement et l’État avec le soutien de l’indéfectible tandem CGT/FO - « On a reçu un coup brutal de l’État, qui ne nous donne aucune visibilité sur ce qu'il veut pour la télévision publique. On n'est pas loin d'une crise sociale majeure », fustige Éric Chauvelot, délégué syndical central de la CGT (sic Les Echos du  26/10 qui ne s’est pas trompé sur la notion de bonnet blanc-blanc bonnet !)…et donc Marc Vial  (FO) qui leur emboite le pas  -  elle est aujourd’hui visiblement totalement désavouée.

Elle avait bien tablé sur les amendements qui auraient dû être déposés pour contrecarrer les annonces d’économies du gouvernement faites à destination du groupe audiovisuel public mais qui ont été retirés…mais voilà à trop vouloir compter les œufs dans le derrière des poules voilà ce qui arrive.

La ministre de la Culture l'a de surcroît, redit mercredi dernier, devant la commission culture du Sénat: le gouvernement n'entend pas revenir sur la baisse des crédits de France TV. 

Si France Télés finit dans le rouge cramoisi et a recours, une fois encore, à l’emprunt pour terminer l’année c’est tout d’abord parce que les prévisions des recettes des filiales de France Télévisions ont largement été surévaluées dans l’élaboration du Contrat d’objectif et de Moyens par l’ex Orange mais aussi parce que sa doctrine « on le fait , on verra »,  a tout bonnement à force conduit comme le disent les magistrats de la rue Cambon, FTV dans le mur.  

Son insistance à contrer le gouvernement Macron, à décrier publiquement et sur les réseaux sociaux les demandes d’économies décidées pour le secteur de l’audiovisuel public, est même particulièrement choquante surtout après la baisse de 5 euros mensuels des APL pour nombre de français pour la plupart modestes qui en bénéficiaient !

Ernotte a cru pouvoir gagner le bras de fer qu’elle engageait contre Emmanuel Macron, tel n’est pas le cas...elle va devoir en tirer très rapidement,t toutes les conséquences  ! 
La question ne devrait même plus se poser de savoir comment l’intéressée  va pouvoir  « combler » la baisse de quelques 30 millions d’euros de subsides publics à laquelle s'ajoutent les millions de manque à gagner sur publicité jeunesse supprimée – cela sans compter l'augmentation mécanique de la masse salariale et l'inflation – la seule équation qu’il convient de prendre en compte c’est qui va prendre maintenant la tête de la télé publique pour une nouvelle mandature visant indispensablement à la réformer et à la conduire solidement vers les années 2020 et au-delà ?!

jeudi 26 octobre 2017

Ernotte pourrait suivre le même chemin que Xavier Couture.



Ernotte pourrait suivre le même chemin que Xavier Couture. 

Souvenez-vous, début octobre, Xavier Couture dégé délégué en charge de la stratégie et des programmes était donné partant.

Celui dont l’interview  dans Libération du 1er septembre dernier avait fait bondir et qui y déclarait entre au autres “A 66 ans, je ne vais pas me faire chier à un poste où je n’ai pas le pouvoir” (*) serait donc bien sur le départ selon nos informations.

Le scénario où le Numérobis de France Télés aurait pu devenir un numéro 1 officieux laissant l’arrosage des chrysanthèmes au  numéro 1 officiel en attendant son départ, ne serait plus d’actualité !

Alors que le gouvernement par la voix de la ministre de la Culture Françoise Nyssen auditionnée, ce mercredi 25 octobre 2017 au palais du Luxembourg sur la base d’un récent rapport sénatorial, réaffirme vouloir réformer la gouvernance des entreprises de l’audiovisuel public en annonçant qu’une « réflexion sur le mode de nomination des présidents » sera engagée et « menée en étroite collaboration avec le Parlement », le départ de Xavier Couture serait semble-t-il imminent…Un vrai, pas comme celui de Michel Field qui après avoir quitté ses fonctions est toujours là avec l’un des plus gros salaires du groupe ! 

Après avoir critiqué urbi et orbi son actionnaire, l’ex Orange Ernotte qui est aussi vilipendée à l’intérieur comme à l’extérieur pourrait donc très vite suivre le même chemin qu’elle le décide ou qu’elle y soit contrainte !   

Le fait que l’ex Orange puisse même proposer porter la privatisation d’une des chaines de France Télés, France 4, France Ô voire France 2 (la rumeur revient en force ces derniers temps), n’a dès lors aucune chance de passer…bien au contraire ! 

Que deux sénateurs de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication, Jean-Pierre Leleux (LR) et André Gattolin (Rem, ex EELV) aient rendu public leur rapport prônant une « réforme urgente » de l’audiovisuel visant au regroupement à l’horizon 2020 des « quatre opérateurs publics » (France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’Ina) - histoire de faire renaitre l’ORTF – rien ne semble plus permettre aujourd’hui à certains de se maintenir.

(*)

 

mercredi 25 octobre 2017

Invité de Sud Radio, Pascal Josèphe tacle l’actuelle direction de France Télés qui tacle, elle, depuis des semaines le Gouvernement.



Invité de Sud Radio, Pascal Josèphe tacle l’actuelle direction de France Télés qui tacle, elle, depuis des semaines le Gouvernement. 

Pascal Josèphe l’ex dirigeant de Imca comme de France 2 et TF1  par le passé, mis en cause par un document interne que France Télés a adressé à la Cour des comptes – sans le moindre contradictoire possible – et dont plusieurs titres de presse ont étrangement été  destinataires, était l’invité de l'émission « Le 10h-12h » présentée par Valérie Expert.
Celui qui avait indiqué, un peu plus tôt, concernant des rapports qui lui auraient été commandés dont personne de l’équipe en place ne retrouverait trace: « Les archives de France Télévisions sont mal tenues. Si les services concernés s'étaient donnés la peine de les demander, aux dirigeants de l'époque où à moi-même, ils disposeraient depuis longtemps des centaines de livrables qui ont été fournis sur plusieurs années - de 1996 à 2013 - aux directions générales et directions de chaînes successives », n’a donc pas mâché hier ses mots sur Sud Radio. 

"Il y a, au sein des dirigeants de France TV, quelques responsables indignes de leurs fonctions, qui sont payés par la redevance, qui font beaucoup de mal à la télévision publique et qui essaient de jouer l’avenir de France TV dans le caniveau. Je les laisse dans leur caniveau" a indiqué à l’antenne celui qui avait après une période de réserve avait-il expliqué, vivement critiqué dans une lettre ouverte au CSA les deux dernière années de France Télés synonymes de catastrophe industrielle annoncée.

"Je me suis abstenu de tout commentaire depuis le 23 avril 2015, il y a deux ans, mais je m’adresse à vous aujourd’hui, en tant que professionnel et en tant que citoyen très inquiet de la situation de la télévision publique....

L’organisation de l’entreprise mise en œuvre depuis deux ans pose problème : sur le papier déjà, au stade du projet, elle portait en elle des germes de dysfonctionnement et notamment de déresponsabilisation des cadres dirigeants et intermédiaires, tant le sommet de la pyramide concentre les décisions. Ceci explique que bon nombre de professionnels de haut niveau aient refusé les uns après les autres de rejoindre le groupe...."



mardi 24 octobre 2017

France Télévisions accueille une « start up » dans ses murs.



France Télévisions accueille une « start up » dans  ses murs. 

Dans un mail confraternel adressé à tous les collaborateurs de la Rédaction, la direction de l’info à France Télés vient d’adresser un mail pour demander aux intéressées le meilleur accueil à la « start up » que France Télés a choisie «  la société Newsbridge, qui nous proposera de nouvelles façons de traiter, d’acheminer, de partager, de qualifier des contenus audiovisuels, de manière intuitive et collaborative » 

Le blog CGC Média vous propose de découvrir le mail en question: 

"Depuis plusieurs mois, nous nous sommes engagés dans une politique d’innovation ambitieuse. Elle s’est traduite par la création du Médialab, le nouveau décor des journaux télévisés, l’utilisation de la réalité augmentée et virtuelle dans les soirées électorales , l’application VR Présidentielle 2017 ou encore le serious game « Ma campagne ».

Et c’est pour rester à  la pointe de l’innovation et imaginer l’avenir des médias et de l’information que nous avons décidé de lancer une expérimentation : créer un accélérateur de start-up interne.

Pour cette première, nous avons sélectionné Newsbridge, une société qui nous proposera de nouvelles façons de traiter, d’acheminer, de partager, de qualifier des contenus audiovisuels, de manière intuitive et collaborative.  

Le projet porté conjointement avec Newsbridge portera plus spécifiquement sur l’expérimentation d’un procédé aidant à la reconnaissance d’images et la recherche sémantique de contenus.

Ce programme, opéré par le Médialab et la direction de l’innovation, prévoit l’accueil de la start-up au sein de la direction de l’information pour une durée de quatre mois, des échanges avec nos équipes, une phase de tests et l’accompagnement de la start-up dans sa croissance. 

Cette collaboration s’inscrit véritablement dans une logique de co-création et de partage des savoir-faire de chacune des équipes. Grâce à cette immersion au plus proche des équipes de la direction de l’information, Newsbridge pourra adapter son produit, le tester et le faire évoluer pour répondre à nos besoins.

L’équipe de la start-up sera présente régulièrement dans nos locaux à partir de lundi prochain. Elle sera installée dans l’atrium côté Seine Nord, à proximité du Médialab.

Merci par avance de leur réserver le meilleur accueil pour une collaboration la plus fructueuse possible"