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samedi 6 janvier 2018

L’ex Orange continue sa vaine et ridicule propagande sur l’air de France Télés, les résultats sont là !!

L’ex Orange continue sa vaine et ridicule propagande sur l’air de France Télés, les résultats sont là !! 

Et encore une fois ! Comme d’habitude l’ex Orange sort son énième communiqué de propagande sur l’air de France Télés, les résultats sont là et qui c’est le plus fort !?

Histoire de montrer que la situation ne serait pas si catastrophique que certaine veulent le dire et aller dans le sens de ceux qui plaideraient encore un peu sa « cause » comme Marc Schwartz ou encore Martin Ajdari tous deux au cabinet de la Ministre de la Culture, l’un comme directeur de cabinet (toujours…ou plus dit la rumeur ?!), l’autre  l’ex argentier de France Télés aujourd’hui à la DGMIC qui dépend donc du ministère !

Cette propagande – bien que n’ayant aucune envie de lui donner un quelconque écho – le blog CGC Média la publie in extenso pour que chacun puisse apprécier.




vendredi 5 janvier 2018

Ernotte ne partira pas sans casse…à moins qu'elle en soit empêchée !

Ernotte ne partira pas sans casse…à moins qu'elle en soit empêchée !

L’ex Orange en guerre contre l’État-actionnaire (cf : la campagne de dénigrement menée sur les réseaux sociaux en raison notamment des économies demandés pour  l’Audiovisuel public) n’a pas l’intention de partir comme ça !   

Selon nos informations, France Télévisions à l’instar de ce que révélait « Le Parisien » concernant PSA il y a peu, aurait dans ses cartons un plan visant à supprimer de nombreux postes en utilisant la nouvelle rupture conventionnelle collective.

En effet, l’ex Orange et ses lieutenants imagineraient profiter du nouveau Code du travail pour réduire ses effectifs via la procédure dite de « rupture conventionnelle collective ». Pour le dire autrement, elle pourrait demander aux syndicats de se prononcer pour obtenir un accord majoritaire sans quoi rien n’est possible – chacun imagine aisément la position du tandem cgt/fo qui la soutient depuis son parachutage à l’été 2015 ! –  sur la mise en œuvre de cette mesure inscrite dans les fameuses ordonnances réformant le Code du travail qui a fait l'objet d'un décret d'application paru au « Journal officiel » le 22 décembre dernier.

Un léger bémol tout de même, si la rupture conventionnelle collective permet à l'employeur de se séparer de salariés sans passer par la case démission ou licenciement et ce en dehors du cadre contraint d'un plan social, le montant des indemnités pour ce faire pourrait bien n’être compris qu’entre 6 et 9 mois, loin très loin des indemnités prévues par l’accord collectif dans le cadre d’un licenciement classique - le salarié s'asseyant aussi sur le préavis - tout ça sur l’air de "les temps sont durs et c'est l'actionnaire qui nous contraint"...déjà que l’État nous pique 50 millions d’euros, on ne peut guère aller au-delà! C’est un geste en quelque sorte, à prendre ou à laisser !!  

Alors même que le plan précédent n’avait pas « fait le plein » - loin s'en faut -  pensez donc, les salariés cette fois-ci décideraient de leur propre chef de partir avec des clopinettes… Ben voyons ! Pour ceux qui pourraient faire valoir leurs droits à retraite - il y a en plus guère - ce pourraient être un léger mieux mais pour les autres, notamment ceux que l'entreprise cherche à pousser dehors, ça sent à plein nez la fumisterie !

C’est d’ailleurs soit dit en passant, la raison pour laquelle nombre de salariés (à qui souvent l’entreprise peine à fournir du travail pour ne pas dire qu’elle n’en fournit pas, violant ainsi les dispositions légales réaffirmes constamment par la Cour de Cassation à savoir l’obligation pour l’employeur d’employer dans les termes de son contrat de travail le salarié), ont été convoqués ces dernière semaines de 2017 pour faire un « point » sur leur situation !

Ce nouveau dispositif pourrait permettre de supprimer plusieurs centaines de postes en à peine six mois, là où le PDV précédent s'était étendu sur plus d'un an…histoire pour quelques huiles de se maintenir et retarder coûte que coûte leur inévitable éviction !  

Ce qui n’est pas dit, c’est qu’en plus les salariés devront payer en plus des impôts sur leurs indemnités.
 
Sur qui croyez-vous que les instigateurs d’un tel scénario feront porter la faute ? Emmanuel Macron, son gouvernement et ses ordonnances évidemment ! 

Vont-ils permettre cela et laisser certains fossoyeurs de la télé publique les faire passer pour les méchants en les ridiculisant de la sorte  ?

jeudi 4 janvier 2018

Ernotte après s’être payée Emmanuel Macron et son gouvernement sur Twitter, s’en prend à présent à Vincent Bolloré !



Ernotte après s’être payée Emmanuel Macron et son gouvernement sur Twitter, s’en prend à présent à Vincent Bolloré !

Les salariés de France Télés sont à bout; ils n’en peuvent plus d’être pris en tenaille entre les uns et les autres protagonistes à commencer par le Chef de l’État avec ces provocs perpétuelles que lance l’ex Orange sur les réseaux sociaux qui inévitablement nuit à l’image du groupe et la dégrade chaque jour un peu plus (si cela est encore possible !)

Comme l’indiquait le blog CGC Média, le 26 décembre dernier, dans un article intitulé « Non seulement le Netflix à la française d’Ernotte part à la corbeille mais qui plus est, Bolloré lui réclame à présent 44 millions d’euros »,  Ernotte après s’être payée Emmanuel Macron et son gouvernement sur Twitter, s’en prend à présent au patron de Canal + qui l’assigne en Justice!

Ernotte a cru bon de tweeter: "A savourer sans modération", en donnant le lien permettant de visionner une rétrospective de l'année 2017 réalisée par Patrick Menais et ses équipes de "Vu"…histoire de monter à celui qui l’attaque qu’elle ne craint pas les  hommes de plus de 50 ans ! 


Le blog CGC Média qui posait, voilà un peu plus d’un an le 23 décembre 2016, tout un tas de questions sur cette procédure annoncée, rappelait les propos de L’Express  qui précisait que « Patrick Menais qui avait déposé en son nom les marques "Le Zapping" et "l'Année du Zapping" avait été licencié pour "faute lourde" - procédure validée par l'inspection du travail qui l'empêchait automatiquement de toucher des indemnités et signifiait sa sortie du groupe en tant que "salarié protégé" », ajoutant "Les dépôts effectués par Monsieur Patrick Menais à l'INPI (Institut national de la propriété industrielle) caractérisent un acte déloyal fautif". 

Comme l’indique à présent le blog Jean-Marc Morandini « le licenciement de Patrick Menais intervenu en juillet 2016 a été annulé par Myriam El Khomri, la ministre du Travail de l'époque »… Ce qui aurait donc pour conséquence que l’intéressé soit donc toujours salarié de Canal + mais aussi donc de France Télés !

Télérama qui a interrogé l'avocat de Patrick Menais, Jérémie Assous, explique de son côté que "Canal+ a depuis déposé un recours auprès du tribunal administratif" pour contester cette annulation… "procédure qui risque de durer encore beaucoup de temps puisque la décision du tribunal est elle-même susceptible d’appel. Et ensuite, ça peut même aller devant le Conseil d’État" d’expliquer l'avocat !

Ernotte gagnera-t-elle les guerres tous azimuts, contre les hommes de plus de 50 ans, contre Bolloré à présent mais aussi contre l’actionnaire et le gouvernement Macron ?Les semaines qui viennent vont sans aucun doute démontrer qu’elle n’avait aucune chance.

mardi 2 janvier 2018

L’ex Orange ne va pas faire de vieux os à présent…sa soi-disant SVOD à la française dont ne veut pas le Gouvernement Macron: une vaste fumisterie.




L’ex Orange ne va pas faire de vieux os à présent…sa soi-disant SVOD à la française dont ne veut pas le Gouvernement Macron : une vaste fumisterie.   

L’article signé Pascal Lechevallier pour Digital Home Révolution, paru ce premier jour de 2018, prouve que les gesticulations permanentes de l’ex Orange et ses chansons autour d’un Netflix à la française ne visant en réalité qu’à tenter de se maintenir en appauvrissant un peu plus chaque jour la télé publique, ont vécu. 

Alors que « Le Figaro » indiquait, il y a quelques jours, que dans le cadre de la première séance de travail qui définissait cinq chantiers prioritaires que devraient (pourraient, serait plus juste) mener en commun, les société de  l’audiovisuel public: « L’idée lancée par Delphine Ernotte d’un Netflix européen n’est pas reprise. », la remarquable enquête du journaliste « Le marché vidéo français au-dessus du milliard d’euros…. Grâce à Netflix! » finit d’enfoncer le clou et mettre à jour la supercherie.  

En réalité, même avec 15 milliards d’euros soit 5 ans de la part de redevance versée à France Télés, France Télés ne ferait qu’engloutir l’argent des contribuables dans un puits sans fond sans aucun effet. 

Si « la SVOD est aujourd’hui le principal mode de consommation des programmes délinéarisés, le marché est dominé par Netflix qui est à la tête d’un portefeuille de plus de 2 millions d’abonnés et Amazon semble avoir fait une percée significative selon les résultats de l’étude publiée par le CNC. Dans le même temps, Canalplay perd régulièrement du terrain (fondu dans l’offre START de Canal), SFR Play monte en puissance alors que Filmo TV reste stable » indique encore l’enquête qui ajoute « A mesure de la décroissance du marché physique et de la difficulté de la TVOD à maintenir son niveau d’activité, la voie est ouverte pour que la SVOD devienne la locomotive du marché vidéo, comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis. Avec un risque considérable: celui de ne plus avoir d’acteurs locaux en capacité de concurrencer les plateformes internationales, Netflix et Amazon pour l’instant, et sans doute d’autres acteurs à l’horizon 2020… ». 

Le dernier paragraphe est sans appel « Le prochain lancement de l’offre SVOD de France Télévisions quel que soit le succès de la plateforme du service public [dont ne veut pas entendre parler le gouvernement donc !] chacun sait que cela sera sans réel effet sur la domination américaine. 

Le leadership quasi certain de Netflix et d’Amazon aura des effets bien au-delà du marché vidéo lui-même. Il impacte déjà le marché de la télévision en mordant sur les audiences des chaînes grâce à une programmation exclusive et événementielle permanente. Et quand bien même la chronologie des médias pénaliserait les offres américaines en maintenant la fenêtre cinéma à 36 mois, ces dernières ont déjà anticipé ces mesures en investissant directement dans des productions cinématographiques destinées uniquement au marché SVOD, sans passer par la salle, rendant tous les délais de la chronologie des médias inopérants et caduques. Quant aux séries, aucune chronologie ne peut les freiner ». 

Tout est dit et les contes d'Ernotte à nouveau démasquée, ne peuvent plus rien pour elle à présent !

lundi 1 janvier 2018

Comment l’ex Orange a imaginé ridiculiser Emmanuel Macron et son Gouvernement en guise de vœux 2018 !



Comment l’ex Orange a imaginé ridiculiser Emmanuel Macron et son Gouvernement en guise de vœux 2018 !

Que souhaiter pour France Télés en 2018 ?… sinon la fin la plus rapide qui soit de l’expérience Schrameck/2015 (en pleine instruction judiciaire d’ailleurs) qui a conduit la télé publique vers la catastrophe industrielle que tout un chacun constate unanimement aujourd’hui.

« Le Canard enchaîné » de mercredi qui présentait l’ex Orange comme « la sourde du service public » dont le Président de la République « n’avait notamment pas apprécié le lobbying auprès des députés et des sénateurs visant à dispenser France Télévisions de 50 millions d’économies » (sic) mais aussi et surtout la communication via les réseaux sociaux pour dénoncer les décisions injustes prises par le Chef de l’État et son gouvernement, n’avait probablement pas encore eu le doc interne de France Télés qui prouve qu’Ernotte n’a pas de figure !

Le tableau qui suit montre comment Ernotte tente de ridiculiser le Gouvernement Macron au regard des 50 millions  d’euros d’économies demandées.

FTV passe de - 12 à + 36 millions soit un gain de 48 millions d’euros (autrement dit, quasiment intégralement les quelques 50 millions d’économies décidés par l’État).



Dès lors, l’actionnaire ne peut que doublement s’étonner:

1er étonnement: Tous les autres groupes sont en baisse sauf France Télés dont Ernotte claironne haut et fort les soi-disant « bon résultats »Ben voyons !!

2ème étonnement: En un an France Télés aurait donc fait un gain de 48 millions…et se permettrait de se plaindre qu’elle est prise à la gorge !!

Si c’est si facile et si rapide de faire quasiment 50 millions d’euros comme ça pourquoi alors hurler lorsque l’État demande un tel effort ?

A moins que les chiffres ne reflètent pas la réalité…ce qui serait effectivement autrement plus grave !