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vendredi 20 juillet 2018

« L’Opinion » se paie Ernotte et la place à juste titre devant ses perpétuelles contradictions et ses récurrentes incohérences !


« L’Opinion » se paie Ernotte et la place à juste titre devant ses perpétuelles contradictions et ses récurrentes incohérences !

Les salariés de France Télés en ont soupé des revirements perpétuels des mails cyniques de l’ex Orange co-chasseuse d’hommes blancs de plus de 50 ans avec Nyssen, qui les prend pour des imbéciles et ne cherche plus qu’une chose rester en place aussi longtemps qu’elle pourra !

Les derniers tweets de Cyril Lacarrière journaliste pour « L’Opinion » en sont la parfaite illustration.

Dire qu’« à l’automne dernier, Delphine Ernotte a tout fait pour éviter une coupe de 50M€ (*), aujourd’hui elle dit que 400M€ en moins sur 4 ans c’est difficile mais réaliste » s’étrangle le journaliste qui ajoute « Étonnant comme les temps changent ».

(*)
C'est le 21 septembre dernier, qu'Ernotte tweetait sur les réseaux sociaux accusant le Gouvernement Macron  de vol  "Ma vie serait parfaite si on n'avait pas décidé de me piquer 50 millions d'euros".


Dès lors, les salariés de France Télés comme les téléspectateurs, les contribuables, nombre de parlementaires et de politiques – pas que les mâles blancs de plus de 50 ans ! – n’attendent qu’une chose à présent qu’ils ont subi les élucubrations simultanées de l’une et l’autre, que le Président de la République qui parlait d’un big-bang pour l’Audiovisuel public mette un terme ultra rapide comme cela semble prévu, à cette consternante pantalonnade.  
 

Le Président du Sénat Gérard Larcher obligé de couper Françoise Nyssen dans sa consternante logorrhée audiovisuelle que reprend l’ex Orange dans son lamentable message aux salariés de France Télés.

Le Président du Sénat Gérard Larcher obligé de couper Françoise Nyssen dans sa consternante logorrhée audiovisuelle que reprend l’ex Orange dans son lamentable message aux salariés de France Télés.

Pas besoin d’être une petite souris, ce jeudi 19 juillet 2018 pour voir la mine déconfites des sénatrices et sénateurs présent obligés d’écouter la toujours ministre ânonner comme le 4 juin dernier devant des journalistes interdits de questions, ridiculiser à nouveau le gouvernement avec un papier dont elle ne maitrisait ni le sens, ni le phrasé.

Pour faire court elle va affirmer péremptoirement devant les parlementaires taxés de conservatisme « Notre conviction et cela a été confirmé par la commission de concertation, c’est que le service public de l'audiovisuel est une nécessité et une force à condition, bien sûr, de l'aider à se transformer et d'avoir une vraie stratégie au-delà de tout conservatisme pour un jeune public qui regarde de plus en plus l'écran, les écrans sur son « self plate-forme » plutôt que la télévision familiale ».    

Nous recueillions  avant-hier le témoignage d’une mère de famille qui indiquait, mon fils ado (13/14 ans) il est comme nombre de jeunes, il ne regarde absolument pas la télé sur son téléphone qu’il n’utilise comme tous ses copains que pour surfer sur Snapchat, Instagram, Messenger, etc…Il ne regarde la télé avec nous devant l’écran familial que lorsque que nous lui disons de venir voir car cela peut l’intéresser.

Voilà, sa soi-disant  « conviction et celle du gouvernement » - confirmé par la commission de concertation [Alors, si la commission confirme ?! ndlr] c'est que le service public de l'audiovisuel est une nécessité et une force à condition bien sûr de l'aider à se transformer et d'avoir une vraie stratégie au-delà de tout conservatisme pour passer - si on pouvait résumer -  d'une logique de diffuseur à une logique d'éditeur de contenus »


Quelle vacuité et quelle honte pour le gouvernement Macron et son ambitieuse réforme annoncée de l’Audiovisuel public !

Voir ici la vidéo (c’est d’ailleurs France télés qui la met en ligne)…ça vaut le détour ! 

Le blog CGC Média, à l’évidence aussi halluciné que les parlementaires, vous propose de découvrir ci-après le verbatim de sa pitoyable intervention bourrée de poncifs, de phrases creuses, de « comme le dit le commission de concertation », d’affirmations totalement gratuites ne justifiant en rien la réforme et encore moins la suppression de France 4 et de France Ô de la TNT.
Le blog CGC Média, à l’évidence aussi halluciné que les parlementaires, vous propose de découvrir ici le verbatim de sa pitoyable intervention bourrée de poncifs, de phrases creuses, de « comme le dit le commission de concertation », d’affirmations totalement gratuites ne justifiant en rien la réforme et encore moins la suppression de France 4 et de France Ô de la TNT. 


« Effectivement, le 4 juin dernier le gouvernement a présenté les orientations de la réforme de l'audiovisuel public. 
Vous savez, aujourd'hui, on ne peut plus envisager la télévision de la même manière avec Netflix, YouTube et un jeune public qui regarde de plus en plus l'écran, les écrans sur son « self plate-forme » plutôt que la télévision familiale!

Notre conviction et cela a été confirmé par la commission de concertation, c'est que le service public de l'audiovisuel est une nécessité et une force à condition bien sûr de l'aider à se transformer et d'avoir une vraie stratégie au-delà de tout conservatisme. Les sociétés de l'audiovisuel public doivent, en fait, passer - si on pouvait résumer -  d'une logique de diffuseur à une logique d'éditeur de contenus avec 4 grandes priorités: 

A l’issue de plusieurs mois de travaux et d’échanges, le gouvernement vient de rendre publics ses derniers arbitrages et les conclusions de la mission de concertation sur la réforme de l’audiovisuel public. Le cap est clair : le gouvernement demande à l’ensemble de l’audiovisuel public d’engager sa mutation numérique.

Pour France Télévisions, cela va impliquer de repenser très profondément l’exercice de nos missions dans un bouquet linéaire resserré autour de quatre canaux hertziens dès 2020, avec la suppression des canaux TNT de France 4 et de France Ô, un financement public réduit de 160 millions d’euros et 100 millions d’euros de nouveaux investissements numériques à l’horizon 2022.

C’est désormais à nous de prendre notre destin en main. C’est un tournant majeur car il va nous conduire à changer nos pratiques, nos métiers et nos usages. Il s’agit de mieux nous adresser à tous les publics, à tous et à chacun, et de répondre à toutes les attentes. Nous allons passer d’un métier de diffuseur à un métier d’éditeur de programmes qui maîtrise sa distribution sur tous les supports. D'autres services publics européens nous ont précédés dans ce virage numérique et nous pouvons nous appuyer sur ces expériences pour tracer le chemin. Notre colonne vertébrale restera la même : l’information, la création et les grands évènements.

Notre priorité est de retrouver le lien avec les jeunes publics et de bâtir une offre numérique qui réponde à leurs usages, à tous les âges, tout en maintenant une présence linéaire forte, particulièrement pour les enfants. L’enjeu est de conquérir ou de reconquérir ce lien de confiance et d’habitude entre la télévision publique et toutes les générations, entre nos offres et chaque citoyen.

Face à des plateformes globales, nous devons aussi pleinement investir notre mission de proximité. C’est pourquoi le modèle de France 3 va évoluer pour faire toute sa place à une offre des régions et des territoires. C’est un changement de paradigme et un enjeu majeur qui concerne tant l’information que les programmes.

De la même manière, l’outremer doit avoir une place centrale dans nos offres. Nos éditions nationales d'information couvriront et relaieront davantage l'actualité des territoires ultramarins. Nos émissions, nos magazines, nos programmes de création se feront le reflet de l'archipel France. Chacun de nous doit se sentir comptable de ce lien avec l’ensemble de nos concitoyens. C’est pour nous une mission centrale que d’être le pont entre tous les territoires de la République.

Nous avons un sens aigu et exigeant de notre mission de service public et nous en sommes fiers. Cela doit nous guider dans la construction de notre projet éditorial. Notre enjeu est de renforcer notre légitimité de télévision publique pour qu’elle réponde pleinement à la mission culturelle qui est la nôtre.

J'ai la conviction [elle a la conviction, elle aussi, ndlr] que cette mutation est possible et que nous avons tous les talents et les savoir-faire pour la mener à bien. Cela fait des années que France Télévisions a su évoluer et se transformer. C'est avec cette expérience que nous pouvons envisager l'avenir. Dès septembre, vous serez pleinement associés à la construction de notre feuille de route. Je reviendrai vers vous pour vous préciser les modalités de cette collaboration. Les managers seront évidemment partie prenante dans la mise en œuvre de ces dispositifs que nous finalisons.

Avant de lancer ces chantiers, je voudrais vous remercier et vous féliciter pour la saison qui s'achève. Nos résultats donnent de la force à notre groupe. France Télévisions a réussi une très belle année tant sur nos antennes linéaires que sur nos plateformes numériques. Les résultats sont là, et cette réussite est collective, tous métiers confondus. Je vous souhaite à toutes et à tous un très bel été, avant de démarrer ces travaux à la rentrée. C’est un nouveau défi et une nouvelle ambition que nous devons relever. Je sais que je peux compter sur vous, vous pouvez être certains de ma pleine et entière détermination pour mener à bien, avec vous, cette transformation. »

Là, le Président du Sénat Gérard Larcher est contraint de l’interrompre pour qu’elle se taise.



Au sortir de l’exercice, sa pote Ernotte l'ex Orange chasseuse déclarée d’hommes blancs de plus de 50 ans qui s'est rendue jeudi soir sur le site de Malakoff pour narguer les salariés et leur annoncer le plus cyniquement leur enterrementa immédiatement envoyé à l’ensemble du personnel un mail paraphrasant très souvent, tout aussi hallucinant, tout aussi langue de bois et totalement hors de la réalité sur l’air de « à nous de prendre notre destin en main et changer nos habitudes, en route vers le tout numérique… ».




« Bonjour à toutes et à tous,

A l’issue de plusieurs mois de travaux et d’échanges, le gouvernement vient de rendre publics ses derniers arbitrages et les conclusions de la mission de concertation sur la réforme de l’audiovisuel public. Le cap est clair : le gouvernement demande à l’ensemble de l’audiovisuel public d’engager sa mutation numérique.

Pour France Télévisions, cela va impliquer de repenser très profondément l’exercice de nos missions dans un bouquet linéaire resserré autour de quatre canaux hertziens dès 2020, avec la suppression des canaux TNT de France 4 et de France Ô, un financement public réduit de 160 millions d’euros et 100 millions d’euros de nouveaux investissements numériques à l’horizon 2022.

C’est désormais à nous de prendre notre destin en main. C’est un tournant majeur car il va nous conduire à changer nos pratiques, nos métiers et nos usages. Il s’agit de mieux nous adresser à tous les publics, à tous et à chacun, et de répondre à toutes les attentes. Nous allons passer d’un métier de diffuseur à un métier d’éditeur de programmes qui maîtrise sa distribution sur tous les supports. D'autres services publics européens nous ont précédés dans ce virage numérique et nous pouvons nous appuyer sur ces expériences pour tracer le chemin. Notre colonne vertébrale restera la même : l’information, la création et les grands évènements.

Notre priorité est de retrouver le lien avec les jeunes publics et de bâtir une offre numérique qui réponde à leurs usages, à tous les âges, tout en maintenant une présence linéaire forte, particulièrement pour les enfants. L’enjeu est de conquérir ou de reconquérir ce lien de confiance et d’habitude entre la télévision publique et toutes les générations, entre nos offres et chaque citoyen.

Face à des plateformes globales, nous devons aussi pleinement investir notre mission de proximité. C’est pourquoi le modèle de France 3 va évoluer pour faire toute sa place à une offre des régions et des territoires. C’est un changement de paradigme et un enjeu majeur qui concerne tant l’information que les programmes.

De la même manière, l’outremer doit avoir une place centrale dans nos offres. Nos éditions nationales d'information couvriront et relaieront davantage l'actualité des territoires ultramarins. Nos émissions, nos magazines, nos programmes de création se feront le reflet de l'archipel France. Chacun de nous doit se sentir comptable de ce lien avec l’ensemble de nos concitoyens. C’est pour nous une mission centrale que d’être le pont entre tous les territoires de la République.

Nous avons un sens aigu et exigeant de notre mission de service public et nous en sommes fiers. Cela doit nous guider dans la construction de notre projet éditorial. Notre enjeu est de renforcer notre légitimité de télévision publique pour qu’elle réponde pleinement à la mission culturelle qui est la nôtre.

J'ai la conviction [elle a la conviction, elle aussi, ndlr] que cette mutation est possible et que nous avons tous les talents et les savoir-faire pour la mener à bien. Cela fait des années que France Télévisions a su évoluer et se transformer. C'est avec cette expérience que nous pouvons envisager l'avenir. Dès septembre, vous serez pleinement associés à la construction de notre feuille de route. Je reviendrai vers vous pour vous préciser les modalités de cette collaboration. Les managers seront évidemment partie prenante dans la mise en œuvre de ces dispositifs que nous finalisons.

Avant de lancer ces chantiers, je voudrais vous remercier et vous féliciter pour la saison qui s'achève. Nos résultats donnent de la force à notre groupe. France Télévisions a réussi une très belle année tant sur nos antennes linéaires que sur nos plateformes numériques. Les résultats sont là, et cette réussite est collective, tous métiers confondus. Je vous souhaite à toutes et à tous un très bel été, avant de démarrer ces travaux à la rentrée. C’est un nouveau défi et une nouvelle ambition que nous devons relever. Je sais que je peux compter sur vous, vous pouvez être certains de ma pleine et entière détermination pour mener à bien, avec vous, cette transformation. »

Tout aussi consternant…ce n’est pas ça, dites-nous Monsieur Macron, l’ambitieuse révolution audiovisuelle dont vous parliez et qui exclut la moitié voire 2/3 des français a minima de ces ridicules élucubrations  ?!

jeudi 19 juillet 2018

Matignon annonce la suppression de France Ô de la TNT…


Matignon annonce la suppression de France Ô de la TNT… 

Ce sont donc deux canaux de diffusion de la TNT qu’ Émmanuel Macron et Édouard Philippe s’apprêtent à supprimer !


En pleine tempête médiatique, une dépêche AFP qui source Matignon, annonce que "France Ô sera également supprimée a TNT…"

Le également  valant pour France 4. Le canal 14 et le canal 19 de la TNT devraient donc être supprimés!

Ce sont donc les jeunes et les ultramarins qui sont évidemment les premiers visés. Quant à celui qui va prendre très prochainement la tête du groupe public, il sera donc pieds et poings liés avec une telle annonce.