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vendredi 21 juin 2019

Fin de règne à France Télés…Wallès Kotra sera-t-il le prochain?

Fin de règne à France Télés…


En marge de la ridicule campagne d’intox sur la « possible ou probable perdurance après avril 2020 » d’une situation catastrophique que vit France télé depuis près de 4 ans – hypothèse totalement farfelue qui n’a aucune chance d’advenir – le bruit court que Wallès Kotra serait sur le point d’être débarqué et remplacé par Arnaud Ngatcha l’ex-conseiller com’ de l’éphémère ministre des sports Laura Flessel !!!

Celui qui avait été dégagé de France Télés pour y revnir alors grâce à l'ex-Orange qui lui confiait une soi-disant mission - « France Télévisions va confier une mission d'étude sur la diversité à Arnaud Ngatcha, ex délégué général du comité permanent de la diversité de France télévisions et producteur chez A Prime Group. But : dégager un benchmark des initiatives des entreprises de médias en vue d'enrichir la diversité. » - pourrait remplacer Wallès Kotra...Allons donc  ?!

Si certain(e)s pensent que nommer celui qui en septembre de l’année dernière se décrivait comme "en devenir" sur son compte Twitter permettrait d’attirer les bonnes grâces d’Emmanuel Macron pour qu’il change d’avis, de lui tordre un peu plus le bras pour qu’il se déjuge et fasse que France Télévisions finisse par sombrer totalement, ils se mettent comme dit l’adage "le doigt dans l’œil" ! 

Un tel calcul aurait certainement autant de risques d'avenir que le Premier Ministre qui s'exprimait hier lors du colloque "Média, liberté et création" organisé pour les 30 ans du CSA se vantant Ernotte,   soit Président de la République en 2022 !? 



Lire aussi l'article que le blog CGC Média publiait il y a quasiment deux ans,  le 17 juin 2017 "Le directeur des études de la diversité" de l'ex Orange, recasé après avoir été décoré ! "


jeudi 20 juin 2019

La plainte au Pénal concernant les malversations intervenues au CI-ORTF a été déposée.

Comme l'avait indiqué le blog CGC Média dans un récent post, le Syndicat CGC de l'audiovisuel (SNPCA-CGC) vient donc de déposer plainte contre celui qui  a détourné de l'argent public destiné aux œuvres sociales et culturelles destiné aux salariés entre autres de France Télévisions, Radio France, l'INA….ainsi que contre ceux qui on permis le délit et laissé faire.


C’est Maître Pierre-Olivier LAMBERT qui était l’avocat du syndicat concernant la plainte qui a entraîné les condamnations de Carolis et Millot  dans l’affaire dite Bygmalion /France Télés et Maître Marion PEREIRA qui en sont chargés.






Le Syndicat CGC de l'audiovisuel (SNPCA-CGC) les média  a rappelé dans sa plainte pénale que les représentants légaux des quatre entreprises qui composaient le Comité interentreprises des ex sociétés de l'ORTF  (à l'origine) ont été destinataires du document concernant les agissements de certains au sein d'un bureau CGT-FO pour la période épinglée par la Cour (de 2009 à 2014) dont la composition figure en bas de post (¤) 





La SNPCA-CGC a également rappelé qu'aux termes de l'article 40 du code de procédure pénale ''Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit étant tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs".

(¤) Composition du bureau du CI-ORTF pour la période épinglée par la Cour (de 2009 à 2014)


Annick LE CAHEREC  (CGT INA) qui a administré  pendant 9 ans le CI-ORTF en qualité de Secrétaire de l’instance.

Christophe PORRO (CGT France Télés) le trésorier visé par la Cour

Eric VIAL (FO France  Télés) secrétaire Adjoint depuis avril 2012 

Yvon FERRET  (CGT TDF) trésorier Adjoint.


NB : En 2014, le bureau  CGT (FO) a donc été renversé par une alliance qui ne comprend plus aucun CGT et aucun FO et qui dès son arrivée a proposé une réorganisation dont bien entendu les sortants ne voulaient entendre parler.

Relire aussi l’article signé Renaud Revel relayé sur le site le JDD – EUROPE 1 ci-dessous:


mercredi 19 juin 2019

La Cour de cassation saisie après le jugement du TI de Paris suite au courrier de la CNIL mais aussi dans le cadre d’une enquête judiciaire en cours.


La Cour de cassation saisie après le jugement du TI de Paris suite au courrier de la CNIL mais aussi dans le cadre d’une enquête  judiciaire en cours.

L’UNSA–SRCTA et le SNPCA-CGC qui avaient tous deux, dans un premier temps, déposé un requête devant le tribunal d’Instance de Paris dans le cadre des élections professionnelles organisées à France Télés, saisissent très officiellement  la Cour de cassation fort d’un courrier de la CNIL (*) que la juridiction d’instance n’avait pas encore au moment de rendre son jugement mais aussi et surtout concomitamment à une enquête judiciaire en cours dans le cadre d’un plainte pénale déposée il y a quelques mois devant le TGI de Paris.

(*) La CNIL qui écrit entre autres "Il apparaît que des centaines de personnes ont eu recours à la procédure de régénération des codes d'accès lors des élections professionnelles concernées or à l'instar des courriers précédents de la CNIL, les mesures de confidentialité que vous évoquez ne sont pas suffisantes pour assurer la sécurité des données des électeurs lors des élections professionnelles..."
 

L’ex-Orange et son numérobis relèguent Léa Salamé et son “Stupéfiant !” sur France 5.


L’ex-Orange et son numérobis relèguent Léa Salamé et son “Stupéfiant !” sur France 5. 

L’info donnée le Parisien concernant l’arrêt du magazine hebdomadaire de France 2 “Stupéfiant !” présenté par Léa Salamé, a donc été confirmée  lors de la pathétique conférence de presse du 18 juin organisée au Théâtre Marigny en pleine période d’économies et de licenciements.

Le programme ne devrait pas forcément être supprimé des grilles de France Télévisions. 

Même si Léa Salamé conserve la co-présentation avec Thomas Sotto de L'Emission politique sur France 2 qui au passage change de nom puisque remplacée par un autre programme qui s'appellera Vous avez la parole, l’intéressée sera finalement reléguée sur France 5 où l’ex-Orange et son numérobis transforment l’émission produite par la société Bangumi, en collection de documentaires culturels diffusée en prime time à raison de 5 ou 6 de numéros par an….Stupéfiant, non ?! 



mardi 18 juin 2019

Grève très suivie à Radio France par trois quart des salariés.


Grève très suivie à Radio France par trois quart des salariés. 

Ce mardi 18 juin, les salariés de Radio France appelés à faire grève ont adhéré massivement au mouvement après les annonces du nouveau d’économies complémentaires, à savoir de 60 millions dont 25 millions sur la masse salariale, voulu par Sybile Veil.

« France Inter est désertique » écrivait un peu plus tôt Audrey Kucinskas pour «l’Express », ajoutant « l'atmosphère est clairement inhabituelle. Alors qu'à France Inter, habituellement, cela fourmille, là, c'est tout simplement désertique. Quelques salariés préparent bien les émissions de mercredi, puisque la grève n'est pas reconductible. "Mais les couloirs sont vides. ».

Sur France Bleu, ce sont par exemple 37 antennes sur les 44 stations ont répondu à l’appel.

« Aucune émission matinale sur France Inter," n'a été diffusée, station "où près de 90% des journalistes ont cessé le travail." "Au-delà des antennes, c'est bien toute la maison qui s'est mobilisée, à l'appel de l'ensemble des organisations syndicales : on compte ainsi 85% de choristes en grève et de services administratifs fortement mobilisés » enchérit dans un communiqué le SNJ.

Valeria Emanuele, représentante du Syndicat national des journalistes (SNJ) interrogé par le magazine précise « Vous l'aurez peut-être remarqué : ce mardi, à Radio France, c'est jour de grève. Une grève très suivie. Les personnes que vous entendez à la radio ce matin, sont principalement des CDD et des pigistes, que l'on n'incite pas à faire grève. Mais les titulaires, au vu des enjeux, sont très majoritairement en grève, oui. ».

Il faut dire que l’article de Médiapart qui passe de main en main au sein de la Maison ronde concernant les chiffres avancés par la direction très différents de ceux révélés par un audit interne, a fini de galvaniser des personnels déjà bien déterminés à ne pas laisser se dégrader plus avant leur outil de travail.

Quant à la ridicule surenchère à laquelle se livrent Sibyle Veil et l'ex Orange qui ne devrait plus faire de vieux os -  tout prolongement d'une situation catastrophique générée par cette dernière malgré les bobards et l'intox ambiante étant exclu - elle pourrait bien entraîner les deux compétitrices vers une inévitable déflagration.