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jeudi 2 juillet 2020

« Un avocat qui finançait la Fondation des femmes visé par une enquête pour "harcèlement"» écrit Médiapart.

« Un avocat qui finançait la Fondation des femmes visé par une enquête pour "harcèlement"» écrit Médiapart.



Dans l’article signé Marine Turchi « Un avocat qui finançait la Fondation des femmes [la compagne de Sitbon-Gomez en revendique la présidence, ndlr] visé par une enquête pour ‘’harcèlement’’» le site d’information indique « Selon nos informations, l’avocat d’affaires Jean-Georges Betto est visé par une enquête préliminaire pour « harcèlement sexuel » et « harcèlement moral  », ouverte par le parquet de Paris le 13 mars. Les investigations ont été confiées à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) ».

« Premier soutien financier de la cellule juridique de la Fondation des femmes, qui lutte contre les violences, l’avocat d’affaires Jean-Georges Betto, star de l’arbitrage, visé par une enquête préliminaire pour « harcèlement sexuel et moral » après avoir été sanctionné par le conseil de l’Ordre, dont il est membre… » écrit encore Médiapart qui souligne ainsi tout le paradoxe.

Voici qui pourrait bien intéresser le Parquet National Financier saisi par le SNPCA-CFE-CGC, suite notamment aux récentes révélations de Marianne (*) et « au regard des nouveaux éléments qui ont été découverts depuis la délivrance de sa citation en justice ».

Le syndicat qui poursuivait Delphine Ernotte pour favoritisme et recel de prise illégale d'intérêts en lien avec la Fondation des Femmes, Stéphane Sitbon-Gomez, son directeur de cabinet ainsi que Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes et le producteur Maxime Ruszniewski, administrateur de la Fondation des Femmes, invité à mieux se constituer par la 11ème chambre du tribunal correctionnel de Paris, rappelait alors dans un communiqué son intention de poursuivre la procédure. (ci-après)


« Le SNPCA-CFE-CGC a pu prendre connaissance de la décision qui a été rendue dans l’affaire concernant le financement de l’association de préfiguration de la Fondation des femmes par France télévisions. 

Au regard des déclarations intempestives faites par l’un des prévenus sur Twitter et dans la presse, il nous paraît utile de préciser que le Tribunal Correctionnel de Paris s’est seulement prononcé sur les questions de procédure qui se posaient. 

Le bien-fondé de notre action n’est pas jugé, à ce stade. 

Loin d’être terminée, cette affaire est donc destinée à prospérer dans les semaines qui viennent, d’autant plus au regard des nouveaux éléments qui ont été découverts depuis la délivrance de notre citation en justice. »

Médiapart  aujourd’hui et Marianne  qui  dans son numéro 1184 du 22 au 28 novembre dernier indiquait que dans une enquête de 6 pages au titre sans grande ambiguïté « LA MACHINE A ARROSER LES COPAINS… Révélations sur la Fondation Agir contre l’exclusion », « La Fondation Agir contre l’exclusion (la FACE qui abritait, entres autres semble-t-il,  la Fondation des femmes ) se faisait bien voir des politiques comme des entreprises en permettant le financement d’opérations demandées par les élus, sur fond d’un vaste système de défiscalisation. 

Épinglée par la Cour des comptes pour ses combines, l’institution, présidée par le grand patron Gérard Mestrallet, est aujourd’hui menacée de dissolution... » (sic)

« Une enquête judiciaire est ouverte » précisaient en fin d’année dernière Étienne Girard et Emmanuel Levy qui signaient cette invraisemblable enquête particulièrement étayée !

La Justice qui est donc saisie depuis le 17 octobre 2019 sur ce dossier (date de sortie du rapport de la Cour des comptes au vitriol) – « Ce jour-là, les magistrats de la Cour des comptes ont rendu un rapport qui a sidéré le petit monde policé du mécénat français, dont l’institution aux 73 salariés et 14 millions d’euros de budget annuel est le représentant le plus incontournable. Ils lui intiment de trouver 4,5 millions d’euros avant le 31 décembre ou, « à défaut, [d’]engager la procédure de retrait de la reconnaissance d’utilité publique et de dissolution de la Fondation» (dixit Marianne) – pourrait bien s’intéresser de très près au fonctionnement de la Fondation des femmes qu’Ernotte avait financée sur les deniers publics en remettant alors une  somme à la compagne de Stéphane Sitbon-Gomez qui  se présentait alors comme sa présidente. 




A suivre donc de très près…

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