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samedi 11 juillet 2020

L’épouse du chef de l’État sur France info le dernier jour de dépôt des candidatures pour la présidence de FTV.

L’épouse du chef de l’État sur France info le dernier jour de dépôt des candidatures pour la présidence de FTV.


On en fait des gorges chaudes à France Télés ce 11 juillet…On s’en gargarise et les commentaires vont bon train !

« Un vrai coup politique » [décidemment il n’est question que de coups, en ce moment ] s’enflamme l’un des dernier soutiens ernottien, ajoutant « Inviter la première dame de France à s’exprimer sur France info le jour de clôture des candidatures au CSA pour la présidence de France Télés, ça parle tout de même »…et d’enchérir « ça veut bien dire ce que ça veut dire ».

Ils sont assez nombreux justement, à ne pas comprendre ce que cela veut dire !!

Parce que le 10 juillet, France info programme un document sur la première dame de France, cela voudrait dire que son mari reconduirait l’ex-Orange alors que c’est le CSA qui choisit de surcroit !? Non mais allo quoi !  

Il n’est absolument pas question ici de revenir sur l’interview que l’épouse du président de la République a accordée à franceinfo - une interview dans laquelle elle s'exprime sur ses engagements, notamment pour l'opération « Pièces jaunes », sa vie à l'Élysée et son rôle auprès d'Emmanuel Macron… – mais de l’utilisation fallacieuse qu’en font certains après coup [encore] pour tenter d’instrumentaliser le couple présidentiel et visant surtout à faire croire qu’Emmanuel Macron se serait déjà prononcé pour Ernotte. Ben voyons !

« Capable de tout » nous confiera un fin connaisseur du secteur qui nous explique que « ces choses-là ont toujours l’effet inverse que celui escompté »


Vers un duel Hollande -Sarkozy pour France TV ?

Vers un duel Hollande -Sarkozy pour France TV ?

Le CSA a clôturé l’appel à candidatures et dévoilera les « admissibles » le 15 juillet…


« Le CSA va devoir faire le choix entre la continuité et le changement » écrivait même dans ses colonnes un quotidien de Droite lorsque la veille un magazine s’interrogeait sur « Qui osera(it) défier » la sortante !

Le titre de presse cher à Rossini allait même jusqu’à affirmer qu'un duel que les membres du CSA allait devoir trancher, se préparait: « Dans la balance, les sages de la tour Mirabeau vont devoir d’un côté prendre en compte la situation financière dégradée de France Télévisions… l'exercice 2020 risque de se terminer avec un déficit proche d'une cinquantaine de millions de euros avec une année 2021 qui risque d'être encore plus compliquée et de l’autre, un homme de management qui connaît bien la télé, la radio et le numérique [sans dire bien évidemment qu'il a été viré de RTL en 2019] »

On se demande finalement si le choix du journal n’est pas déjà fait ?! 

C’est somme toute assez méprisant pour les candidats qui se sont déclarés et à l’évidence ont dû peaufiner leur PROJET stratégique, de réduire cette élection à un duel entre un Sarkosyste assumé et celle que « La main de Hollande » (dixit Le Canard enchainé) a touché de sa grâce !   

En somme, c’est presque la revanche de l’élection présidentielle de 2012 que le CSA n’aurait d’autre choix que d’arbitrer…Il y a fort à parier que l’instance ne l’entende évidemment pas de cette oreille et se cantonne à un tel scénario qui nous renvoie des années en arrière vers cette vieille télé et ses vieilles tambouilles nauséabondes ! 

De gauche à droite: Frédéric Lefebre, MarcTessier, Franck Soloveicik, Christopher Baldelli, Jean-François Boyer, François Tron, Eric Ghébali et Danilela Lumbroso.

Ernotte intronise avant de partir le roi Norbert 1er qui voulait éradiquer le français d’un territoire de la République !

Ernotte intronise avant de partir le roi Norbert 1er qui voulait éradiquer le français d’un territoire de la République !

L’Association de Défense de l’Audiovisuel Public (ADAP) aura eu beau tirer la sonnette d’alarme, en février dernier dans son article « Il y a quelque chose de pourri au Royaume de Wallis » tout comme le faisait le blog CGC Média, le tandem Gengoul/Ernotte a donc décidé d’introniser il y a peu avec l’aval de quelques adhérents de l'ucsa-cgt (ou l’USTKE si vous préférez, membre de la CSA, la confédération des syndicats autonomistes qui a rejoint depuis la CGT) Norbert Taofifenua (cousin d’une des sept familles royales de l’île) roi de la petite station du Pacifique.

Depuis, le nouveau monarque qui comme le rappelait l’ADAP fut « suspendu de ses fonctions princières de rédacteur-en-chef par Mayerfeld aujourd’hui patronne ernottienne de France 3 mais envoyée alors sur place, à l’époque par la direction parisienne comme arbitre après que l’intéressé ait pondu une note officielle imposant le wallisien comme langue de travail dans une station payée par la redevance républicaine… », après plusieurs longs mois où « Il sombra dans une mélancolie puis dans une dépression délirante, fut arrêté et soigné pour ses troubles neurologiques » a donc hérité de la couronne, du sceptre royal et du titre de monarque régional de la station ultramarine de France Télévisions.

Il fait à présent ce qu’il veut et les règles fixées par Paris à des dizaines de milliers de kilomètres de son royaume, depuis son intronisation gengolo-ernottienne, il s’en affranchit.

Il n’a de compte à rendre à personne et fait selon son non vouloir Il procède à des nominations directes donc locales selon les propres termes de la direction régionale donc lui, sans respecter la procédure normale en vigueur beaucoup plus longue...Il est souverainement investi !    

Lui écrire ne servira à rien, il est trop haut dans les sphères du pouvoir pour daigner répondre.

Le récent courrier que vient de lui adresser le 6 juillet dernier, le responsable du SNPCA-CGC (ci-après), il n’en a cure.

 A monsieur Norbert TAOFIFENUA - Directeur Régional de Wallis et Futuna La 1ère

Objet : La cogestion « direction régionale + direction dans ucsa-cgt/CCEOS » n’est plus possible!

Monsieur le directeur,

Par la présente et faisant suite au dernier CCEOS, notre organisation dénonce avec fermeté l’ossature actuelle de l’instance représentative du personnel dans laquelle votre prédécesseur s’était déjà retrouvé, évitant toute action pour s’en éloigner.

Vous avez sciemment décidé de ne rien remettre en cause lors de votre premier CCEOS.

Lors de cette séance en date du 02/07/2020, vous avez annoncé en préambule que vous aviez demandé au secrétaire titulaire du CCEOS, délégué syndical ucsa-cgt, d’intégrer les rangs de la direction puisque celui-ci est également l’adjoint au Chef de Centre et assure actuellement l’intérim.

Le secrétariat de séance revenait donc à l’adjoint. Assez incroyable…

Je vous rappelle comme dans tous les IRP, que deux parties représentatives siègent. A savoir, les représentants de la direction et ceux des salariés. Dans l’ambiance habituelle de l’instance, soit les deux parties s’opposent, soit elles vont dans le même sens.

Que les salariés votent pour celles et eux qui vont les représenter  dans le cadredes élections professionnelles est une chose… en revanche, que depuis quelques années, le secrétariat du Comité donc de l’instance, reste occupé par un élu ucsa-cgt qui est fait bien partie de la direction, en est une autre !

C’est un peu comme si la direction régionale et l’ucsa-cgt réalisaient une OPA sur  la station.

« Aujourd’hui, j’ai demandé au secrétaire du CCEOS d’être à mes côtés … la prochaine fois, il reviendra avec vous … » avez-vous déclaré. Comprenez notre étonnement après ce propos mais aussi ce que nous ressentons de votre préambule sur le sujet.

Nous avons peut-être raté un épisode ou mal interprété un texte agréant ce schéma représentatif. Mais comment une direction régionale peut-elle continuer à maintenir une telle situation, au soi-disant prétexte de préserver la paix sociale et/ou de contrôler sans obstacle la mise en œuvre de son projet annoncé comme résolument ambitieux ?

Nous ne pouvons qu’être en totale opposition à ce projet de comblement des postes à responsabilité, justifié selon la direction par l’urgence, qui passe outre la voie habituelle à savoir leur publication et leur mise en consultation. Cette gestion nombriliste et hors-sol nous préoccupe sincèrement.

En tous les cas, avec insistance, nous dénonçons la légitimité de cette représentation de l’instance monopolisée par la direction et cela jusqu’à preuve du contraire, nous prendrions toutes mesures nécessaires.

Nous sommes contraints de fermement réagir, Monsieur le Directeur, au sujet de l’attribution d’un demi-poste que vous venez de valider sur Futuna avec comme intitulé « un poste foncier » ! Sur quel critère légal d’embauche s’est basée votre décision ? Des soi-disant engagements de la direction, sans traces écrites bien évidemment mais appuyés par l’ucsa-cgt pour tenter de justifier ce cette cuisine extra professionnelles. Nous vous invitons à reconsidérer votre jugement.

Enfin, nous dénonçons l’attitude de la direction dans cette séance du 02/07/2020, avec l’information sur l’audit des comptes du Comité en dernier point de l’ordre du jour qui a fait réagir avec véhémence et nervosité le Chef de Centre par intérim comme la représentante syndicale ucsa-cgt d’ailleurs. Des postures pour beaucoup, particulièrement si les intéressés n’ont rien à se reprocher quant à la normalité de ce processus. Nous nous interrogeons sur les raisons qui inspirent leurs comportements.

Effectivement, à la demande de notre organisation comme de la CFDTet pour répondre à votre propre interrogation en séance sur les auteurs de cette requête, nous vous confirmons qu’une expertise des comptes du Comité a été diligentée par la direction régionale, ce qui constitue un processus systématique et logique permettant une totale impartialité.

Cela fait maintenant deux années qu’aucun bilan financier du Comité n’a été présenté en séance par la direction en la personne de son secrétaire, Chef de Centre par intérim comme le prévoit dans son règlement intérieur. Pourquoi ?

Dans l’attente de votre retour, nous vous prions d’agréer, monsieur le directeur, l’expression de nos sentiments distingués.

 

Lettre signée du Délégué syndical SNPCA-CGC

Copies :

Mme Sylvie GENGOUL

M. Arnaud Lesaunier

SNPCA-CGC Central

Jean-Baptiste WAOUEDEOU, Administrateur

Teva PAMBRUN, Chef de Centre

Dans quelques jours le tandem Gengoul/Ernotte aura cessé d'exister et la nouvelle tête nommée pour présider le groupe France Télévisions pourrait bien lui retirer rapidement sa couronne!

vendredi 10 juillet 2020

Arte va-t-elle devenir une télé trash ? Les allemands mais aussi les téléspectateurs ont du souci à se faire.

Arte va-t-elle devenir une télé trash ? Les allemands mais aussi les téléspectateurs ont du souci à se faire.

Le 17 décembre 2015, le blog CGC Média annonçait « l’éviction de Boris Razon nommé d’abord aux "Nouvelles écritures" par son pote Patino (évincé de France Télé dès le mois de septembre 2015) pour un budget dédié d'environ 3M€ puis basculé sur France 4 comme une sorte de directeur éditorial (pour un budget, là, d'environ 20M€) qu’il avait largement contribué à détruire avec sa télé trash sur fond de « Gogole World Boredello » (sic)

Le voila qui revient aujourd’hui mais sur Arte…là aussi, il y sera nommé à partir du 7 septembre directeur éditorial quasiment dans la même configuration !

Sitbon-Gomez le dircab ernottien qui pourrait remplacer Candilis pour quelques jours avant le départ de l’ex-Orange donc le sien, a liké...cette bonne blague! 

 

Il trouve bien que celui qui aura complètement planté France 4 jusqu’à ne faire une chaine trash et dépotoir, aille aujourd’hui revoir la ligne éditoriale de la très culturelle chaine franco-allemande Arte !

Le blog CGC Média propose au président du GEIE Arte qui se libèrera fin de 2020, mais aussi aux salariés du groupe audiovisuel partagé entre la France et l’Allemagne, comme aux téléspectateurs qui nous lisent, de prendre connaissance d’un des nombreux papiers écrits sur l’intéressé.

Razon est à l’origine du chaos et de l'anarchie qui régnèrent sur France 4 avec cette mini-série qu’il a avait co-écrite « François Hollande sortait la France de l’euro, Manuel Valls démissionnait en réaction avec  les répercussions législatives induites et Marine Le Pen fort de ce scénario tentait de faire main-basse sur l’Elysée…. ».pour des audiences infinitésimales  selon Médiamétrie à l’époque -  quelques 50.000 téléspectateurs soit 0,3% de part d'audience   le tout avec l'argent public.

« Boris Razon est le directeur des nouvelles écritures web et du transmédia, et directeur éditorial de France 4. C'est lui qui est à l'origine d’«Anarchy» (*) que présente ce jeudi France Télévisions. Un projet ambitieux, avec un budget important (1 million d'euros) et voué à offrir une nouvelle expérience aux téléspectateurs…. " écrivait « L’opinion » à l’époque.

Razon est aussi le promoteur de la serie « Black Mirror » dont le premier épisode diffusé l’était avec la signalétique obligatoire « interdit moins de 16 ans » à cause des images d’une rare violence et « intrigue » tournant autour de la ZOOPHILIE Razon est aussi le promoteur de la serie « Black Mirror » dont le premier épisode diffusé l’était avec la signalétique obligatoire « interdit moins de 16 ans » à cause des images d’une rare violence et « intrigue » tournant autour de la ZOOPHILIE où « le Premier ministre anglais était contraint de sodo**** un cochon »Sur une chaine JEUNESSE qui plus est du Service Public complètement dévoyée alors !

 Sur une chaine JEUNESSE qui plus est du Service Public complètement dévoyée alors !

Il est aussi l’homme des audiences abyssales, également transmises par Médiamétrie avec cet invraisemblable fumisterie "Tokyo reverse" mise à l'antenne entre  20h45 et 3 heures du matin pour 29.000 téléspectateurs estimés, soit 0,2% de part d’audience seulement, moins que la marge d’erreur de la machine !!!! 

 

C’est encore Razon qui programmait ce fameux projet de magazine quotidien le « gogole world bordello » qui comme son nom l’indique donnait une image très classe de la télé publique !

Etc…

Enfin, à tous nos lecteurs désireux d’en savoir plus, nous conseillons pour leur recherche sur le Net, d’associer à blog CGC Média les mots clés suivants : Razon, France 4, jeunesse, Chaos, Anarchy, Gogole, Bordelo…

A tous nous souhaitons bon courage dans ces temps de chaos et d'Anarchy médiatique à venir !

(*)

L’ex-Orange vs l’ex-M6…le CSA n’aurait d’autre choix ?!

L’ex-Orange vs l’ex-M6…le CSA n’aurait d’autre choix ?!

L’ex-Orange vs l’ex-M6…le CSA n’aurait d’autre choix ?! Choquant pour l’ensemble des autres candidatures qui vont être déposées ou le sont déjà afin de proposer un projet stratégique pour France Télés dès leur nomination à la tête du groupe France Télévisions.

Entre un bilan en trompe-l’œil (lamentable en réalité, en dépit de la com-propagande qui l’accompagne au quotidien) pour l’ex-Orange  depuis son abracadabrant exfiltrage  de la Téléphonie vers France Télés (*) et l’expéditif limogeage l’an dernier par Nicolas de Tavernost  du sarkoziste Christopher Baldelli (¤), l’ex-lieutenant de Marc Tessier qui aurait bien aimé prendre sa place à l’époque mais n’a pas pu, les six membres du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel ne devrait donc pas regarder ailleurs.

Le « L’hypothèse du surgissement, ces derniers jours, d’une candidature crédible aspirant à la fonction, issue des rangs de l’audiovisuel, sans qu’une identité soit [pour l’instant révélée, ndlr] révélée. » comme l’écrivait hier dans le Monde Aude Dassonville dont chacun se dit qu’elle devrait surement en dire plus, les membres du CSA devraient ne pas la considérer à cause du duel Baldelli/Ernotte ?

La candidature de Jean-Paul Philippot, ce haut fonctionnaire belge qui vient de fêter son soixantième anniversaire il y a peu, patron de la RTBF depuis le 18 février 2002  et président de l'Union européenne de radio-télévision (UER) de 2009 à 2019, les membres du CSA devraient l’oublier à cause du duel Baldelli/Ernotte ?

Le possible ticket d’Isabelle Giordano avec un pro de l’Audiovisuel dont l’identité reste encore secrète, les membres du CSA devraient l’ignorer à cause du duel Baldelli/Ernotte ?   

Que dire des candidatures, elles déclarées, de Serge Cimino journaliste de France TV et de Pierre-Etienne Pommier, conseiller numérique de LREM à l’Assemblée nationale qui lui a déjà déposé et dont L’Opinion révélait, il y a quelques heures, ses rencontres en terrasses comme le titre de presse révélait aussi le débauchage d’Yves Bigot qui a démenti - « Christopher Baldelli ferait un ticket avec lui ; Delphine Ernotte l’aurait déjà recruté – ce qu’Yves Bigot a démenti à l’Opinion – et ce jeudi matin… » - il ne faudrait pas à s’y attarder à cause du duel Baldelli/Ernotte ?


A quoi pourrait bien servir cette élection si tel était le cas si le duel annoncé ne souffre aucune autre alternative ?

Chacun se souvient du pataquès, Il y a 5 ans lorsqu’ils ils étaient 8 à décider sous Schrameck avec un partage des voix (4 contre 4) le tout dans une mascarade d’élection dont la presse s’est largement fait l’écho et qui a débouché sur le basculement d’une des voix à Pascal Josèphe pour l’ex-Orange mais aussi une plainte au Pénal toujours pendante en dépit de ce que prétende certains.

Aujourd’hui, ils sont 6 - trois femmes (Carole Bienaimé-Besse, Michèle Léridon, Nathalie Sonnac) et trois hommes (Le président du CSA Roch-Olivier Maistre, Nicolas Curien et Jean-François Mary) -   Hervé Godechot, ancien de FTV, ne participant pas au vote pour éviter tout conflit d’intérêt, donc il faudra 4 voix pour passer.

Baldelli 3, Ernotte 3 ? Ce pourrait bien être cela aussi « la honte de la République » pour reprendre la formule du Chef de l’État si ce genre de mascarade devait se reproduire !

Bien sûr, ils sont de plus en plus nombreux à vouloir lui faire passer le message à Emmanuel directement ou par personnes interposées comme l’indiquait hier le blog CGC Média – « …ces courtisans hurluberlus qui n’ont bien évidemment qu’une idée en tête, que la décadence de la télé publique non seulement se poursuive mais qui plus est, s’accélère…en soufflant le nom d’Ernotte qui serait selon eux un coup brisant la (soi-disant) malédiction,  tout comme la nomination d’Éric Dupond-Moretti était un coup politique ».

Il n’y aura plus personne, chacun peut en être sûr, lorsque la chute programmée de la Télévision publique à ne rien changer se sera accéléré et aura tout entraîné avec elle reléguant le big bang annoncé par le Président de la République au rang de pétard mouillé …

La parole présidentielle n’aurait-elle pour ces gens que si peu d’importance ?!  


(*)
(¤)

jeudi 9 juillet 2020

France Télés : « surgissement d’une crédible aspirant à la fonction » écrit Aude Dassonville. »

France Télés : « surgissement d’une candidature crédible aspirant à la fonction » écrit Aude Dassonville. »

« Ces derniers jours, l’hypothèse du surgissement d’un nouveau et crédible aspirant à la fonction, issu des rangs de l’audiovisuel, se faisait insistante, sans qu’une identité soit révélée. » vient tout juste d’écrire Aude Dassonville dans Le Monde.

A quelques heures du dépôt final des listes – vendredi 10 juillet minuit – il semble que rien ne soit fait comme le chantent certains, bien au contraire et ce malgré le discours de certains thuriféraires ernottiens et/ou petits chefs de service qui affirment en interne "Les jeux sont faits, Baldelli est un faux nez...la crise du Covid aidant, ils ne peuvent pas faire autrement que de la maintenir! " 

Le blog CGC Média évoquait d'ailleurs ce matin ces courtisans de palais qui se répandent partout en racontant à quelques gogos qu’il faudrait briser la soi-disant malédiction qui pèserait sur la télé publique en reconduisant celle qui l’aura, malgré les vains efforts de certains à prétendre le contraire, conduite à la catastrophe.

Imaginez les mêmes aller dire au président Macron, il faut briser la soi-disant malédiction qui pèserait sur les ministres de la Culture!

Ce serait « un coup politique » à l’instar de l’entrée au gouvernement « d’Éric Dupond-Moretti » qui ferait d’Emmanuel Macron le président sous lequel cette pseudo superstition prendrait fin.

Heureusement le chef de l’État n’est pas superstitieux et ne croit encore moins à ces pronostiqueurs de coups qui justement à tous les coups, vous envoient dans le mur !


Extrait :

« Le 10 juillet à minuit, le CSA clôturera l’appel à candidatures. Mercredi 15, la réunion plénière hebdomadaire de l’instance sera consacrée à l’ouverture des plis électroniques, la définition des candidatures recevables (avoir livré un dossier complet, un projet stratégique, avoir moins de 65 ans au moment de la prise de fonction, etc.), puis au vote à bulletin secret pour désigner ceux qui seront auditionnés : seuls les noms de ces derniers seront révélés.

Jusqu’à vendredi minuit

Les noms, souvent avancés, de Rodolphe Belmer, directeur général d’Eutelsat et ancien directeur général du groupe Canal+, mais aussi président du comité d’orientation stratégique de France Télévisions, et d’Alexandre Michelin, ex-directeur général de Spicee et candidat au poste en 2015, doivent être écartés.

Ces derniers jours, l’hypothèse du surgissement d’un nouveau et crédible aspirant à la fonction, issu des rangs de l’audiovisuel, se faisait insistante, sans qu’une identité soit révélée…

Organisées à partir du 20 juillet, en partie publiques, ces auditions conduiront les six conseillers qui entourent Roch-Olivier Maistre, le président du CSA, à choisir, au plus tard le 24 juillet, le nouveau dirigeant pour cinq ans de France Télévisions (FTV).

Les trois femmes (Carole Bienaimé-Besse, Michèle Léridon, Nathalie Sonnac) et les deux hommes du collège (Nicolas Curien et Jean-François Mary, Hervé Godechot, ancien de FTV, ne participant pas au vote) choisiront-ils de la confirmer à son poste, au nom de la stabilité du groupe public ? Ou seront-ils séduits par un projet autre ?

En attendant de connaître tous les candidats, c’est en Christopher Baldelli, également ancien dirigeant de France 2, que Delphine Ernotte semble devoir trouver son concurrent le plus sérieux.

Quant à savoir si le changement de gouvernement pourrait être de nature à interférer dans cette nomination, d’autant plus observée qu’elle intervient à moins de deux ans de l’élection présidentielle, un proche de l’un des deux principaux candidats cingle : « Bien sûr que non, puisque c’est le CSA qui nomme. » Comme si les sages de la tour Mirabeau, dont le pouvoir même de désignation est menacé, pouvaient rester totalement insensibles à une quelconque volonté exprimée au plus haut de l’État… »


« Qui osera défier » l’ex-Orange, s’interroge Le Point qui donne Baldelli à l’affut et Philippot réfléchissant !


« Qui osera défier » l’ex-Orange, s’interroge Le Point qui donne Baldelli à l’affut et Philippot réfléchissant !
Qui ? Mais des femmes et des hommes qui ont jusqu’à vendredi pour qui déposer leur candidature auprès des sept membres du CSA qui désigneront au plus tard le 24 juillet la nouvelle tête qui prendra pour 5 ans les rênes de France Télés...comme par exemple Isabelle Giordano que l'on donne ces derniers temps candidate pour un ticket avec un pro du secteur!
Les six conseillers du Conseil et son président Roch-Olivier Maistre nommé le 18 janvier 2019 par Emmanuel Macron Président, n’auraient donc le choix qu’entre ces trois-là ?!
L’ex-Orange, le sarkosyste assumé Christopher Baldelli (bientôt 56 ans) ex-codégé de France Télés sous Tessier et Philippot pas Florian évidement – Jean-Paul Philippot, ce haut fonctionnaire belge (qui vient d’avoir 60ans) patron de la RTBF et président de l'UER de 2009 à 2019.

« C’est un peu court…» comme aurait dit Cyrano et particulièrement désobligeant somme toute pour celles et ceux qui seront retenus et amenés à présenter leur projet devant les sages.

L’article signé Olivier Ubertalli  qui détaille rapidement sur la procédure et indique que seulement 6 des sept membres prendront part au vote - le journaliste Hervé Godechot, qui a travaillé plus de vingt ans à France Télévisions, pour éviter tout conflit d'intérêts n’y participera pas -  donne même l'ex-directrice exécutive de l'opérateur télécom « favorite à sa propre succession »….et de rappeler que «  le CSA a(urait) dressé un bilan globalement positif de sa gestion ».

Pour dire les choses autrement alors que Baldelli (*) et Philippot sont cités, pas un mot sur eux…rien ! En revanche pour dresser de fallacieuses couronnes de lauriers à celle qui le 24 août aura libéré l’entreprise, ça y va !
Même la chaîne info qui est un des incommensurables échecs est ainsi présentée « la chaîne France Info qui a bougé la maison – même si elle reste, en audiences sur la TNT, loin derrière BFM TV, LCI et CNews »ou de ces plateformes en cascade qui ne sont que des écrans de fumée destinés à masquer la perte totale de crédibilité et les désintérêt des téléspectateurs dont les supposées audiences sont qualifiés de « résultats encourageants sur le numérique pour attirer les jeunes avec les plateformes francetv.fr, Slash et Okoo ».
Chacun aura compris le message mais la ficelle est tout de même un peu grosse !
Si les dés sont jetés, à quoi peut bien servir cette élection alors ?
Les propos du Président de la République deux ans après le parachutage d’Ernotte à France Télés sur l’Audiovisuel public « honte de la République »…n’auraient eu aucun sens ?!
Le « big bang » qu’il appelle de ses vœux pour la télé publique ne serait qu’un concept pas suivi d’effets ?!
Il suffirait donc de prolonger « La Delphine » comme la surnommait Thierry Breton pour stopper « la malédiction des présidents sortants du groupe audiovisuel public » ? (comme l’écrit le magazine)
C’est en tout cas l’un des arguments principaux qu’une petite poignée de lobbyistes dont un totalement dédié à l’ex-Orange et quelques conseilleurs occultes essaient de véhiculer ici et là pour qu’ils remontent aux oreilles du Chef de l’État, de quelques politiques qui pourraient passer un ou deux coups de fil en ce sens et parviennent jusqu’aux étages supérieurs de la Tour Mirabeau !
Certains vont même jusqu’à assurer que ce serait là un coup politique ! Pourquoi ?
Attention, accrochez-vous pour l’explication qui tue: «Tout comme la nomination d’Éric Dupond-Moretti est un coup politique, le fait de donner un peu de stabilité à France Télés en ne changeant rien donc en brisant la (soi-disant) malédiction, en  serait un autre » avancent en chœur certains de ces courtisans hurluberlus qui n’ont bien évidemment qu’une idée en tête, que la décadence de la télé publique non seulement se poursuive mais qui plus est, s’accélère.
Le seul coup que cela représenterait, c’est le coup de poignard dans le dos que recevraient les personnels de France Télés qui attendent pourtant avec impatience le changement pour se remobiliser afin d’accompagner enfin le big bang annoncé !
(*)