Contactez-nous!

Par téléphone au 06.14.06.44.36 ou par mail en Cliquant Ici!

samedi 5 septembre 2020

Le gouvernement accorde une dotation « exceptionnelle » de 70 millions d’euros à l’audiovisuel !

Le gouvernement accorde une dotation « exceptionnelle » de 70 millions d’euros à l’audiovisuel !

Le gouvernement accorde une dotation « exceptionnelle » de 70 millions d’euros à l’audiovisuel pour « amortir les effets de la crise » sur les deux milliards d’euros réservés à la Culture dans le cadre du plan de relance de 100 milliards d’euros adopté récemment.

Ces deux milliards d’euros sont « une réponse massive et globale » adressée au secteur de la culture, « durement touchée par la crise sanitaire », indique le communiqué du ministère de la culture qui détaille les différentes mesures destinées à « soutenir les reprises d’activités et se projeter dans l’avenir », s’agissant notamment  enveloppe de 400 millions d’euros destinée à accompagner « l’accélération de la transition numérique des industries culturelles et créatives ».

Il est par ailleurs demandé au secteur de l’audiovisuel public de « poursuivre les plans de transformation » en cours, et donc les mesures d’économies à Radio France ou France Télévisions comprenant la suppression de France 4 d’ici un an après celle de France Ô déjà réalisée.

Sur ces 70 millions, même si rien n’est totalement définitif, France Télévisions devrait percevoir environ 40 millions, Radio France moitié moins avec 20 millions d’euros quand FMM, elle, recevrait environ 10 millions.

L’article de La Croix signé Aude Carasco qui pose la question « Plan de relance : où iront les deux milliards pour la culture ? » donne toutes les explication nécessaires à cette répartition.



Les pro Baldelli à France Télés devront surement quémander un poste en quittant le groupe !

Les pro Baldelli à France Télés devront surement quémander un poste en quittant le groupe !

Le 31 dernier, le blog CGC Média dans son article « Les pro Baldelli dans le viseur à France Télés! » écrivait « Les représailles pour les soutiens [à Baldelli] dont la liste ne cesse de grossir, auraient même déjà commencé et pourraient déboucher très vite sur des départs en cascade. »

Celles et ceux - quel que soit leur poste à France Télés - qui attendaient l’arrivée de leur poulain à l’issue d’une mascarade de « sélection » à laquelle certains d’entre eux comme l’intéressé avant cru jusqu’au bout quand tout était pipé d’avance, vont très vite comprendre leur douleur !

Quel que soit le nombre d’années passés dans l’audiovisuel si passionnant soit le secteur, les pro Baldelli à France Télés vont probablement devoir quémander un poste un de ces prochains matins en quittant le groupe car le candidat malheureux qu’ils espéraient n’étant pas au rendez-vous, ils ne devraient de toute façon pas faire de vieux os et ce malgré la contestation à venir.  

Ils n’auront pas le temps d’attendre qu’ait abouti la procédure visant à l’annulation de l’ensemble de la procédure mise en scène par Roch-Olivier Maistre…rien, en attendant, ne sauvera leur tête.

vendredi 4 septembre 2020

L’ex-Orange et le « journalisme de construction »…de « déconstruction » serait plus juste!

L’ex-Orange et le « journalisme de construction »de « déconstruction » serait plus juste!

Alors qu’est imminent le dépôt d’une solide procédure visant à faire annuler la pitoyable mise en scène de juillet dernier signée Roch-Olivier Maistre le successeur de Schrameck au CSA, l’ex-Orange prévoit de s’attaquer à l’Info.

Alors qu’elle avouait le 21 juillet dernier devant le collège incomplet du Conseil qu’elle n’avait aucune compétence en matière de télévisions car gestionnaire dans la téléphonie : « Je savais gérer mais j’ai appris ce qu’est le journalisme, la fiction, le divertissement, le rythme effréné de l’info… », elle adresse déjà des messages à celles et ceux qui l’ont portée!

Cliquez ici pour lire la vidéo 


Alors que le départ de Candilis que le blog CGC média avait annoncé dès le 30 juin mais qui a finalement lieu un peu plus tôt que le sursis qu’il avait jusqu’à octobre, celle dont le parachutage en 2015 fait toujours l’objet d’une plainte et donc d’une nouvelle procédure, ce devrait être le tour de l’Info.  

Celle qui prônait, voilà quelques jours « un journalisme de solution »… « pas un journalisme de "bonnes nouvelles" mais un journalisme qui donne des clés de compréhension; qui dénonce ce qui ne va pas, explique pourquoi et propose des solutions » (dixit) qui a fait réagir vivement Le Canard enchaîné de ce mercredi (* ci-après) devrait prouver qu’elle n’a pas été sourde aux voix qu’elle a entendues !

(*)


Yannick Letranchant qui avait remplacé Michel Field à la direction de l’Info comme le directeur opérationnel de la rédaction nationale de France Télévisions Christophe Tortora sont donnés eux aussi sur le départ.

Élise Lucet visée par ses récents propos lors d’une interview dominicale « Nous avons démarré un travail de réflexion sur tous nos magazines d'infos. Il faut qu'on s'interroge sur leur ton. On a souvent un problème d'adéquation entre le fond et la forme. » dont l’éviction serait dans les tuyaux a pris les devants pour la contrer avec ce tweet des plus astucieux (¤)

(¤)

Il se murmure encore, notamment au 6ème étage de France Télés qu’un grand chamboule-tout des Éditions comme l’avait déjà évoqué le blog CGC Média est prévu. Marie-Sophie Lacarrau, journaliste et présentatrice du « 13h » irait au « 20h » et Djamel Mazi, journaliste et coprésentateur du 17-20 sur franceinfo passerait, lui, au « 13h ».

Du coup Anne-Sophie Lapix qui  avait remplcé Pujadas à la présentation du « 20h » en semaine pourrait ne conserver que Le Grand Échiquier

Patricia Loison (l’ex-présentatrice des JT de France 3) devenue présentatrice du « 23h » sur franceinfo qui avait promis – « de révolutionner la tranche » chacun s’en souvient - pourrait, elle, rejoindre le bureau de Londres !

Ce ne sont là que les premières rumeurs qui vont bon train en interne mais aussi à l’extérieur à présent, de la nouvelle chantre du « journalisme de construction » exercice « Très exigeant car il est dangereux de laisser le citoyen devant une information incomplète » (sic)

En réalité c’est plutôt la poursuite de l’entreprise de déconstruction  sur laquelle elle s’est engagée sans rien y connaitre qui est de mise avec sa traditionnelle antienne qui met en avant fraceinfo : un de ses nombreux échecs, tout en continuant de taper sur les autres cassant les autres à un bémol près « plus question de sa minuscule audience à présent » : « Nous n'irons pas dans la radicalité de certaines concurrentes. Et nous ne ferons pas la course à l'audience même si je souhaite qu'elle augmente. Nous allons enrichir la grille et la rendre plus claire parce que France Info doit rester une alternative aux chaînes qui font le Buzz car la chaîne valorise l'analyse et le décryptage, sans être anxiogène ».

Et elle chante qu’elle a appris en cinq ans alors qu’elle savait juste gérer ?!

jeudi 3 septembre 2020

Le bonimenteur et égocentrique Candilis aura plombé France Télés comme jamais !

Le bonimenteur et égocentrique Candilis aura plombé France Télés comme jamais !  

C’est assez incroyable de voir comment l’ex-numérobis de France Télés essaie de réécrire la cascade d’échecs qui fut la sienne depuis le départ de Xavier Couture son prédécesseur.

Il se vante ici et là de laisser une maison remise à flot alors que France Télés a depuis un bon moment touché le fond…Comment croire à un tel boniment de la part de celui qui démentait son départ que le blog CGC Médias révélait dès le 30 juin par un tweet ridicule et mensonger (*) « Des "rumeurs récurrentes" reprises dans un hebdomadaire qui sort ce jeudi font état de mon départ de FTV. Je suis là et heureux d’y être. Et je dois dire que le travail ne manque pas et les seuls contrats que je négocie sont ceux de la grille de rentrée. Vive la Tv ! » ? 

(*)

Celui qui pleurnichait fin février dans la serviette d’Anna Cabana pour sa rubrique « Rendez-vous » dans le JDD avec sa grotesque psychanalyse d’opérette tentant de se présenter comme le  « métèque qui doit prouver qu’il est meilleur que les autres » visait là le confidentiel de Marc Baudriller pour Challanges qui écrivait « Takis Candilis a bouclé sa négociation avec France Télévisions : il devrait quitter fin juillet la direction de l’antenne et des programmes ».

   

« Je suis là, bien là et heureux d’y être et mon départ n’est que rumeurs » baratinait quelques jours plus tard, le même qui déclarait quelques semaines plus tôt dans une interview à puremedias.com  « Si Delphine Ernotte souhaite que je la seconde et continue de travailler avec elle, je le ferai avec grand plaisir ».



Que vient à présent prétendre le numérobis de carnaval poussé réellement vers la sortie « J’avais fixé d’emblée la règle du jeu avec Delphine Ernotte : je n’irai pas au-delà de son premier mandat. Je suis dans l’audiovisuel depuis quarante-huit ans, c’est un secteur passionnant, mais je n’ai pas envie de me retrouver un matin à devoir quémander un poste. À 66 ans, j’ai aussi envie de vivre ma vie. ».

Qui pourrait bien croire un tel individu qui change ainsi de version comme il change de chemise et voit se rester encore longtemps dans le secteur : « J’ai quelques histoires que j’aimerais encore raconter ». Il espère sûrement pouvoir  les fourguer à France Télés !

Des histoires justement l’ex- président de Lagardère Studios avant d’être nommé DG de Banijay Studios France pour y développer sas succès la fiction, avant d’être parachuté à France Télés, en a raconté des tonnes pendant plus de deux ans et en raconte encore aujourd’hui en se vantant – personne n’est dupe – de préférer « partir sur un succès » !

Quel succès ? Faut-il rafraîchir la mémoire à l’amnésique conteur ?

Il oublie par exemple l’énorme échec parmi tant d’autres de "La course des champions", un jeu sportif en extérieur animé par  Laury Thilleman , Teddy Riner et Sandy Héribert et produit par Warner, destiné à créer l'événement ?! Le format américain "Million Dollar Mile" - lui aussi, un bide d'audience sur CBS -, qui aurait coûté, la bagatelle de 800.000 euros par épisode à France 2, soit un total de 3,2 millions d'euros pour le pack de quatre épisodes commandés…sans compter les deux derniers qui ont été tournés mais diffusé cet été avec des scores d’audience minables 7,.4% fin juillet et 7,2% la première semaine d’août. « La fin d’un échec cinglant pour France 2 » titrait la presse qui ajoutait « France 2 est loin de ses objectifs avec La course des champions, qui achève son périple ce jeudi 6 août. Le jeu sportif a coûté cher à la chaîne, qui n’a eu les résultats escomptés. »

Il ne se souvient surement pas des flops successifs enregistrés par les six diffusions du Grand échiquier dont il a confié la production comme tant d’autres programmes d’ailleurs au patron de « Troisième Œil » Pierre-Antoine Capton se retrouvant quasiment en situation de quasi-monopole avec France Télés. Le blog CGC Média en rappelait le coût le 22 mai dernier dans on article « Environ 1,5 millions d’euros pour un nouveau flop sur France 2 avec le retour du Grand Echiquier produit par « Troisième Œil » »après la nouvelle débâcle d’audience enregistrée pour le 6ème numéro de l’émission présentée par Anne -Sophie Lapix soit 6,8% de part de marché seulement .

Le blog CGC Média, avait du reste pris sa calculette pour l’occasion et suite aux déclarations de Candilis qui annonçait « Nous avons investi 20 millions d'euros de plus sur la création, en portant l'effort à 440 millions par an »! fait les comptes par rapport  à l’info des Échos qui avait donné le coût par émission (sans compter donc le surcoût lié aux mesures sanitaires): 1,2 millions par numéro !

« Le 6ème numéro ayant été réalisé avec deux cars comme nous l’avions écrit « les deux cars jumeaux (ex Lille et Lyon ) où des séparations en plexiglas pour permettre un espacement des postes de travail »  dans des conditions spéciales pour un coût global estimé à  presque 1,5 Million d’euros, en additionnant l’ensemble soit 5 x 1,2M€ soit 6M€ auxquels s’ajoutent ces 1,5M€, cela fait tout de même 7,5M€…soit un bon tiers (37,5%) des 20 millions de rabiot promis par le Numérobis de France Télés. »avec ce 7ème numéro diffusé le 2 juillet pour un coût équivalent et une audience probablement similaire, l’enveloppe globale rien que pour Le Grand Echiquier, s’élèvera à près de 10 millions d’euros.

Il a dû zapper aussi « Samedi d’en rire »  et le contrat signé avec Jérôme Revon sans clause d’audience contrairement à l’émission de Mémé Ibach présentée par Yves Lecoq « Les grands du rire »  qui marchait pourtant bien !

Le talk d’Yves Lecoq rassemblait de 900.000 jusqu’à 1,3 million de téléspectateurs, soit de 8.8% à environ 10%  du public pour cette même  case case horaire du samedi alors que le programme lancé le samedi 7 septembre et présenté par Jean-Luc Lemoine, pâle copie du précédent mais qui n’attire que 400.00 à 500.000  curieux soit 6 et quelques % de l’ensemble du public. 

 

Ce serait trop long de les citer tous...Il faudrait des jours entiers pour énumérer le nombre de flops incommensurables que l'ex-numérobis compte à son palmarès.

Alors juste un petit dernier pour la route...Qui parle d’un de ses derniers flops en date, celui pour l’édition 2020 de la Fête de la musique à l’AccorHotels Arena (ça a coûté bonbon) qui devait tout casser, un vendredi soir  Une Fête de la musique "différente et militante", avait prévenu Candilis lors d’une visioconférence avec la presse – mais  qui n’aura réussi qu’à se classer 3ème avec 13.8% d’audience derrière Le grand concours des animateurs  sur TF1, totalisant 3.71 millions de fans spot 19.5% de pdm.

Candilis se souvient-il au moins du nombre d’émissions qu’il a confiées à un de ses proches Yannis Chebbi ?  

Le concert du 14 juillet sans public que « le monde nous enviait » fanfaronnait Candilis confié à son ami Yannis Chebbi s’était retrouvé 3 points derrière TF1. Malgré les 22 caméras tout de même, un hélicoptère et 450 techniciens ou membres des équipes de production de France Télés, Radio France et d’Électron Librepour retransmettre avant le traditionnel feu d’artifice,  ce rendez-vous de plein air post confinement retransmis sur les cinq continents (dixit la com’ d’Ernotte qui en a fait des  caisses) avait là encore fait un flop. Le 3ème volet de la saga Jurassik Park portépar Alessandro Nivola et Tea Leoni, s’était alors imposé en tête des audiences avec 18.4% de l’ensemble du public âgé de quatre ans soit 3.83 millions de téléspectateurs.

« Yanis Chebbi pour Candilis, c’est un peu comme son légataire spirituel…il va falloir passer par lui pour tout dorénavant » nous confiait l’un de ces nombreux producteurs qui ne font pas partie de cette poignée de copains-producteurs que le tandem candilo-ernottien donc le contribuable fait vivre grassement depuis un bon moment.

Qui portera l’héritage et fera la part belle au légataire putatif ? Le dircab/directeur de la Transformation Sitbon-Gomez dont le nom circule un peu partout pour remplacer ce bonimenteur de Candilis mais qui ne connait rien en matière de programmes – on se demande même qui l’a lancé ?! – ou Nicolas Coppermann (patron d'Endemol-Shine) dont le blog CGC média a donné le nom à deux reprises ( le 16 aout dernier et le 10 mars)  pour le poste !

La télé de demain selon Emmanuel Macron…le big bang quoi !

Natalie Sonnac recasée par Jean-Michel Blanquer après la mascarade de juillet au CSA !

Natalie Sonnac recasée par Jean-Michel Blanquer après la mascarade de juillet au CSA !

Chacun était inquiet. La ville ne dormait plus…Quel sort allait bien pouvoir être réservé à Nathalie Sonnac après la mascarade intervenue au CSA pour la présidence de France Télés orchestrée, en juillet dernier, par le remplaçant de Schrameck Roch-Olivier Maistre ?

En attendant la procédure imminente de contestation devant les juridictions compétentes à intervenir très vite à présent qui s’ajoute à celle toujours pendante de 2015, une chose est sûre c’est que Nathalie Sonnac quitte le CSA avant même la fin de son mandat et surtout après avoir comme en 2015 avoir mêlé sa voix à celle du président du CSA (et un troisième conseiller) ! 

Elle ne sera donc plus là lorsque tombera l'annulation après cette indigne procédure! 

Chacun peut donc être soulagé car nommée pour six ans le 27 janvier 2015 au CSA (*) par Claude Bartolone (PS) ex-président de l’Assemblée nationale, l’intéressée n’aura pas eu à attendre avant de retrouver un point de chute.

Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports a en effet nommé Nathalie Sonnac « présidente du comité d’éthique pour les données d’éducation en remplacement de Claudie Haigneré qui avait démissionné au printemps dernier pour des raisons personnelles ».

Voir le Communiqué (ci-après) :



« Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, a procédé jeudi 27 août à l’installation dans ses fonctions de la nouvelle présidente du comité d’éthique pour les données d’éducation : Nathalie Sonnac, qui succède à Claudie Haigneré qui avait démissionné au printemps dernier pour des raisons personnelles.

Pour rappel, le comité d’éthique pour les données d’éducation a été mis en place en octobre 2019, en complémentarité avec le délégué à la protection des données (DPD) et l’administrateur ministériel des données (AMD), pour conduire et développer la réflexion sur les aspects éthiques associés à l’utilisation des données d’éducation, afin de garantir un juste équilibre entre valorisation et protection de la donnée. Cette instance indépendante, composée de 11 membres qualifiés, est chargée d’émettre des avis et recommandations sur l’opportunité de l’utilisation des données d’éducation collectées et traitées dans - et hors - le cadre scolaire afin d’éclairer les décisions du ministre en la matière.

Nathalie Sonnac a profité de cette séance de travail avec le ministre pour lui remettre le résultat des derniers travaux du comité d’éthique dans un avis intitulé "Enjeux d’éthique des usages des données numériques d’éducation dans le contexte de la pandémie".

En effet dès avril dernier, dans le cadre du confinement et de la mise en place de la continuité pédagogique, les membres du comité d’éthique s’étaient s’autosaisis et avaient proposé au ministre d’entreprendre une réflexion pour identifier les questions éthiques liées à la gestion des données d’éducation soulevées par les usages accentués du numérique dans la période. Le résultat de leurs travaux s’est traduit par la production d’un rapport, dans lequel ils émettent des recommandations, au nombre de 23, portant sur le respect des libertés fondamentales des acteurs de l’éducation, la garantie de la souveraineté numérique en matière d’éducation ou encore l’égalité d’accès au numérique.

Jean-Michel Blanquer a remercié vivement les membres du comité d’éthique pour cet important travail qui viendra notamment alimenter les états généraux du numérique pour l’éducation qui se tiendront les 4 et 5 novembre prochains à Poitiers, capitale de l’éducation, et qui permettra au ministère de proposer un plan d’action en la matière. »