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samedi 2 janvier 2021

L’ex-Orange se croit-elle à l’abri ? Elle devrait vite déchanter !

L’ex-Orange se croit-elle à l’abri ? Elle devrait vite déchanter !

Les assidus lecteurs de l’Association de Défense de l’Audiovisuel Public n’ont pas dû être si surpris que ça en lisant l’information que donne le site à savoir « Un énorme plan de licenciements en préparation dans le secret du huitième étage [qui consacre, ndlr] le démantèlement de France Télévisions ».

« Vent froid qui souffle sur le Royaume de France Télévisions. Glacial. Funèbre » se désole l’ADAP qui brosse une photo du contexte peu joyeuse pour les salariés qui comme de coutume devraient faire les frais de ceux qui les méprisent et les ignorent « Des volontés se conjuguent pour donner du corps à un affaiblissement concerté de l’audiovisuel public. Il ne faut pas faire d’ombre aux groupes privés qui, soit engrangent les millions d’euros de la publicité et vident les cerveaux, soit accaparent les centaines de millions d’euros attribués au service public audiovisuel pour faire de la production [externe, chacun l’aura compris. Ndlr ] »

Le blog CGC Média qui a les mêmes retours, a choisi en ce deuxième jour de 2021 de relayer à son tour les réjouissances prévues par celle qui sous le coup d’une enquête préliminaire diligentée par le PNF (*) visant le contrat de 100 Millions qu’elle a signé avec la boite de Nagui (donc Banijay) se croit intouchable pour les cinq ans à venir, malgré deux procédures en cours visant à obtenir, entre autres, l’annulation de la mascarade intervenue en juillet dernier.

La caste des Intouchables c’est en Inde…faudrait-il le rappeler !? 

(*)

« Combien de licenciements prévus ? 2000 ? 3000 ? Sur 9000 salariés c’est pas beaucoup diriez- vous…En fait ces milliers d’emplois, sous la bannière de France Télévisions, correspondent à une myriade de sociétés qui ont été amalgamées mais dont les objectifs demeurent : les régions avec France 3, les Outremers Première, la production nationale avec France 2…En fait les effectifs devraient passer au-dessous de 9000 personnes globalement » écrit encore l’Association de Défense de l’Audiovisuel Public.

Après avoir égrainé les échecs plus ou moins retentissants de l’ex-Orange « Salto déficitaire jusqu’en 2023 au moins avec une perte estimée à 15 millions d’euros/an soit 45 millions d’euros pour rien….Okoo, le portail numérique mort-né à la fréquentation même pas symbolique…ou encore franceinfo : qui ne décollera jamais et qui coûte les yeux de la tête », l’explication tombe « C’est pour la création d’une chaîne de télévision temporaire qui ne sera ouverte que pour les Jeux Olympique de Paris en 2024… que ce grand plan de licenciements - qualifié de « grande surprise » -  se prépare en grand secret dans les bureaux du 8ème étage », l’ADAP qui s’interroge « Où trouver l’argent pour cette idée folle ? », fait bien évidemment le lien avec ce nouveau  « Plan de destruction de l’emploi audiovisuel ».


vendredi 1 janvier 2021

Complément d'enquête à France Télés...l'année 2021 sera judiciaire !

Complément d'enquête à France Télés...l'année 2021 sera judiciaire !

Tout d'abord, en ce 1er janvier, c'est le moment ou jamais de souhaiter plein de bonnes choses à toutes celles et ceux qui pensent que Télévisions publique a encore un sens et rien de bien à tous les autres qui la piétinent et la cassent année après année !

Mercredi dernier Le Canard enchaîné se penchait sur la suite qu'aurait pu ou dû donner Roselyne Bachelot  à la question que lui a posée en séance  (¤ vidéo et verbatim verbatim en fin de post) voila bientôt deux mois (le 9 novembre 2020) Frédérique Dumas la très probe et exemplaire députée du groupe Libertés et Territoires (ci-après) et indiquait qu'en plus d'un courrier détaillé qu'elle faisait à la ministre de la Culture s'agissant du contrat de 100 millions d'euros signées par Ernotte avec la société de Nagui, elle écrivait également à Bruno Lemaire.

 

Ces deux courriers interviennent après "l’enquête préliminaire confiée à la brigade de répression de la délinquance économique concernant le contrat cadre liant France Télévisions signé par Delphine Ernotte avec Nagui (groupe Banijay) sur la période 2017-2020 pour un montant de 100 millions d’euros…(*), qu'avait révélé le magazine Challenges, mi-décembre.

"Dès que le blog CGC Média aura copie de la lettre de Frédérique Dumas à Bruno Lemaire, nous ne manquerons pas de la publier" indiquions-nous.

(*) C'est à présent le cas...Nous avons eu copie dudit courrier et donc le publions comme prévu, en complément de l'enquête en cours.





(¤ vidéo et verbatim verbatim + lettre complémentaire à la Ministre) 


(verbatim)

Mme Frédérique Dumas. L’amendement de Michel Larive vise à soutenir la création dans sa diversité. Je voulais donc vous adresser une question, madame la ministre : le 24 mai 2017, Mme Delphine Ernotte a signé en personne une lettre adressée à la société de Nagui et sécurisant sur trois ans les prestations d’animateur de celui-ci pour France Télévisions. Ce document prévoit une rémunération de 100 millions d’euros ; ses clauses sembleraient contestables et révéleraient une distorsion par rapport aux usages.

Afin d’éviter tout dérapage, il est expressément prévu que les contrats d’un montant supérieur à 10 millions soient obligatoirement soumis pour validation au sous-comité des engagements, émanant du conseil d’administration de France Télévisions. En l’occurrence, il se pourrait que cette procédure n’ait pas été respectée. 

N’appartient-il pas au Conseil supérieur de l’audiovisuel, le CSA, de se donner les moyens de le vérifier ?

En tant que ministre de tutelle de l’audiovisuel public, garante de sa bonne gouvernance, pouvez-vous nous assurer qu’il existe des preuves concrètes de la validation de cet accord dit « confidentiel » par le sous-comité aux engagements, par exemple un ordre du jour et un procès-verbal ? Pensez-vous qu’une simple affirmation des dirigeants, sans trace écrite, puisse suffire ? Dans le contexte actuel, madame la ministre, une réponse précise de votre part est essentielle, et très attendue.              

M. le président. La parole est à Mme la ministre.

Mme Roselyne Bachelot, ministre. C’est un cas d’espèce : je ne dispose pas des éléments qui me permettraient de vous répondre immédiatement. Bien entendu, je m’engage devant la représentation nationale à vous donner tous renseignements nécessaires. Si vous le permettez, cette question me demandera un peu de réflexion, d’autant que les faits remontent à 2017, c’est-à-dire à une époque où – je ne le regrette pas – je n’étais pas ministre de la culture.   

(lettre à la ministre)

jeudi 31 décembre 2020

Les caisses de France Télés sont vides…en voici une nouvelle preuve !

Les caisses de France Télés sont vides…en voici une nouvelle preuve !

Cela fait plus de cinq ans que la propagande bat son plein à France Télés sur une télé soi-disant à l’équilibre en permanence et un groupe audiovisuel qui se vante d’être partout d’être premier malgré l’interminable succession d’échec enregistrés depuis tout ce temps.

Pour l’Actionnaire « tout va toujours très bien » ! Lorsqu’il se rendra compte après le passage de l’IGF et le lancement d’un nouvel audit que tout cela n’était qu’écran de fumée, il ne pourra pas dire qu’il ne savait pas !

Dernière preuve des problèmes financiers de France Télés, les possibilités qu’étudient sur le plan judiciaire les organisateurs du festival d'humour le Montreux Comedy Festival après que l’entreprise a décidé de les lâcher.

Le blog CGC Média vous propose de découvrir l’Info exclusive donnée ce jour par « Le ParisienCulture » et « Loisirs Télévision & médias » :

Extrait

"Le grand rendez-vous du rire francophone ne reportera pas son édition de décembre 2020 au printemps 2021, comme prévu initialement, lâché par France Télévisions, un de ses diffuseurs historiques.

L’édition 2020 du Montreux Comedy Festival avait été annulée début décembre en raison de la crise du Covid-19. Laura Gilli/Montreux Comedy/GF Productions France Coup dur pour le Montreux Comedy Festival. L'influent rendez-vous de l'humour francophone a finalement décidé de renoncer à son édition 2020. La raison : France Télévisions, l'un des diffuseurs historiques, a refusé de reporter son financement.

Le festival suisse a été annulé début décembre en raison de la crise du Covid-19. Mais les organisateurs planchaient depuis plusieurs semaines pour décaler la tenue de certains galas au printemps. « Nos accords avec France TV couraient sur une période de trois ans, de 2018 à 2020. Ils ont estimé que cette édition au printemps 2021 ne rentrait plus dans le plan. L'annulation pour cause de pandémie mondiale, c'est une excuse pratique ! réagit le directeur général du festival, Yann Renoard. On a le sentiment d'avoir été abandonnés en rase campagne. On avait un genou à terre, et là, ils nous ont poussés du pied. »

France TV était diffuseur depuis 2010, aux côtés de la Radio Télévision Suisse (RTS) et Comédie + (Groupe Canal), qui, eux, avaient accepté le report. «Pour un média qui veut défendre le spectacle vivant, c'est dommage»

Les droits télé, générés par la captation et la diffusion des galas, sont vitaux pour le Montreux Comedy, représentant environ un tiers du budget total. Ces sketchs filmés permettent aussi de générer des vidéos, qui font vivre ensuite la chaîne Youtube, à hauteur d'un nouveau contenu chaque semaine. Un modèle unique. « Ça génère des revenus qui sont ensuite réinvestis. Là, la machine est grippée, on ne va pas exister avant décembre prochain. La dernière vidéo sera diffusée ce mercredi, mais après, on arrive en bout de stock », déplore le directeur général, qui estime le préjudice subi à « pas loin du million d'euros ».

Contactée, la direction de France TV n'a pas répondu à nos sollicitations. Mais l'arrêt à l'été 2021 de la chaîne France 4, sur laquelle étaient diffusés la plupart des galas du Montreux Comedy, pourrait justifier cette décision de la nouvelle équipe autour de Delphine Ernotte [et son nimérobis, ndlr].

« On s'en relèvera, mais pour un média qui veut défendre le spectacle vivant, c'est dommage », enrage Yann Renoard.

Les organisateurs du festival d'humour étudient les possibilités d'attaquer sur le plan judiciaire."

mercredi 30 décembre 2020

Roselyne Bachelot n'a pas répondu à Frédérique Dumas qui saisit Bruno Lemaire en marge de l'enquête du PNF.

Roselyne Bachelot n'a pas répondu à Frédérique Dumas qui saisit Bruno Lemaire en marge de l'enquête du PNF.

Depuis les révélations du magazine Challenges, mi-décembre, sur "l’enquête préliminaire confiée à la brigade de répression de la délinquance économique concernant le contrat cadre liant France Télévisions signé par Delphine Ernotte avec Nagui (groupe Banijay) sur la période 2017-2020 pour un montant de 100 millions d’euros…" (*), il semble qu'à part la Justice, l'Exécutif ait quelques problèmes à l'allumage.

Cela fera bientôt deux mois que Frédérique Dumas la très probe et exemplaire députée du groupe Libertés et Territoires (9 novembre 2020) a posé en séance la question à Roselyne Bachelot, (¤ vidéo et verbatim verbatim en fin de post) liée au contrat de 100 millions d'euros signées par Ernotte avec la société de Nagui comme le rappelle Le Canard enchaîné de ce dernier mercredi de l'année. (ci-après) 

 

PS: Dès que le blog CGC Média aura copie de la lettre de Frédérique Dumas à Bruno Lemaire, nous ne manquerons pas de la publier.

(*)

Le 19 décembre dernier le blog CGC Média dans son article "Un probable problème d’interférence et/ou de conflit d’intérêts pour Roch-Olivier Maistre ?!" rappelait pourtant quelques faits

Extrait

"Avec l’ouverture de cette enquête préliminaire, il semble bien que cela se précise comme d’ailleurs l’intervention de la Cour des comptes qui devrait en l’occurrence diligenter un nouvel audit.

Rappelons que le dernier audit de la Cour au titre prémonitoire « Mieux gérer l’entreprise… » remonte à 2016 donc avant ce contrat pluriannuel de 100 millions d’euros signé par Ernotte. 

La Cour pourrait donc avancer le processus prévisible à l’origine pour 2021 voire 2022 et lancer sans délai un nouvel examen financier car les conditions dudit contrat qui sont, selon nos informations, constitueraient des affermages d’antenne au profit d’un seul producteur, interdites après l'affaire des animateurs-producteurs qui avait entraîné le départ de Jean-Pierre Elkabbach en 1996 et qui lèseraient un peu plus le secteur de la production audiovisuelle déjà à l'agonie.

Tout cela également au détriment des salariés qui subissent un énième et nouveau plan de départs sur fond de déficit pour France Télés estimé à 100 millions d'euros malgré la propagande bidon de comptes à l'équilibre. 

La Cour des comptes qui n'avait pas hésité - chacun s'en souvient -  à épingler la présidence de Mathieu Gallet lorsqu'il était à l'Institut national de l'audiovisuel (INA) pour beaucoup moins s'agissant des "fréquent et très coûteux" recours à des contrats de conseils ou encore sur sa gestion à Radio France que l'intéressé très vite évincé avait vainement tenté de renvoyer dans ses cordes par cette formule "Ce n'est pas la Cour des comptes qui va faire la stratégie de Radio France" !

Seulement voilà, l’actuel statut de Roch-Olivier Maistre nommé en janvier 2019 au CSA par Emmanuel Macron, n’est pas sans poser de problèmes.

Celui qui a pris la suite de Schrameck et a affirmé urbi et orbi que les règles avaient été respectées - encore en juillet dernier - et qui a visiblement opposé une fin de non-recevoir aux membres du CSA qui voulaient entendre Ernotte (* cf Le Canard enchaîné ) interpelle bien entendu! 

ROM peut bien penser que la plainte émanant de la CGC elle fera piout – il oublie, entre autres, les condamnations définitives au Pénal de Carolis, Millot et Bygmalion dans l’affaire instruite par le juge Van Ruymbeke ! – le PNF et le juge d’instruction qui sera prochainement nommé pour cette nouvelle plainte, eux, ne feront pas piout et devront comme l’avocat de la CGC qui a porté plainte, se poser inévitablement la question de possible interférences et/ou de conflit d’intérêts.

(¤ vidéo et verbatim verbatim + lettre complémentaire à la Ministre) 


(verbatim)

Mme Frédérique Dumas. L’amendement de Michel Larive vise à soutenir la création dans sa diversité. Je voulais donc vous adresser une question, madame la ministre : le 24 mai 2017, Mme Delphine Ernotte a signé en personne une lettre adressée à la société de Nagui et sécurisant sur trois ans les prestations d’animateur de celui-ci pour France Télévisions. Ce document prévoit une rémunération de 100 millions d’euros ; ses clauses sembleraient contestables et révéleraient une distorsion par rapport aux usages.

Afin d’éviter tout dérapage, il est expressément prévu que les contrats d’un montant supérieur à 10 millions soient obligatoirement soumis pour validation au sous-comité des engagements, émanant du conseil d’administration de France Télévisions. En l’occurrence, il se pourrait que cette procédure n’ait pas été respectée. 

N’appartient-il pas au Conseil supérieur de l’audiovisuel, le CSA, de se donner les moyens de le vérifier ?

En tant que ministre de tutelle de l’audiovisuel public, garante de sa bonne gouvernance, pouvez-vous nous assurer qu’il existe des preuves concrètes de la validation de cet accord dit « confidentiel » par le sous-comité aux engagements, par exemple un ordre du jour et un procès-verbal ? Pensez-vous qu’une simple affirmation des dirigeants, sans trace écrite, puisse suffire ? Dans le contexte actuel, madame la ministre, une réponse précise de votre part est essentielle, et très attendue.              

M. le président. La parole est à Mme la ministre.

Mme Roselyne Bachelot, ministre. C’est un cas d’espèce : je ne dispose pas des éléments qui me permettraient de vous répondre immédiatement. Bien entendu, je m’engage devant la représentation nationale à vous donner tous renseignements nécessaires. Si vous le permettez, cette question me demandera un peu de réflexion, d’autant que les faits remontent à 2017, c’est-à-dire à une époque où – je ne le regrette pas – je n’étais pas ministre de la culture.   

(lettre à la ministre)

mardi 29 décembre 2020

Salto, probablement la plus énorme fumisterie 2020 !

Salto, probablement la plus énorme fumisterie 2020 !

Après plusieurs spots de pub passés peu partout sur les chaines de la TNT, la dernière réclame de la plateforme de rediffusion principalement, est celle pour la série Downton Abbey pourtant terminée depuis 2015 à découvrir presque en exclusivité !

Il faut quand même oser alors même que la série Downton Abbey arrive en 1ère position dans le Top 10 des séries historiques disponibles sur la plateforme Netflix à (re)voir absolument que le site Téléloisirs a dévoilé.

Alors que Netrflix lance « "La Chronique des Bridgerton" a nouvelle série Netflix que les fans de "Downton Abbey’" vont adorer » (sic), Salto fait du réchauffé. Il n’a pas fallu longtemps aux adeptes des exclusivités Netflix ou encore Disney ou Amazon pour comprendre le peu d’intérêt qu’il y aurait à s’abonner à ce service. Salto c’est d'abord toute la partie replay, avec bon nombre de programmes déjà diffusés sur les antennes des groupes TF1, M6 et FTV avec des vidéos qui restent plus longtemps que les 7 jours habituels de rattrapage sur les plateformes dédiés (My TF1, France.TV et M6 Replay).

Ensuite, il n’y a qu’à voir son catalogue ! Qu'est-ce qu'on trouve et regarde sur Salto à part les rediffs ? Les épisodes quotidiens de "Plus Belle la Vie", "Scènes de Ménage", "Ici tout commence", "Un si grand soleil" ou encore "Demain Nous appartient" disponibles en payant sur Salto juste avant leur diffusion gratuitement à l'antenne le lendemain !

« Peut-être étiez-vous passé à côté du phénomène Downton Abbey il y a quelques années ? La série britannique aux 6 saisons (plus un film) qui a fait le tour du monde n'a pas pris une ride et se binge-watche toujours avec délectation pour qui aime l'Histoire, les beaux costumes, les décors luxueux, les grandes tragédies, les hautes trahisons, l'humour anglais, Maggie Smith... Pas poussiéreuse du tout, même carrément actuelle, elle raconte la lutte des classes comme aucune autre, avec un casting quatre étoiles, une écriture ciselée et des dialogues au cordeau. Et l'hiver est le moment parfait pour s'y plonger, évidemment avec un plaid et un thé. » vous promet Salto…Alors payez et vous verrez ce que tous les autres ont vu bien avant vous, voilà près de cinq ans !

Ça donne envie non ?!

lundi 28 décembre 2020

Concert virtuel pour le réveillon sur BFM Paris et France Inter.

Concert virtuel pour le réveillon sur BFM Paris et France Inter.

C'est un concert virtuel d'un style inédit que vont diffuser BFM Paris et France Inter dès 23h25 pour la nuit du Réveillon de la Saint Sylvestre.

Pas de feu d’artifice ce 31 décembre, à Paris, crise du Covid-19 mais un Jean-Michel Jarre figure de la scène électronique française qui se produira dans un studio tandis que son avatar jouera dans la cathédrale Notre-Dame virtuellement reconstituée.




dimanche 27 décembre 2020

Laurent Guimier et « ses 50 nuances de démocratie » (suite)…Aberration, incompréhension et consternation !

Laurent Guimier et « ses 50 nuances de démocratie » (suite)…Aberration, incompréhension et consternation !

Depuis que le blog CGC Média a publié hier la « contribution au cahier des tendances@metamedia hiver 20/21 » (*) du monsieur de l’ex-Orange qu’il a baptisé « 50 nuances de démocratie », nous avons reçu malgré la période un flot de réactions plus virulentes les unes que les autres.

Le blog CGC Média ne va pas toutes les publier que chacun se rassure mais les sentiments qui dominent sont principalement l’aberration, l’incompréhension, la consternation.

« Si vous trouvez [à quoi tout cela rime] n’hésitez pas à nous écrire….» proposions-nous à nos lecteurs. Bilan de l'opération, la très grande majorité s’est interrogée sur le sens de ce texte hallucinant qu’ils n’ont évidemment pas réussi à déchiffrer !

Une des toutes premières remarques c’est de savoir comment l’intéressé qui a choisi de distiller ce galimatias peut rester en place ! « Comment  garder un patron de l’info qui explique que les réseaux sociaux sont binaires ? (« face aux choix trop souvent binaires que donnent à voir les réseaux…») s’interroge ce chef de service qui ajoute qu’il est particulièrement grave de « prendre les journalistes pour des ringards, en lançant qu’il est urgent qu’ils dénichent et relaient toutes les nuances d’idées et la complexité du monde… » [comme si cela n'avait jamais été le cas, ndlr]

Et d’étriller le rédacteur de cette logorrhée confuse lorsqu’il dit que lui a la solution : « le journalisme de coconstruction (qu’il préfère au journalisme de solution) pour fabriquer le nuancier de la démocratie » et qui va même jusqu’à prétendre lever une « armée d’un genre nouveau pour mener efficacement une guerre totale à la désinformation… ».

Non mais au secours !

Cet autre - journaliste de son état - n’en revient pas du mépris que l’éphémère patron de franceinfo : lui réserve avec le fait de « secourir le peuple de “désinformés” » qui n’étaient donc jusqu’à présent que des abrutis ! Le successeur de Field et de Letranchant propose même de leur déclarer la guerre « il n’y aura de guerre efficace contre les manipulations et complots qu’en coopération avec des enseignants, associations et chercheurs… ».

Nous n’allons pas revenir sur les passages déjà soulignés hier sur le blog CGC Média dans l’article « Laurent Guimier et "ses 50 nuances de démocratie" au service du "journalisme de coconstruction"! »...laissons donc à nos fidèles le soin de s’y replonger pour constater les dégâts !

Pour les « ateliers Démocratie » et le « journalisme "de coconstruction" pour une information positive », les inscriptions ne sont pas encore ouvertes !

(*)