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samedi 27 février 2021

Le sarkosyste Christopher Baldelli se consolerait de son été pourri avec Public Sénat !

Le sarkosyste Christopher Baldelli se consolerait de son été pourri avec Public Sénat !

Après s’être fait balader en juillet dernier dans la mascaradeà laquelle il avait participé, organisée par l’ex-futur président de l’ARCOM toutdévoué à l’ex-Orange et croyant certainement encore au père Noël, Christopher Baldelli se verrait bien à présent patron de la chaine du Sénat, histoire probablement de dépolitiser le débat !

Viré brutalement de RTL, il y a bientôt deux ans, il aurait donc tout loisir de revenir à la charge avec une question du style de celle qu’il posait alors d’entrée de jeu aux membres du CSA « Mesdames, messieurs les conseillers. Je vais commencer par une question : Si aujourd'hui en France nos concitoyens devaient payer pour accéder à l'audiovisuel public, on peut s'interroger et se demander combien seraient prêt à le faire ». 

L’ex-lieutenant du très lointain Marc Tessier à la tête de France Télés, pourrait peut-être entreprendre les sénateurs de la même façon « Si aujourd'hui en France nos concitoyens devaient payer pour accéder à l'audiovisuel parlementaire, on peut s'interroger et se demander combien seraient prêt à le faire », histoire de mettre l’ambiance !

Le blog CGC Média peut d’ores et déjà lui fournir la réponse :  la chaîne de la Haute assemblée coûte 17 millions d’euros/an aux contribuables français.

L’ex-porte-parole du gouvernement Balladur de 1994 à 1995 mais également collaborateur de l’ex-président de la République Nicolas Sarkozy, ou encore d’Alain Juppé et de Philippe Douste-Blazy lorsqu’il était ministre de la Culture, se dit qu’avec une chambre bien à Droite, c’est dans la poche !? A voir.

Pour l’instant ils ne seraient que quatre à s’être déclaré. Selon Challenges, à part l’intéressé et en plus du sortant, Emmanuel Kessler dont le positionnement et le bilan font semble-t-il beaucoup jaser, « Le chef du service politique de CNews, Damien Fleurot, ainsi que l’ancien rédacteur de RMC et de BFMTV, Xavier Panon, seraient aussi candidats pour prendre la tête de la chaîne parlementaire ».

Gageons que cette liste grossisse encore un peu dans les jours à venir…Le blog CGC Média va donc avoir l’occasion de très vite en reparler .

vendredi 26 février 2021

La dispendieuse et inregardable chaîne éphémère d’Ernotte étrillée par Guy Carlier.

La dispendieuse et inregardable chaîne éphémère d’Ernotte étrillée par Guy Carlier.

Le blog CGC Média qui reprend souvent les excellents billets de Stéphane Hoffmann dans le Figaro magazine, ce dernier ne croyant pas une seconde à la mise en scène de Roch-Olivier Maistre au CSA, l’été dernier, pour faire avaler la pilule aux Français d'une télé ernottienne usée jusqu'à la corde, a décidé cette fois-ci de publier le petit mot de Guy Carlier dans Télé 2 semaines.

Le chroniqueur télé a tenté de regarder l’irregardable chaîne éphémère d’Ernotte mais surtout pas regardée saluée sans réserve par le tandem des deux groupies du PAF: Roselyne Bachelot la ministre de la Culture et Roch-Olivier Maistre l'ex-futur président de l’ARCOM mais toujours au CSA qui tweete à longueur de temps.

La déclinaison du site web qui a squatté le canal 19 de la TNT (ex-France Ô) pour quelques semaines avec une audience officiellement non-mesurée mais qui, selon nos informations se situe entre 0 et 300.000 téléspectateurs pour un coût estimé à 10 millions d’euros (contenus et diffusion), supposée aider les artistes selon la propagande habituelle [on se demande bien comment ?!], n’a pas manqué de le faire réagir…et chacun peut comprendre pourquoi.

Le blog CGC Média vous propos de découvrir ces quelques lignes au vitriol, où tout est quasiment dit :

« J'ai cru que Daphné Burki avait été kidnappée par la télévision albanaise en voyant les images insupportables où, dans la quasi-obscurité d'un sous-sol de Tirana, un metteur en scène d'avant-garde lui racontait, entre deux bruits de succion de pipe, que tous ces personnages étaient déguisés en pelle à tarte symbolisant à la fois la promesse des délices et la violence du métal.

Comment ? On me dit qu'il s'agit de Culturebox une chaîne française. 

Me voilà rassuré, il s'agit donc d'une parodie d'un Groland du service public… Bravo les gars, c'est réussi ! »



jeudi 25 février 2021

La Trois plus bas que terre, c’est La Faute à Voltaire et La Deux qui prend l’eau, c’est La Faute à Rousseau !

La Trois plus bas que terre, c’est La Faute à Voltaire et La Deux qui prend l’eau, c’est La Faute à Rousseau !

Une fois encore les choix de l’ex-dircab d’Ernotte et sa flotte pléthorique aux programmes, continuent de tirer France Télévisions vers le fond. L’intéressé qui tente vainement de se faire mousser un peu partout et qui déclare comme tant d’autres vouloir « à la fois moderniser le service public et capter l'audience de Netflix » a encore pris le bouillon...et ça ce n'est ni La Faute à Voltaire, ni La Faute à Rousseau !!

France 3 qui diffusait la 28e cérémonie des Victoires de la musique classique présentée par Stéphane Bern et Marina Chiche (dont la complicité n’était visiblement pas au rendez-vous !) avec 5,5 % du public, se classe derrière Arte qui rediffusait L’Avenir la comédie qui, elle, a rassemblé 1,3 million de cinéphiles, soit 5,7 % de part d’audience.

TF1 est arrivée largement en tête des audiences avec le final de la série hospitalière italienne Doc qui a captivé 3,9 millions de téléspectateurs, soit 18,4 % de part d’audience. Juste derrière, M6 qui diffusait le deuxième épisode de la saison 12 de «Top Chef» arrive second avec 16,4 % de PDA pour réunit 3,5 millions de fidèles.

Quant à France 2, si elle décroche c’est La Faute à Rousseau, qui décroche et ne totalise plus que 2,5 millions de personnes, soit 11,4 % du public. La fiction française a perdu 480.000 téléspectateurs et 1,8 point de PDA une semaine.

Une audience ridicule pour l’Antidote de Michel Cymes accusé à présent de plagiat.

Une audience ridicule pour l’Antidote de Michel Cymes accusé à présent de plagiat.

Dimanche dernier (21/02) le peu de téléspectateurs que regardaient France 2 en fin d’après-midi, ont boudé la nouvelle émission de Michel Cymes lancée par la chaîne sous la coupe de l’ex-dircab d’Ernotte.

Antidote n’a intéressé que 6,9% de curieux, en dessous des 7,2% réalisés par l’émission qui précédait et 8,5% sur celle qui suivait. Il n’est donc pas question de pour l’armée mexicaine dédiée aux programmes de France Télés qui ne cesse de se faire mousser ici et là dans la presse, de prétendre que c’est toute cette plage horaire qui serait concernée car seul ce « talk-show sur la science et la santé » décroche.

Mauvais choix évidemment dans cette période de crise sanitaire où les Français en ont soupé de tous ces programmes où chacun y va de son truc pour qu’ils aillent mieux.

Comme un bonheur n’arrive jamais seul dit l’adage, ce mardi 23 février, Michel Cymes a été publiquement accusé de plagiat par son confrère Marc Gozlan.

Télé-Loisirs nous explique les dessous de l’affaire et le mea culpa du l’homme du corona-gripette face à la polémique.

Extrait :

« Les polémiques se suivent et s’enchaînent pour Michel Cymes. Le 5 février dernier, le médecin le plus médiatique de France a fait son mea culpa après avoir affirmé que le port du masque n’était pas nécessaire "si l’on n’est pas symptomatique". "Au début de la crise, j’ai donné des informations que j’essayais de vulgariser mais qui n’étaient pas bonnes. Je m’appuyais sur les connaissances scientifiques du moment, qui se sont avérées inexactes", a-t-il déclaré dans un entretien accordé au Dauphiné Libéré. Et de poursuivre : "Pour le médecin informateur que je suis, ça a remis totalement en question ma façon de faire ce boulot car très franchement, je n’ai pas été à la hauteur de la confiance et de la grande crédibilité que les gens m’accordent sur le plan médical." 

Moins d’un mois après ses excuses publiques, Michel Cymes fait face à de nouvelles critiques. Ce mardi 23 février, le médecin Marc Gozlan a accusé l’ancien acolyte de Marina Carrère d'Encausse d’avoir plagié l’un de ses billets de blog (* preuves ci-après) pour les besoins de l’émission Ça va beaucoup mieux, l’hebdo.

"Il a commis un double plagiat, écrit et audio" indique Marc Gozlan avant d’ajouter "Il a non seulement recopié mon billet de blog mais a également lu à l’antenne le début de mon texte".

(*)



"Face au tollé provoqué par ces accusations, Michel Cymes a reconnu avoir omis de citer la source de sa chronique. "En ouverture de mon émission dimanche dernier, comme souvent, j’ai pris dans la presse certaines infos ou anecdotes insolites. Il va sans dire que je cite mes sources qu’il s’agisse d’articles de presse ou de revues scientifiques. Cette fois-ci, pris par le déroulé de l’émission, je ne l’ai pas fait, a-t-il écrit dans un message publié sur le site de RTLJe tiens donc à m’en excuser auprès de l’auteur de l’info reprise, Marc Gozlan, et du site qui héberge son blog, LeMonde.fr"

Aurore Bergé sous le coup d’une plainte en diffamation.

Aurore Bergé sous le coup d’une plainte en diffamation.

Medine rappeur français de la ville d’Édouard Philippe a annoncé ce mercredi avoir déposé plainte au tribunal judiciaire de Paris contre la députée des Yvelines LREM Aurore Bergé selon les informations de Mediapart.

« Interrogée sur LCI au sujet de la polémique sur l’islamo-gauchisme à l’université le 18 février dernier, la présidente déléguée du groupe La République en marche (LREM) à l’Assemblée nationale avait notamment qualifié l’artiste de "rappeur islamiste’", citant la chanson Don’t Laïk » écrit aujourd’hui 20 Minutes qui indique « Elle poursuit en l’accusant d’avoir lancé un "appel au meurtre’’ ».

Aurore Bergé n’a pas souhaité réagir : « Je n’ai pas l’habitude de commenter des affaires judiciaires », a-t-elle expliqué au titre de Presse, affirmant tout de même ne pas avoir été notifiée, avant de lancer « C’est le tribunal qui jugera, pas les réseaux sociaux ».

« J’attends une condamnation et des excuses publiques car elle me colle une idéologie qui n’est, bien sûr, pas la mienne (…). », a précisé le rappeur à Mediapart. 


mercredi 24 février 2021

Le vaccin d'AstraZeneca pas pour le tandem Ernotte/Gengoul…Si Emmanuel Macron et Olivier Véran ne sont pas d’accord, c’est pareil !

Le vaccin d'AstraZeneca pas pour le tandem Ernotte/Gengoul…Si Emmanuel Macron et Olivier Véran ne sont pas d’accord, c’est pareil !

Au risque de flinguer les annonces du Chef de l’État, du Gouvernement, de son ministre de la santé et de la ministre déléguée à l'Industrie qui ce mercredi encore a martelé que "le vaccin d'AstraZeneca contre le Covid-19 est efficace sur les formes graves", la communication du tandem Gengoul/Ernotte sur Mayotte La Première vient de faire l’effet d’une bombe.

« Dans un souci de permanent de protéger nos collaborateurs et face à la situation sanitaire, la direction en collaboration avec l’ARS propose à tout le personnel de la station y compris ceux qui sont en télétravail de recevoir leur première injection Pfizer » indique l’hebdo qui s'interrogeait d'ailleurs sur son site "beaucoup de personnes s’interrogent autant sur l’efficacité que sur les effets secondaires de ce vaccin." (¤ fin de post)

« Le vaccin Pfizer pour tous les collaborateurs qui le souhaitent » décrète fièrement le communiqué avant de mettre les pieds dans le plat « Premier vaccin à être utilisé dans le cadre de la campagne de vaccination européenne débutée le 27 décembre et jugé efficace à 95% pour prévenir les infections de Covid-19 ».

Voilà, ça, c’est fait ! Emmanuel Maron, Jean Castex, Olivier Véran et Agnès Pannier-Runacher, etc...peuvent aller se rhabiller. 

Ce sera Pfizer évidemment et sûrement pas AstraZeneca..NON.

De plus et alors que les médecins généralistes ne pourront vacciner avec une première dose du vaccin AstraZeneca, que les « 50-64 ans atteints de comorbidités » et que les médecins du travail seront autorisés à le faire en entreprise dans les mêmes conditions (*), tous les  collaborateurs de l’établissement mahorais de France Télévisions pourront être vaccinés, eux, dès ce jeudi. 


Tout le personnel quel que soit son âge, avec ou sans comorbidités, même en télétravail…TOUT LE MONDE AURA DONC DROIT A PFIZER.

Imaginez la tête des maires de départements comme Nice, Dunkerque, Metz, Cayenne, etc…mais aussi les populations de ces départements de la République et tous les autres où l’indice flambe, qui n’auront pas droit au même traitement !

Chacun attend avec impatience maintenant le dernier tweet de félicitations signé ROM  et les applaudissements de Roselyne Bachelot bien décidée à épargner à sa copine Ernotte « toute technocratie ainsi que tout obstacle juridique ».

(¤)



L’ex-Orange se fait encore allumer pour ses affinités portugaises.

L’ex-Orange se fait encore allumer pour ses affinités portugaises.

Le blog CGC Média n’en est malheureusement pas à son premier papier sur l’utilisation récurrente de la société portugaise Cenycet…alors qu’elle se vante de lancer une chaîne éphémère pour aider le secteur en grande difficulté à cause de la crise sanitaire.

« C'est encore et toujours la société portugaise Cenycet qui pour la ixième fois est, selon nos sources, appelée à faire le décor pour France Télés celui des élections présidentielles d’avril/mai 2017… » écrivions-nous alors. (cliquez ici pour retrouver l’article en intégralité)

Cette fois-ci, « Ernotte a beau chanter son immense fierté de soutenir le secteur culturel en ces temps de pandémie » écrit Le Canard enchaîné de ce mercredi qui ajoute  « les pratiques de sa filiale (Le Studio) ne reflètent guère cet effort de guerre. Ainsi le décor de l’émission ‘’Eurovision France, c’est vous qui décidez’’ diffusé le 30 janvier, a été commandé sans appel d’offres à Cénycet, un géant du secteur boisé au Portugal. Encore un joli contrat à 130.000€ qui échappe aux spécialistes français… » (*)


"Les filiales ne sont pas soumises au règles de la commande publique" indique un responsable du Studio (Arnaud Lesaunier peut-être) affirmant péremptoirement et tirant à boulet rouge sur les 50 entreprises du secteur "De toute façon, il n'y a plus de décorateur français capable de livrer en temps et en heure".

Ce n'est pas ça également qu'Emmanuel Macron qualifiait de "Honte de la République"? 
(*)



Altédia le cabinet conseil sorti du chapeau par Ernotte, à nouveau dans l’œil du cyclone et Sybeth Ndiaye dans la tourmente.

Altédia le cabinet conseil sorti du chapeau par Ernotte, à nouveau dans l’œil du cyclone et Sybeth Ndiaye dans la tourmente.

Sibeth Ndiaye l’ancienne porte-parole du gouvernement, recasée comme Secrétaire générale d’Adecco France après pourtant les réserves émises par le collège de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) sur cette reconversion, a déjà quelques soucis.

Adecco est, en effet, sommé de s’expliquer sur la "liste noire" que le CSE de la boite le 18 février dernier, mise à jour. Après les récentes révélations de l’Humanité (voir ici) sur l’existence d’une liste de 114 noms qui seraient voués au départ via 97 ruptures conventionnelles et 15 licenciements (dont deux cas de litiges) sur la période 2020-2021 chez Adecco France et ses filiales (*), la direction du géant de l’intérim n’a eu d’autre choix que de reconnaitre son existence.

Rappelons qu’en juin 2011, la Cour d'appel de Paris avait déjà lourdement condamné la société Adecco (sa filiale Ajilon ex-Districom).

«  Selon une récente expertise, 62 % des salariés permanents disent souffrir de stress au travail. Si, sur les 114 personnes qui seraient concernées par ces coupes dans les effectifs, 43 seraient déjà parties en 2020 et 69 seraient sur la sellette en 2021, d’un autre côté, 253 candidats ont été recrutés » développe le site du quotidien.

Ça la fiche plutôt mal pour l’ex-conseillère “presse et communication” d’Emmanuel Macron au début du quinquennat puis porte-parole du gouvernement jusqu’au remaniement de juillet 2020, Sibeth Ndiaye nommée Secrétaire générale pour la France du groupe Adecco, le 14 janvier dernier est, entre autres, chargée “des affaires publiques, du juridique, de la communication et des solutions emploi” !


(*) Le titre de presse dans son récent article signé Cécile Rousseau explique que «  Face à une direction mal à l’aise, les syndicats ont unanimement dénoncé ce document qui prévoirait notamment la disparition de middle-offices (centres de gestion administrative) à ­Quimper, Cholet et Marseille ».

« De nombreuses questions restent en suspens, comme la crainte d’un plan social déguisé portée par les organisations syndicales jeudi en CSE, dans un contexte de risques psychosociaux avéré » ajoute la journaliste, citant Fanny Carayon, déléguée syndicale centrale CFE-CGC : « À aucun moment, ils ne reconnaissent avoir prévu des fermetures de site. Mais ils vont avoir plus de mal à justifier les cas des salariés qui sont déjà partis »

« Alors que l’inquiétude reste vivace chez certains des 9 000 salariés du groupe en France, la confiance des marchés semble elle aussi échaudée. L’action en Bourse d’Adecco est passée hier sous la barre des 57 francs suisses » conclut-elle en précisant que « De nombreuses questions restent en suspens, comme la crainte d’un plan social déguisé portée par les organisations syndicales jeudi en CSE, dans un contexte de risques psychosociaux avéré. »

Inutile de préciser que depuis c’est la panique chez Adecco mais aussi chez Altédia en fait Lee Hecht Harrison France, la ligne d'activités de conseil en ressources humaines du groupe Adecco qu’Ernotte a sorti du chapeau en 2019 comme l’avait alors révélé le blog CGC Média dans son article fin septembre : « Revoilà Altedia qui pour France Télés vous accompagne vers la sortie et vous dit comment prendre la porte ! » et qui est en train de délaisser la marque comme les valeurs sociales et éthiques du cabinet fondé à en 1992 par Raymond Soubie.


Selon nos informations, ce dernier viendrait de provisionner 7 millions d’euros au bas mot pour payer des heures supplémentaires dues (la plupart à 120%) à tout un tas de collaborateurs à que le cabinet conseil avait indument imposé le forfait-jour et  même, semble-t-il, contre les dispositions de la convention collective !

Ça fait vraiment désordre pour Altédia aujourd'hui LHH France dont François Moreau (¤) est le président comme il est aussi le vice-président d'Adecco, cabinet supposé accompagner le plan de départs collectif ernottien (RCC) soutenu et signé par le tandem Cgt/Fo qui ne fait pas recette – c’est un moindre mot – dont un mail adressé aux salariés de FTV que le blog CGC Médiapubliait dans son post du 15/10/2020 « France Télés: une tentative de phishing de grande ampleur qui vise les salariés ! », vantait les qualités.

(¤)

Cela sera n’émouvra probablement pas « Jacques Denoyelle, directeur associé du cabinet Secafi-Alpha et auteur de très nombreux rapports pour France TV commandés quasiment tous par la Cgt soutien de l’ex-Orange qui venait de le nommer comme directeur du dialogue social à France Télés » ...une provocation sur fond de conflit d’intérêt majeur !

Comment il appelait cela Emmanuel Macron ? « La Honte de la République » …Il semble bien qu’on soit en plein dedans !


Lire aussi: "Altédia choisie par France Télés pour faire partir un maximum de salariés, elle-même  en plein plan de licenciements...mais CHUT !"


mardi 23 février 2021

France Ô Malakoff : le lien social aux abonnés absents !

France Ô Malakoff : le lien social aux abonnés absents !

Ce mardi 23 février, le SNPCA-CGC et l’UNSA de l’établissement France Ô de Malakoff dont France Télévisions n’a visiblement que faire – la visite en catimini de l’ex-Orange au centre de diffusion de Culturebox dont plus personne ne parle depuis son lancement en fanfare – ont lu un liminaire en début de séance du CSE.

Alors que la notion de « lien social » est sur toute les lèvres depuis qu’a démarré cette crise sanitaire qui n’en finit pas, le sujet n’intéresse visiblement personne de l’autre côté du périphérique parisien.

Pour les deux syndicats, il est même aux abonnés absents !

Le blog CGC Média vous propose de découvrir le texte

Liminaire CGC UNSA au CSE de Malakoff – 

France Ô Malakoff : le lien social aux abonnés absents !

Le Covid a encore bon dos ! Quand il s’agit d’adapter la vie de l’entreprise dans leurs intérêts, les dirigeants du pôle outre-mer comme ceux de France Télévisions savent trouver les parades, en ces temps de pandémie.

Lorsqu’il s’agit en revanche de remplir des missions qui ne les intéressent guère, ils savent passer outre.

C’est le cas du lien social dans l’entreprise et particulièrement au sein du site de Malakoff très éprouvé ces dernières années. D’ailleurs, les salariés ont pu noter récemment à quel point ils étaient transparents. Le 10 février dernier, Delphine Ernotte est venue à Malakoff se réjouir sur place du lancement de Culturebox sur les cendres du canal 19 dédié à France Ô

Pas un mot pour remercier ceux qui partent, pas une attention à l’égard des personnels toujours sidérés par la disparition de leur chaîne… Pas un soutien, pas un compliment au travail poursuivi au service de la visibilité des outre-mer. C’est dire !

Depuis le début de la crise, les dirigeants du pôle Outre-mer ont su multiplier les communiqués pour informer les personnels de tel ou tel promo, de telle ou telle décision les mettant en avant ou encore de la réalisation de tel programme mais surtout afin d’annoncer les nominations de haut-cadres et de fonctions de direction.

En revanche, rien au regard de la situation sanitaire qui a éparpillé les personnels entre l’établissement et leur domicile, sur ce que deviennent les petites mains ! Entre les départs en retraite, les arrêts maladie longue durée, les décès, les mutations, les fins de contrats, les retours Outre-mer ou les transferts dans l’établissement, rien. La communication interne est aux abonnés absents !

Là où à Malakoff comme dans l’ensemble des établissements d’Outre-mer, ce fameux lien social a toujours été une force et une singularité – nombre de salariés arrivés chez nous du siège l’ayant très souvent souligné et encouragé – désormais, Covid oblige, il a totalement disparu.

– Quel « message » est adressé aux salariés quand un ancien collègue disparaît et que la com’ interne n’en parle pas au moins pour informer les personnels mais surtout pour honorer sa mémoire comme il est de tradition ?

– Quel choc psychologique peut ressentir telle ou tel, lorsqu’au moment de partir en retraite après des années et des années de collaboration, de travail et d’investissement, il quitte l’établissement donc l’entreprise en toute discrétion, sans un mot aux collègues, sans une note de com’ pour se féliciter du travail effectué ?

– Quel sentiment peut éprouver tel collaborateur venu d’outre-mer effectuer un remplacement, une mission, un échange avec tel autre et s’en retourne au pays comme s’il n’avait jamais été là ?

– Combien de salariés en télétravail, déconnectés de la vie quotidienne au sein de l’établissement, ignorent des informations essentielles sur ce que devient telle ou tel collègue ! Souvent, ils finissent par apprendre les changements des semaines voire des mois après, à l’occasion d’un passage dans l’établissement, d’un appel ou d’une visioconférence.

Que sommes-nous devenus, nous les salariés de Malakoff désormais ?!?… Des matricules ! La déshumanisation, pire, la désincarnation est à l’œuvre rue Danton… Cette attitude ne fait qu’encourager le sentiment exprimé par de plus en plus de collaborateurs : “À quoi bon ? A quoi bon se décarcasser s’il n’y a pas de reconnaissance ?”

Cela ne relève-t-il pas purement et simplement des fameux risques psychosociaux au travail ? C’est ce que pensent et dénoncent haut et fort le SNPCA-CGC et l’UNSA !

Alors certes, le Covid a chamboulé nos habitudes. Plus question de faire des pots de départs comme c’est la tradition du moins pour le moment, en raison des exigences de distanciation au travail. C’est là, précisément, que la com’ interne a plus que jamais un rôle stratégique à jouer pour maintenir ce lien social si nécessaire au sein d’une entreprise, d’un pôle et d’un établissement or, aujourd’hui, elle semble souvent déconnectée de la vie de l’établissement et surtout de ses salariés !

Plus que jamais, le Covid nous pousse à nous réinventer et à nous organiser pour que l’essentiel : l’humain donc, ne disparaisse pas ! Plus la crise dure et plus les enseignements qui remontent dans notre société civile comme professionnelle devraient être tirés comme être attentif à l’autre, aux personnels et à leur santé ! Force est de constater qu’à Malakoff, nous en sommes très loin.

Le SNPCA-CGC et l’UNSA exigent que des mesures soient prises au plus vite pour rétablir ce lien social indispensable à l’équilibre psychique, psychologique et professionnel des salariés. 

Le SNPCA-CGC et l’UNSA réclament qu’une communication régulière en interne soit assurée pour informer les salariés des changements de postes, des départs en retraite, des disparitions notamment, etc… afin de maintenir et retrouver cette solidarité entre les personnels, dans le respect des traditions et des valeurs si chères et si essentielles à tous les territoires d’Outre-mer comme dans l’hexagone… 

lundi 22 février 2021

Les télés privées visiblement remontées par les cadeaux de Roxana Maracineanu à France Télés.

Les télés privées visiblement remontées par les cadeaux de Roxana Maracineanu à France Télés.

Roxana Maracineanu qui était l'invitée du "8h30 franceinfo" ce vendredi 19 février 2021, a visiblement lâché une petite bombe que les télés privées n’ont pas du tout appréciée…mais alors pas du tout !

Au micro de Marc Fauvelle et Salhia Brakhlia parmi les nombreux sujets abordés, la ministre déléguée chargée des Sports, à la question du journaliste « Souhaitez-vous que certains matchs de L1 soient diffusés gratuitement à la télé comme ce n’est plus le cas depuis des décennies », elle  a indiqué « On y avait pensé, en se disant que s’il n’y avait pas de diffuseurs, que pourrions-nous faire en soutenant  France Télés pour diffuser une partie des matchs,  peut-être ceux de L2 sur la fin de la saison… ».

Cette dernière a d'ailleurs tenu à préciser « La diffusion de matchs de L1 en gratuit, ça serait super…ça fait très longtemps qu’on n’en a pas eu mais tout cela c’est une question de budget. Maintenant, il faudrait des prix très bas pour que France Télévisions puisse s’aligner. »

Les propos de la ministre qui à mot couvert laisse donc entendre que quelques millions supplémentaires d’argent public tomberaient à nouveau dans l’escarcelle de FTV qui ce pourrait possiblement programmer ne partie de ces matchs de L2 par journée de championnat sur France 3, à condition de ne pas payer de droits à la LFP.

Après la « ristourne » de 70 millions d’euros prise sur le plan de relance, allouée par l’État à France Télévisions et Radio France afin de compenser les coûts de la crise et ce alors que TF1 jonglait de son côté pour dégager 152 millions d’euros d’économies et M6 (A VENDRE) en trouvait 160, cela sans compter le fait que l’État ait annoncé avoir l’intention de supprimer le plafond de 42 millions d’euros de recettes publicitaires pour les stations de Radio France, la pilule a du mal à passer !

D’autant plus quand l’ex-Orange déclare publiquement "Les moyens de nos concurrents sont en hausse permanente, tandis que les nôtres sont en contraction" et appelle à "trouver des alliances" avec les acteurs de l'audiovisuel public en France et en Europe, son nouveau credo depuis son accession à l’UER ! 

Découvrir l'intégralité de l'interview en cliquant ici.