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samedi 3 avril 2021

Véronique est partie…elle a laissé tous ses amis et collègues de France Télévisions dans la peine.

Véronique est partie…elle a laissé tous ses amis et collègues de France Télévisions dans la peine.

Les réactions au départ de Véronique sur les réseaux sociaux se sont multipliées…en voici quelques-unes :

« Quelle tristesse ! Une si belle personne…Je n’en reviens pas, c'est une année de merde, il n'y a pas à dire…Que s’est-il passé ?... Chaque jour que je passais dans ces satanés (et bienveillants quand même) hôpitaux, elle me mettait un mot (comme beaucoup d’autres d’ailleurs) toujours réconfortant...Qu’est-il arrivé ? Elle ne m’a jamais parlé de rien...

On s’est recueillis avec les copains de la HF2 à la mémoire de Véronique… » 

Oui Véronique Moureau était une belle personne et un super pro…elle a été emportée par la maladie trop rapidement et laisse un vide énorme dans nos cœurs.

Après la sidération, ses amis, ses collègues, ont souhaité partager avec Cathy (*) - sa Cathy - leur peine et leur émotion auquel, votre serviteur – le rédacteur de ses quelques lignes – s’associe du plus profond de son cœur.

Cathy que nous allons citer pour lui rendre hommage « Quand on prend de l'âge, les amies, amis, relations partent doucement vous laissant bien triste et même dans une grande peine ... Chère Véronique c'était trop tôt, repose en paix. »

Deux photos pour se souvenir…la première, il y a bien des années avec ses potes musicocs dans les studios de l’avenue Montaigne (à droite au saxo) et la seconde avec ses amis de la HF2 à qui elle va manquer terriblement. 


Des tas de bises dans un ballon pour monter vers elle jusqu’au ciel…



« Outremer, le réseau des Premières est totalement à la dérive » écrit le site ADP qui parle en Guyane d’un « cluster covidien en diable ».

« Outremer, le réseau des Premières est totalement à la dérive » écrit le site ADP qui parle en Guyane  d’un « cluster covidien en diable ».

« Des directrices et directeurs de pacotille rament, seuls dans leurs bureaux, pour planquer la note de la DRH Siège qui leur demande de virer du personnel. 

En Guyane ? une beuverie du personnel dans un bus s’est transformée en cluster Covidien en diable (* Une vidéo circule sur les réseaux sociaux de l’ambiance dans le bus où tout le monde chante, danse un verre à la main.)  

Les mêmes qui donnent de graves conseils à la télé régionale se sont embrassés, caressés, contaminés (!?) et la directrice blanche comme un navet, de tenter de s’expliquer (après coup, ndlr) en bafouillant et s’étouffant sur un plateau, désespérée. Pathétique ! » écrit l’Association de Défense de l’Audiovisuel Public qui d’ailleurs diffuse les images du car affrété par la station ultramarine où tout le monde -  sans masque -  prend du bon temps en ignorant tout geste barrière évidemment.

Résultat : Pas d'antenne...

"En raison d’un cas de Covid et de multiples cas contacts, un protocole d’évacuation et de désinfection a été déclenché afin de protéger les salariés de la station. 

A titre exceptionnel, pour des raisons d’urgence sanitaire, nous sommes dans l’impossibilité ce soir de vous proposer vos programmes habituels. En lieu et place, des émissions et journaux allégés. Le protocole prévoit notamment une désinfection totale des locaux, dont les studios radiophoniques et télévisés de diffusion...

Nous vous présentons toutes nos excuses pour ce désagrément." précise le communiqué de la chaîne.



Un écrit local intitulé « Le cluster Bus de Guyane La 1ère» donne une bonne idée de ce que Muriel Barthelemi la nouvelle directrice de Guyane La 1ère, très proche de Sylvie Gengoul, est capable de faire et/ou laisser faire !

Extrait :

« Une mandature qui débute bien mal pour Muriel Barthelemi la nouvelle directrice de Guyane La 1ère.

Un cluster Covid vient d’être déclaré à Guyane La 1ère : une trentaine de salariés se font testés ce mardi, après avoir participé à un city Tour en bus il y a quelques jours.   Une initiative propre du personnel au départ de la station.

La direction était- elle au courant de cette opération ?  Comment a-t-elle autorisé ce type de sortie en pleine crise sanitaire ?  

Une vidéo circule sur les réseaux sociaux de l’ambiance dans le bus ou tout le monde chante, danse un verre à la main.   Personne ne porte le masque !  Certains cadres de Direction étaient même à bord ... Sans oublier des journalistes vedettes qui dans leurs journaux rappellent l’importance de respecter les gestes barrières ...

Faites ce que je dis mais pas ce que je fais ... »

A Paris au Siège, personne ne dit mot...les consignes du gouvernement qui s'en soucie surtout en Guyane ? 

Les déjà ex-directeurs de Guadeloupe et Guyane La 1ère sont virés sur ordre parce qu’ils ne plaisaient apparemment plus mais là, rien de grave...il ne se passera probablement rien. La boss a la nouvelle à la bonne !!!!

L’ex-Orange « peut bien jouer de la harpe ou du banjo en regardant les flammes et les ruines de France Télévisions… » conclut encore l'ADAP qui considère l’intéressée trop occupée à s’imaginer « jouant  un rôle politique dans les prochaines élections…(régionales et/ou présidentielle, ndlr) » !

vendredi 2 avril 2021

Si tu es franco-américain, bilingue, créatif...que tu as un smartphone et que tu es curieux, au moins de savoir tout ce qu'on va te faire faire sans être payé: You're the man!

Si tu es franco-américain, bilingue, créatif...que  tu as un smartphone donc et que tu es curieux, au moins de savoir tout ce qu'on va te faire faire sans être payé: You're the man!  

France Télés ne sait plus comment faire pour trouver des stagiaires déjà très compétent -  pour se mettre au boulot tout de suite - avec une énorme probabilité de toucher peanuts! 

Il faut déjà se trouver sur le sol américain (eh! ouais tu crois quoi, FTV va tout de même pas t'payer le billet d'avion...déjà qu'il prend en charge tes transports sur place!) et avoir la double nationalité franco-américaine pour pouvoir travailler dans les bureaux de Washington. 

Il est indispensable également d'avoir une appétence pour le web (autrement dit, plus réellement une maitrise parfaite de l'outil et des compétences solides pour pouvoir monter sur Première pro afin de créer des contenus destinés à alimenter les réseaux sociaux Facebook, Twitter, Instagram, YouTube, etc...).

Il est fortement recommandé d'avoir aussi un intérêt pour l'actualité politique, économique et sociale américaine avec un Smartphone pour pouvoir tourner des trucs - si, si depuis qu'Ernotte a signé avec la CGT-FO et la CFDT c'est prévu  ! - et les monter ensuite  grâce à de solides compétences en montage vidéo.

Pour trois à six mois de stage il y aura même une petite compensation financière...Chouette!

Vive la  France et vive la République...même si c'est la gouvernance à France Télés c'est  "La honte" (dixit le président)






La CGT de France Télés déclenche pour Ernotte le compte-à-rebours destiné à transférer illégalement des salariés vers « Le Studio » (ex-MFP) !

La CGT de France Télés déclenche pour Ernotte le compte-à-rebours destiné à transférer illégalement des salariés vers « Le Studio » (ex-MFP) !

Ce 2 avril devrait avoir lieu en CSE central, le vote sur le point inscrit par le Secrétaire CGT du CSE central de France Télévisions  à l’ordre du jour de l’instance qui se déroule sur 3 jours  (les 31 mars, 1er et 2 avril) permettant au tandem Mayerfeld/Ernotte de dérouler ce plan tout aussi machiavélique qu’illégal – deux cabinets d’avocats le soutiennent et le feront sûrement valoir très vite en Justice – qui  commence par le transfert d’environ une centaine de salariés de l’entreprise unique vers la coquille prod « Le Studio » avec des arguments dépassant l’entendement mai plus particulièrement le cadre légal.

Ce point n’aurait jamais dû être mis à l’ordre du jour – il aurait entrainé de fait, une info-consultation unilatérale du fait de l’employeur, tout aussi illicite évidemment  – mais aurait évité que ce délai soit opposable à quiconque.

Il était même loisible de retirer ce point ave un vote en séance à l’initiative de celui qui l’y a laissé, à savoir le Secrétaire CGT du CSE central de France Télévisions …mais non, le vote doit avoir lieu !

La direction Mayerfeld/Ernotte et ses habituels syndicats-soutiens pensent probablement avoir ainsi fait démarrer le délai de 3 mois pour que la manœuvre aboutisseeh ! bien, ils se mettent le doigt dans l’œil comme le dit la formule consacrée. 

« C’est Macron et son gouvernement qui imposent cette réforme à FTV  » chantent en chœur et en toute connivence certains fossoyeurs de la télé publique !!

Chacun connait bien dès lors la manip qui consiste à faire mine de s’indigner pour certains « soit on accepte le transfert, soit c’est la porte ! », alors même – il faut le répéter – que le point mis à l’ordre du jour permet de démarrer le délai de 3 mois qui court pour l’information-consultation soit réputé adoptée…

 

Quel que soit l’avis : abstention, négatif, positif, refus de prendre part au vote…Le comité est réputé avoir été consulté et avoir rendu un avis négatif à l’expiration de ce délai (Code du travail, art R.2323-1-1) (*fin de post)

Le blog CGC Média qui a déjà commis deux articles sur le sujet tiendra bien entendu ses lecteurs au courant du déroulé de l’ensemble des actions judiciaires à venir…particulièrement de celle qui pourrait viser l’État-actionnaire puisque selon quelques-uns il serait à la manœuvre ?! 

A suivre donc…. 

 


(*) Il est essentiel de bien connaître les délais dont vous disposez pour rendre vos avis car ils conditionnent fortement votre travail de préparation et d’analyse.

Les délais dans lesquels le comité d’entreprise rend son avis peuvent être négociés, mais ils ne peuvent en aucun cas être inférieurs à 15 jours (C.trav., art L.2323-3). Pour les CSE – comités social et économique – cette notion de délai « plancher » a été supprimée et les élus sont libres de rendre leur avis en moins de 15 jours.

En l’absence d’accord sur les délais de consultation, le comité d’entreprise rend son avis dans les délais fixés par voie réglementaire.

Le délai de consultation du comité d’entreprise commence à courir à compter de la communication par l’employeur des informations prévues par le Code du travail pour la consultation ou, dans le cadre des consultations récurrentes, de leur mise à disposition dans la base de données économiques et sociales (C.trav., art R.2323-1).

1. Consultation unique du CE ou CHSCT : quel est le délai réglementaire en l’absence de délai négocié ?

Le comité est réputé avoir été consulté et avoir rendu un avis négatif à l’expiration d’un délai de (C.trav., art R.2323-1-1) :

– 1 mois lors de la consultation d’une seule instance CE ou CHSCT ;

– 2 mois en cas d’intervention d’un expert – expert-comptable ou expert technique – ;

– 3 mois en cas de saisine par l’employeur ou le comité d’entreprise et d’un ou de plusieurs CHSCT ;

– 4 mois si une instance de coordination des CHSCT a été mise en place, que le comité soit assisté par un expert ou non.

L’avis du ou des CHSCT et, le cas échéant, de l’instance de coordination est transmis au comité d’entreprise au plus tard 7 jours avant l’expiration de ces délais.

Ces délais sont définis en jours calendaires. Par conséquent, ils courent de date à date. Si le délai expire un samedi, un dimanche ou un jour férié, il est prorogé jusqu’au premier jour ouvrable suivant (Circ. DGT 2014-1 du 18 mars 2014).

2. Consultation unique du CSE : quel est le délai réglementaire en l’absence de délai négocié ?

À défaut d’accord, le CSE est réputé avoir été consulté et avoir rendu un avis négatif à l’expiration d’un délai de (C.trav., art R.2312-6) :

– 1 mois en cas de consultation simple ;

– 2 mois en cas d’intervention d’un expert ;

– 3 mois en cas d’intervention d’une ou plusieurs expertises dans le cadre de consultation se déroulant à la fois au niveau du CSE central et d’un ou plusieurs CSE d’établissement.

3. Quelle est l’articulation des délais en cas de double niveaux de consultation ?

Lorsqu’il y a lieu de consulter à la fois le comité central d’entreprise (CCE) et un ou plusieurs comités d’établissement :

– Le CCE doit rendre son avis dans les mêmes délais qu’un comité d’entreprise, soit entre 1 mois et 4 mois, comme présenté ci-dessus.

– Les comités d’établissement doivent rendre leur avis, éventuellement accompagné de l’avis du CHSCT ou de l’instance de coordination, et le transmettre au CCE au plus tard 7 jours avant la date à laquelle le CCE est réputé avoir été consulté et avoir rendu un avis négatif. À défaut, l’avis du ou des comités d’établissement retardataires est réputé négatif.

La signature d’un accord collectif peut permettre de déroger à l’ordre et aux délais dans lesquels le CCE et les comités d’établissement rendent et transmettent leur avis. Il est par exemple possible de prévoir que le CCE soit consulté en premier (C.trav., art L.2327-15).

Ce mode de fonctionnement est similaire en cas de consultation du CSE central et d’un ou plusieurs CSE d’établissement.

Lire aussi "Transferts illégaux de dizaines de salariés de France Télés vers l’espèce de coquille dite de production !"

jeudi 1 avril 2021

Transferts illégaux de dizaines de salariés de France Télés vers l’espèce de coquille dite de production !

Transferts illégaux de dizaines de salariés de France Télés vers l’espèce de coquille dite de production !

Le Secrétaire CGT du CSE central de France Télévisions a inscrit à l’ordre du jour de la séance de l’instance qui se déroule sur 3 jours : les 31 mars, 1er et 2 avril, un point sur le transfert de salariés de la société unique France Télévisions (¤) entreprise d’État régie par la loi donc des obligations impératives notamment celles des marchés publics légalement sujets à appels d’offres, un accord d’entreprise, un cahier des missions et des charges et un COM, vers sa filiale prod « Le Studio » (ex-MFP) qui ne répond à rien de tout cela !


Transferts illégaux à plus d’un titre . Deux cabinets d’avocats sont déjà saisis pour engager des procédures contre la société évidemment mais également contre l’État si cela est nécessaire, afin de stopper immédiatement cette lamentable et machiavélique  manipulation, hors la loi de surcroit, qui n’a pour but à court et moyen terme de se débarrasser à moindre coût des salariés que l'ex-Orange n’a pu pas faire partir avec cette grotesque RCC. 

 Si l’article L1224-1 du Code de travail dispose que: « Lorsque survient une modification dans la situation juridique de l’employeur (*) notamment par succession, vente, fusion, transformation du fonds, mise en société de l’entreprise, tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent entre le nouvel employeur et le personnel de l’entreprise », ceci ne s’applique qu’à ces cas visant des sociétés mais en aucun cas à l’activité de différents services de ces dernières qui sont partie intégrante de l’entreprise.

(*) La modification de la situation juridique voulue par le Législateur des ex-sociétés qui composaient France Télévisions est intervenue en 2009 par voie de TUP (Transfert Universel de Patrimoine).

Cette opération qui certes est rapide n’a pas nécessité par exemple,  de valoriser le patrimoine de chacune des entités absorbées a eu pour effet de FIGER le tout en entreprise unique comme une sorte de bloc monolithique qui ne peut, quitte à revenir en arrière et/ou changer la loi, être modifié.

Autrement dit, pas une gomme, pas un crayon ne peut sortir de l’entreprise ainsi constitué sans violer les termes du TUP puisqu’aucune valorisation n’est réellement intervenue.

« Lorsqu’une entreprise est absorbée par une autre, elle se vide de son activité pour la transférer à la société accueillante. Cette opération ou transmission universelle de patrimoine (TUP) fait que les contrats des salariés sont préservés en l’état »…seuls les accords collectifs dont ils dépendent, négociés par la société absorbée, sont mis en cause.

Ce qui fut le cas à France Télés qui a renégocié et signé en 2013 un nouvel accord d’entreprise qui ne s’applique pas aux salariés du Studio qui n’ont qu’une couverture collective a minima celle de la Production audiovisuelle proche du Code du travail à bien des égards. 

Il n’est donc pas question, principalement pour ces raisons, quelle que soit la présentation qui en sera faite par l’ex-Orange, Mayerfeld et consort, de sortir des salariés de l’entreprise unique au prétexte que les émissions seraient transférées ailleurs, sans violer les textes et la loi dans son esprit comme dans sa lettre afin de s’assoir sur la volonté du Législateur !

De tout cela, le blog CGC Média va très vite reparler…en attendant nous vous proposons de prendre connaissance du très bon papier que publie le cabinet Ktorza, ce 1er avril intitulé « Delphine verse dans la délocalisation ».

Le transfert forcé de salariés devient pandémique. Après Renault, qui y recourt faute de candidats au départ volontaire, France Télévisions s’y essaie.

Le transfert forcé de salariés est une forme de réduction des effectifs extrêmement intéressante pour les employeurs privés parce que sans coût en termes d’indemnisation des victimes. L’article du Canard enchaîné (Lire ci-dessous ou Télécharger le PDF ) le relate exemplairement à propos du secteur automobile. Or voici que, dans l’esprit des dirigeants de la télévision publique, l’idée germe de reproduire le même schéma.

Sur ce : jour après jour, nous recevons les dépositions et confidences de ceux qui font Télématin, opposés à ce projet. 

Bref florilège de ce que pensent les hommes et femmes de télévision concernés :

Ils ne sont pas demandeurs d’informations managériales.

Ils ne demandent ni ne cherchent à comprendre ce qu’on veut leur expliquer à coup de « communication descendante ». 

Aucun ne se déclare transporté par la perspective d’aider FTV Studio à devenir « le premier producteur et fournisseur de contenu de France Télévisions » (sic).

Il leur est indifférent de savoir si le groupe FTV est plus ou moins gros que tel ou tel groupe privé.

Ils ne demandent pas que la mesure leur soit administrée sans « brutalité », une expulsion de leur entreprise ne sera pas plus acceptée doucement que brutalement.

Et ils supportent mal la câlinothérapie qui les vise, d’où qu’elle vienne.

En revanche,

Ils veulent conserver leur poste et leur statut.

Ils refusent de travailler pour un sous-traitant. 

Ils veulent continuer à développer leur magazine, qui a un public et une place bien identifiée dans le PAF. 

Télématin a 36 ans, Today ( NBC ), dont l’émission française est l’adaptation, a 69 ans et passe à 4 heures quotidiennes. 

L’émission n’est donc pas essoufflée, une formule peut l’être, un présentateur, une équipe, mais pour autant, le magazine a un avenir.

Ils refusent que des gens qui ne connaissent rien à la télévision et qui ont la main sur un budget annuel de 3 milliards d’euros prétendent saborder le magazine pour « économiser » 3 millions d’euros. Il s’agit de faire de la télévision de service public, pas de copier sur BFM.

Ils voudraient s’exprimer, non pas sur leurs inquiétudes ou leur stress, mais sur la ligne éditoriale, sur les choix de présentateurs. Parce que ce sont eux qui font l’émission.  

Et nous, nous nous permettons d’ajouter :

Qui est plus légitime que des agents de l’audiovisuel public qui réalisent une émission pour porter un avis pertinent sur leur sort et celui de l’émission ? 

Il se trouve que le droit est de leur côté.

Nous détaillerons le volet juridique dans nos prochaines publications.

(¤)

















mercredi 31 mars 2021

Nouvelle et énième déconfiture pour le trio Field/Sitbon-Gomez/Ernotte avec le troisième numéro du "Grand oral".

Nouvelle et énième déconfiture pour le trio Field/Sitbon-Gomez/Ernotte avec le troisième numéro du "Grand oral".

Chaque semaine qui passe le blog CGC Média égraine les mauvaises audiences qu’enchaînent et accumulent pour l’ex-Orange et son ex-dircab que le tandem partageait hier mardi soir en prime time avec Michel Field l’ex-directeur de l’Info deux fois mis en défiance mais promu « Monsieur Culture du groupe » qui se payait à nouveau un énorme bide avec son "Grand oral".

Cette troisième édition du "Grand oral" toujours diffusée sur France 2 produite par Kiosco, Elephant & Webedia et présentée pour la première fois par Leïla Kaddour, s’est pris une nouvelle et énorme gamelle.

Une audience au plus bas depuis la création de cette émission avec 5,1% seulement d’adeptes pour 1,03 million de téléspectateurs qui, une nouvelle fois, positionne La Deux derrière TMC.  

Que chacun se rassure, Field essaiera encore de jouer  les contorsionnistes pour se féliciter du nombre de « clics » post-diffusion sur le Net comme il l'a fait ces deux dernières années en déclarant "Nous étions quand même assez contents du résultat avec Delphine Ernotte"...Pardi !!

Pour mémoire, l’émission présentée le 4 février 2020 par Laurent Ruquier s’était déjà pris une tôle avec 7,7% du public pour 1,39 million de Français, dans le droit fil de la première édition qui n’avait guère fait mieux avec 7,9% et 1,48 million de curieux.

Un bonheur n’arrivant jamais seul comme dit l’adage, le troisième volet d’Antidote dimanche dernier voulu par l’ex-dircab de l’ex-Orange, a aussi pris un énorme bouillon.  

Le magazine présenté par Miche Cymes poursuit sa dégringolade avec le score abyssal 4,2% qui plombe la chaîne et notamment cette fin d’après-midi dominicale qui enregistre grâce au retour de Michel Drucker de plutôt bonnes audiences.

"Vivement dimanche" (France 2) : 1,50 million (12,4%).
"Vivement dimanche prochain" (France 2) : 1,23 million (10,3%).