jeudi 28 mars 2013

Pflimlin refile les émissions religieuses à MFP en laissant des dizaines de salariés de France 2 sur le carreau.



Dans un précédent article du 21 novembre 2012 intitulé « Pflimlin continue sa politique de chantage financier auprès des Tutelles alors même qu’il poursuit son processus d’externalisation à outrance! », le blog CGC Média dénonçait la l’accélération unilatérale du processus par la direction de donner le travail de fabrication des émissions à des boîtes de Prod.

Dernière en date, Pflimlin décide unilatéralement de basculer les émissions religieuses fabriquées et diffusées depuis toujours par France 2 vers MFP où les contrats précaires sont légion.

Un des objectifs non affiché, réduire la masse salariale de France Télévisions qu’a explosée Pflimlin depuis son arrivée et diminuer [fallacieusement donc] le nombre d’E.T.P. avec une augmentation évidente des frais généraux de l’entreprise.

Alors que le cahier des missions et des charges que doit respecter France Télévisions prévoit dans son article 15 : « Les émissions religieuses et portant sur la spiritualité continueront d’être diffusées sur France 2 avec un éclairage particulier sur les grands événements. Ces émissions, réalisées en liaison avec les représentants désignés par les hiérarchies de ces cultes après avis du ministère chargé des cultes conformément à l’article 56 de la loi du 30 septembre 1986 relatives à la liberté de communication [Manuel Valls, Ministre de l’Intérieur], se présentent sous la forme de cérémonies cultuelles ou de commentaires religieux.

En outre-mer, la société peut programmer et diffuser, dans le cadre des programmes locaux, des émissions consacrées aux diverses familles de croyance et de pensée, et à l'expression des principaux cultes pratiqués localement.

Lorsqu'il ne s'agit pas de retransmissions en direct, la société procède à leur visionnage et valide leur passage à l'antenne.

Le coût financier de ces émissions est pris en charge par la société dans la limite d’un plafond fixé par le conseil d’administration. Il est réparti entre les différents cultes en tenant compte, notamment, de leur représentativité respective. Les conditions de production et de financement sont fixées par un accord passé par la société avec chacun des cultes. »

France Télé s’en moque.

Il est donc peu probable que les responsables des émissions cultuelles réalisées en liaison avec les représentants désignés par les hiérarchies de ces cultes après avis du ministère chargé des cultes aient passé un accord via France Télé pour être dorénavant totalement géré par MFP qui mette sur la touche les moyens internes, des techniciens mais aussi des gestionnaires et des administratifs qui se retrouvent ainsi sans boulot et vraisemblablement en sous-emploi !!!
 
L’État actionnaire ne peut pas laisser un tel dépeçage de l’entreprise se poursuivre sauf à s’abimer en prières pour que les choses s’améliorent.


mercredi 27 mars 2013

Patino n’a rien trouvé d’autre pour France Télé que le retour du radio-crochet et l’arrivée du roman-photo.

Dans une interview qu’il a donnée mardi 26 mars à « Libération », Patino qui ne répond pas à la question des journalistes « Quelles émissions vont s’arrêter ? » mais préfère ironiser « Je ne vais pas vous donner une liste », a quand même indiqué ce qu’il prévoyait.

Comme il le clame haut et fort (et il sait de quoi il parle) « Mon boulot, c’est de faire que l’économie ne l’emporte pas sur l’éditorial car chaque patron a reçu son budget et sait très bien qu’il doit faire des choix. », Patino a visiblement choisi : ce sera le retour du radio-crochet et l’arrivée du roman-photoc’est lui qui le dit.

A la question « Monter en gamme, ça veut dire que vous supprimez totalement les émissions de scripted reality ? » il va, en quelques lignes, dire blanc et noir juste après : « Je refuse d’être sur une position de principe en ayant des interdits sur la façon d’écrire des histoires. Il ne faut pas se laisser piéger par la sémantique : il n’y a aucun format interdit sur le service public… » [comprenez, la scripted reality a donc sa place sur le service public !] 

Et d’ajouter « En revanche, certaines façons de les faire [les histoires donc !] n’y ont pas leur place. » [comprenez, la scripted reality telle qu’elle est n’a donc pas sa place sur le service public !] 

Et de synthétiser tout ça « En clair, on va demander aux gens qui en créent [des histoires de scripted reality n’ont pas leur place en l’état mais l’auront demain une fois réécrites par ceux qui créent ces programmes !] de la faire différemment. » 

Il fallait simplement y penser !!!! C’est donc pour cela que Patino a déjà programmé sur France 2, en remplacement de Julien Courbet soi-disant trop cher, un « Plus belle la vie »mais pas français, allemand ! 

Après "Les feux de l'amour", intitulé « Le tourbillon de l’amour », l’action de cette série allemande style roman-photo des années 60 se situe dans un hôtel cinq étoiles. La série qui dispose déjà d’un stock confortable d’épisodes de cinquante minutes chacun : près de 2.000 sont déjà disponibles (c’est vous dire !),  suit le quotidien des employés et des clients de l’établissement. 

La création française a de quoi se réjouir avec ce choix « européen » de Patino et Vilamitjana ! 

Deuxième scoop de programmation toujours dans l’interview de « Libé »…après le roman/photo-vidéo, le retour du radio-crochet.

Les journalistes qui comme le blog CGC Média sont semble-t-il restés sur leur faim et n’ont guère compris les finesses de langage Patino, ont quand même souhaité renouveler différemment leur question « Vous interdisez-vous la télé-réalité ? ». Et là, ils n’ont pas dû été déçus « Je ne sais même plus ce que c’est, la télé-réalité. » Voilà pourquoi, il disait un peu tout et son contraire juste avantil n’y a pas de honte à dire qu’on ne sait pas.  

La suite est presque cohérente. Comme il ne sait pas, il improvise un peu « Evidemment, on ne fera pas Carré Viiip ou les Anges de la télé-réalité. Mais « The Voice », par exemple, ce n’est pas du tout indigne sur le service public. » 

Patino qui dit « ne pas se souvenir de Pierre Desgraupes mais  de Marcel Jullian [avant Desgraupes donc…étonnant et paradoxal !] au moment où grâce à ce dernier, Antenne 2 était totalement de son époque. », fait donc un deuxième vœu : une émission type «  The Voice » pas du tout indigne du service public et qui y a toute sa place ». 

Ben on y est arrivé. Quelle audace !

Patino qui affirme péremptoirement « Moi, je crois aux prises de risques » souhaite donc une sorte de télé-crochet, où la chaîne qui le diffusera, France 2 par exemple mettra les petits plats dans les grands : un nouvel animateur, un jury composé de célébrités,  une diffusion le samedi soir en prime-time – histoire de ! - et une grande finale prévue en direct avec vote des téléspectateurs !!! 

C’est top. Super idée…il faut bien le reconnaître. Il ne reste plus qu’à lui trouver un nom audacieux un peu anglicisant genre Sing…quelque chose ! 

Attendez, que personne ne bouge !  Quoi ? C’est  déjà vu ou déjà fait !!!!! Vous plaisantez ?
Non. La dernière semaine de septembre 2011, Claude-Yves Robin ex dégé de France 2 était viré peu de temps après avoir lancé un grand programme de rentrée: « Sing-Off 100% Vocal. » (le télé-crochet qui n'a pas franchement rencontré son public et qui a fait un bide, si nos souvenirs sont bons) 

C’est ballot ! Patino qui tenait là pour son interview une idée force...Il pourra toujours se rabattre sur l’éternel « bestiaire » lui qui déclare « Je crois plus à des émissions de divertissement et d’humour qui sont imprégnées de culture et de connaissance plutôt qu’à des cases réservées comme dans des zoos à la culture et à la connaissance. »… 

ou encore « Continuer à lancer des trucs, imaginer de nouveaux programmes, faire venir de nouveaux visages. » avec pourquoi pas, une émission parrainée par Optic 2000 en résonnance à ses propos « Il y a la rémanence rétinienne, ce qui reste de nos programmes : c’est ce qui va distinguer ce qui est le service public de ce qui ne l’est pas. » !!!!!

Ne victimisez pas plus Pflimlin, il le fait suffisamment comme ça lui-même !

Ne victimisez pas plus Pflimlin, il le fait suffisamment comme ça  lui-même !
Le 2 avril  prochain, les patrons de télévision et de radios privés TF1, M6, NRJ, Nextradio TV, RTL, Europe 1... sont conviés à l'Élysée le 2 avril par François Hollande.
Nicolas de Tavernost, patron de M6 déclaré lors d'un déjeuner avec l'Association des journalistes médias, ce 26 mars : « Nous allons demander à ce que l'État confirme son engagement de maintenir la suppression de la publicité après 20h sur le service public, et de supprimer la publicité avant 20h en 2016, comme il l'avait prévu dans la loi » en ajoutant « En Europe, les services publics télévisuels ont pas ou peu de publicité ».
Les auteurs du courrier estiment qu’une éventuelle réouverture de la publicité après 20 heures sur les chaînes publiques (...) est un « sujet de préoccupation majeure qui ne ferait qu'amplifier de manière durable la crise que notre secteur affronte ».
Pourquoi une telle démarche ? Parce qu’en période de crise la manne publicitaire qui était de 100 - si on la compare à un gros gâteau – aurait fondu d’environ 10% et ce alors même qu’il y a plus de convives autour de la table (les 6 nouvelles chaînes de la TNT gratuite) justement pour partager ce qui reste du gâteau.
Mais ce n’est pas si simple; ce n’est pas parce une grande majorité d’entreprises y compris les très gosses qui la subissent également, ont réduit leur budget pub que les contribuables français doivent continuer de compenser.
Cette rencontre fait probablement suite à une lettre qui a été envoyée le 20 février dernier par huit acteurs du secteur  (RTL, NRJ, Numéro 23, L'Equipe, Lagardère, TF1, M6 et NextRadioTV) à François Hollande dont « Les Echos » ont eu copie amis surtout aux dernière déclarations de Pflimlin qui avait laissé entendre dans la presse que les difficultés économiques de France Télé pourraient être en partie surmontées si l'Etat autorisait un retour même partiel de la publicité sur les chaînes publiques après 20h
D’abord l’idée ne vient pas de Pflimlin mais ensuite comme le dit parfaitement Martine Martinel dans son rapport parlementaire, les prévisions de recettes publicitaires mises en avant par Pfimlin étaient «  hypocrites et insincères »…Demandez le donc à Philippe Santini et Christophe Scherer, respectivement numéro 1 et 2 de le régie, virés depuis !
Le responsable de tout ce souk, c’est bien Pflimlin comme c’était déjà lui chez Pressatlis, société de diffusion de la presse parisienne, toujours au bord de la faillite et que les contribuables ont déjà dû recapitaliser.
Oui messieurs, si Pflimlin fait aujourd’hui votre unanimité contre lui, rassurez-vous, il fait également l’unanimité contre lui, tout d’abord à France Télévisions, côté salariés tous remontés contre le foutoir qui règne à tous les niveaux mais aussi  côté politiques et pouvoirs publics qui unanimement constatent la catastrophe industrielle et économique dont il est responsable avec sa garde rapprochée.
De grâce, messieurs les patrons de l’audiovisuel privé, ne victimisez pas plus Pflimlin, il le fait suffisamment comme ça  lui-même et pensez au sort de ces 11.000 femmes et hommes inquiets qu’il imagine entraîner avec lui dans sa chute !

mardi 26 mars 2013

Patino a perdu une nouvelle occasion de se taire !


Patino a perdu une nouvelle occasion de se taire !
Dans une interview qu’il donne à Libération ce 26 mars, Patino répond sur un deux pages aux questions de Isabelle Roberts et Raphaël Garrigos.
Sa photo qui occupe quasiment toute la première page du journal, façon« vous m’avez surpris, je ne m’y attendais pas » ou encore style Claude Vega aux plus belles heures des émissions d’humour de la télé encore en noir et blanc,

est sous-titrée en gras et gros « Mais enfin, il ne s’agit pas d’éteindre la lumière ! ».

Cette interview ne nous apprend rien car à presque chaque question le « monsieur programmes de Pflimlin » botte en touche. Les propos y sonnent creux :

« Je ne vais pas vous donner la liste des programmes supprimés… » [on ne saura donc jamais lesquels !]
« J’ai quelques idées assez précises sur ce qu’on doit être éditorialement parlant… »[on ne saura jamais non plus lesquelles!]
« Il faut faire des choix ambitieux… »[on ne saura pas non plus lesquels!]
« Il faut innover et créer…continuer plus que jamais à lancer des trucs…» [enfin bon sang de bois, lesquels!]
« La télé c’est 3h30 par jour mais il y a tous les autres écrans et là vous me voyez arriver avec mes gros sabots… » [pas vraiment non ! Pourquoi on devrait et ces 3h30 de télé par jour auxquelles il fait référence, comment compte-t-il les occuper ? Avec quels programmes ? Mystère, on ne saura pas non plus lesquels!]

C’est consternant de platitude.

Le plus énorme, c’est la phénoménale boulette que fait Patino dans cet exercice de questions/réponses dès le départ.

A la question « Vous arrivez à ce poste d’homme de programmes - fonction qui paraît-il manquait à Rémy Pflimlin - dans un contexte économique difficile. Comment fait-on des programmes et dans quels conditions ? »

Patino qui commence par dire« On ne va pas se mentir » [croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer…voilà le lecteur prévenu !] va justement enchaîner avec le plus gros bobard qui soit « Le plan d’économies entériné vendredi 22 mars lors du conseil d’administration par Rémy Pflimlin, va toucher tout le monde et impacter tous les programmes. Enfin il ne s’agit pas d’éteindre la lumière ! »

Aucun « plan d’économies » n’a été « entériné vendredi lors du conseil d’administration » comme l’indiquait le blog CGC Média et pour cause…Pflimlin n’a rien soumis au vote des administrateurs ; Patino devrait le savoir !!!! Crédibilité quand tu nous tiens !

En le faisant Pflimlin risquait d’être mis en minorité avec un vote contre et donc par voie de conséquence de devoir démissionner immédiatement.

Pflimlin n’a sûrement pas oublié les propos et les prises de position de Christophe BAUX PDG de La Monnaie de Paris et administrateur de France Télévisions qui s’était déjà illustré l’année dernière avec sa phrase choc "Les comptes sont mauvais…si France Télévisions continue comme ça, dans six mois, les caisses seront vides et qui: « souhaite qu'effectivement le processus menant à un futur COM soit mieux maîtrisé et plus transparent à l'égard du Conseil que ne l'a été le précédent.
Il rappelle s’être abstenu lors du COM précédent. Il précise que si les choses ne changent pas dans la méthode, il ne s’abstiendra pas pour le prochain COM et votera  contre.
Il militera auprès d'autres administrateurs pour qu'il y ait un vote contre assez large.
Il note que cela s'est déjà vu dans ce Conseil il y a quelques mois, que l'État soit mis en minorité. Ce qui a été fait peut se refaire. Il indique enfin, le faire un peu comme un avertissement solennel : il faut que le Conseil d'administration soit impliqué dans la stratégie et donc dans la définition du COM. Cela ne peut pas être un document qui arrive en conseil comme cela, tout ficelé et discuté dans les couloirs ministériels. »

Il était donc prévenu Pflimlin !

Alors quand il va raconter à Libé « sans se mentir »que « Le plan d’économies a été entériné vendredi [22 mars]lors du conseil d’administration… », il a encore et encore perdu là une occasion de se taire Patino !

Redisons-le au « numéro 2 » comme au « numéro 1 » du reste, le Conseil d’Administration « n’a entériné aucun plan d’économies vendredi 22 mars lors de la séance du conseil» …d’ailleurs lequel des scenarii auraient-ils entériné ? La version 1,2,3, 4 ou 4bis, à moins qu’il ne sortît à la dernière minute un « plan patchwork » un peu fourre-tout.

Pflimlin n’a donc obtenu aucun mandat pour mettre en place l’un d’entre eux ou un autre du reste…n’en déplaise à Patino.

Est-il bien utile dès lors de perdre son temps à lire le restant de l’interview avec un tel démarrage ???

En ce qui concerne le blog CGC Média comme une majorité de ses lecteurs, la décision est prise: Il s’agit effectivement d’éteindre la lumière, de poser l’interview de Patino par "Libé" et de passer à autre chose ! 







Pflimlin chargé de trouver la place des femmes à France Télé…Patino donne le « la » !


Le 1er mars, Aurélie Filippetti a annoncé la création d’un comité d’une trentaine de personnes pour «suivre l'évolution de la place des femmes» dans la culture et les médias. 

C’est un bilan défavorable de la situation des femmes dans la culture et les médias qu’a dressé la ministre de la Culture et de la Communication lors d’une conférence de Presse : «La situation des femmes reste extrêmement défavorable, qu'il s'agisse des femmes dirigeantes des établissements culturels, des femmes qui sont dans les programmations artistiques».  

Face au «constat très amer» (ce sont ces mots), plusieurs objectifs ont été fixés au nouveau comité dont l’action sera notamment guidée par les données de l’Observatoire de l’égalité.

Pflimlin aux côtés de représentants de l’administration du ministère, mais aussi de Sylvie Pierre-Brossolette membre du CSA, d’élus, de représentants d'associations, de dirigeants d'institutions culturelles comme Catherine Blondeau la directrice du théâtre grand T à Nantes, de Véronique Cayla la présidente d’Arte, d’experts comme Brigitte Grésy, experte médias/stéréotypes et des artistes et auteurs parmi lesquels la plasticienne Sophie Calle, la journaliste Caroline Fourest, l’écrivaine Anne-Marie Garat ou encore la réalisatrice et auteure Marjane Satrapi, est nommé pour réfléchir à l’évolution  de la place et de l’image des femmes dans la culture et les médias !

Surréaliste ! 

La place de la femme à France Télé, il l’a récemment trouvé. Il n’y avait qu’une femme aux « responsabilités » à France Télévisions en tant que directrice des programmes du groupe (également directrice de France 4), Pflimlin l’a viré pour la remplacer par Patino.

Le dessin qu’a adressé Emmanuelle Guilbart à de très nombreux collaborateurs en guise de  « mot de départ » illustre bien « la place de la femme » selon Pflimlin.


Patino qui a donc pris la place d’Emmanuelle Guilbart, a d'ailleurs donné le « la », la semaine dernière, en réunissant l’ensemble des conseillers de programmes et des directeurs de programmes.

A Sandrine Roustan, la seule femme (directrice des programmes de France 4) aux côté de ses collègues masculins et devant toute l’assemblée, alors qu’elle avait le micro et était prête à parler, Patino l’en a empêché en lui coupant à deux reprises la parole…avant de terminer son speech par « Messieurs vous pouvez regagner vos places » !

Non seulement nombre de participants ont fait savoir au sortir de la réunion qu’ils étaient choqués mais personne n’a trouvé à en parler à Patino qui immédiatement après la réunion s’était éclipsé.

Il n’y a donc aucun souci à se faire, Pflimlin aidé de Patino pour l’occasion, devraient vite – très vite – proposer à la ministre de la Culture et de la Communication "une place pour les femmes à France Télévisions" !