vendredi 18 mars 2016

Afrique adieu….


Afrique adieu….

L’ex Orange et son directeur de l’info à France Télé, ont visiblement décidé de fermer le bureau de France 2 à Dakar. 

C’est assez curieux alors que depuis des mois le tandem répète en boucle « chaîne info… chaîne info… chaîne info » lancée à l’automne 2016 juste avant la présidentielle de 2017 ! Rien de politique et encore moins de politisé pour ceux qui étaient ensemble en régie lors d’un des derniers « DPDA» de Pujadas en l’occurrence celui de Nicolas Sarkozy.
Incompréhensible surtout lorsque les deux mêmes disent nourrit des ambitions   équivalentes à la BBC - « différentes » tout de même – de fermer le bureau d’Afrique…Il ne serait pas assez rentable !!!!!  
En tous cas l'info ne serait pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Un ancien de France TV Patrick Fandio, devenu grand reporter à TF1 qu'il a quitté il y a peu pour monter un bureau en Turquie, y verrait lui une opportunité.

Il connait bien le continent...Il était récemment en Côte d'Ivoire pour relater les évènements malheureux pour TF1. Il y avait également, juste avant la coupe du monde de foot en Afrique du Sud, monté un bureau à l'époque pour assurer la couverture JT toujours pour TF1.

Un possible correspondant sur place, freelance...ou pas d'ailleurs ? Pourquoi pas!

Le cabinet d'avocats chargé du dépôt des plaintes dans la nouvelle affaire à France Télé se frotte les mains.



Le cabinet d'avocats chargé du dépôt des plaintes dans la nouvelle affaire à France Télé se frotte les mains des propos de la "porte-parole". 

Tout d'abord, c'est avec un certaine incompréhension - quotidienne depuis quelques mois à France Télé, il faut le répéter - que le blog CGC Média a découvert la création d'un nouveau poste, celui de porte-parole: « La porte-parole a précisé,….a affirmé la porte-parole…etc ».
 
Il est tout d’abord il est à noter que France Télévisions s’est maintenant doté  d’une porte-parole…L’ex Orange avait déjà crée un poste de dircab à France Télé, voilà à présent celui de porte-parole qui indique suite aux révélations du Canard il n'y a eu « aucun enrichissement personnel »....parce qu'elle a mené l'enquête la porte-parole et qu'elle sait!!!!! Bon passons.

Le cabinet d'avocats chargé du dépôt des deux plaintes dans la nouvelle affaire de "pépettes" à France Télé se frotte les mains de tant d'éléments donnés qui se contredisent d'ailleurs d'un titre de presse à un autre et qui sont venus nourrir les deux actions en Justice auxquelles fait référence l’AFP. 

Ces dernières devraient, selon nos informations, être bouclées courant de semaine prochaine. Le blog CGC Média dès leur dépôt, leur objet et les personnes visées, ne manquera de vous en tenir informés…revenons pour l’heure sur le sujet qui nous occupe.

La dépêche AFP du 16/03/16 à 15h56 (*fin de post) qui fait suite à l’article du Canard enchaîné de ce même jour sur les conditions de l’ « Aide que FranceTV apporté à la Fondation des Femmes, notamment avec la commande de clips dits anti-sexistes »  à « Pardi » la boîte de production de Maxime Ruszniewski Secrétaire général de la dite Fondation, également ex conseiller de la ministre au Droit des femmes

Petit problème si tant est qu’il soit si petit que cela, la fameuse porte-parole n’est pas en phase avec les « confidences » qu'elle fait à l'AFP et celles en "réponse au Canard" à « La Lettre de l’Audiovisuel ». 

Voici ce que dit la porte-parole "Je savais qu'Anne-Cécile Mailfert était la compagne de Stéphane Sitbon-Gomez, directeur de cabinet de Delphine Ernotte…"…. 
Anne-Cécile Mailfert, ex-porte-parole d'Osez le féminisme, qui vient avec Maxime Ruszniewski créer « La Fondation des femmes » qui  a commencé à récolter des fonds auprès du grand public et des entreprises pour aider des associations qui luttent sur le terrain pour les droits des femmes.

La porte-parole d’affirmer "En effet, sa présidente est une personnalité connue du monde du féminisme. De plus, quand elle est venue nous voir elle avait déjà des partenaires reconnus…qu’elle soit pour moi la compagne de Stéphane Sitbon-Gomez, directeur de cabinet de Delphine Ernotte n'entrait pas dans l'équation (°)"

(°) Ce que la porte-parole appelle l'équation, c’est en réalité la loi sur les éventuels conflits d'intérêts et les conditions de dépense de l'argent public mais aussi l’accord d’entreprise FTV qui a force de loi)...toutes ces dispositions qui interdisent justement ce « mélange des genres ». 

Qu’affirme encore la porte-parole concernant cette fois-ci le co-fondateur et Secrétaire général de la Fondation Maxime Ruszniewski qui a tourné les clips diffusés par le groupe autour de la journée des droits des femmes, "Il a remporté un appel d'offres pour fournir des recommandations contre les stéréotypes, pour 7.000 euros." 

Puis il a été choisi pour réaliser trois clips pour 40.000 euros, avec des animateurs de France Télévisions, sans appel d'offres car c'est la règle pour réaliser les clips. Tout a été fait dans les règles de France Télévisions".

Et patatras voià que la porte-parole s'emmêle les crayons " Trois clips facturés 40.000 euros sans appel d'offres car c'est la règle mais un appel d'offres qu'il a(urait) remporté pour 7.000 euros...!!!!!!

Résumons donc...la règle c'est pour 40.000€ pas d'appel d'offres mais pour 7.000€ oui! Etrange...La porte-parole d'enchérir "Maxime Ruszniewski a a été choisi car il était le moins cher" et de de préciser « qu'à l'époque où Maxime Ruszniewski a été choisi, elle n'avait pas connaissance qu'il soit administrateur de la Fondation des femmes. "Cela a été annoncé en mars" ».

Voici pourtant ce qui figure aussi dans « La Lettre de l’Audiovisuel » (¤)  « Maxime Ruszniewski n’a touché que 5.500 euros et a rétrocédé ses droits d’auteur ».


C'est à y perdre son latin...5.500€, 7.000€, 8.000€ ou 40.000€ !!??

Toutes ces personnalités qu'évoque la porte-parole "Outre Delphine Ernotte, la Fondation des Femmes est soutenue par l'ex-ministre Roselyne Bachelot, la ministre des Droits des Femmes Laurence Rossignol, ainsi que de nombreuses personnalités des médias et d'ONG. Elle compte dans son comité exécutif Geneviève Garrigos, présidente d'Amnesty International France et Danielle Bousquet, présidente du Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes" et autres "ambassadeurs" ou "les partenaires reconnus" dont elle avait connaissance en amont qui  pourront sûrement aider à y voir plus clair lorsqu'elles seront sollicitées par la Justice. 
 
(*) La dépêche AFP du 16/03/16

Aide de FranceTV à la Fondation des Femmes, clips anti-sexistes : les syndicats demandent des comptes.
        PARIS,  16 mars 2016 (AFP) - Deux syndicats de France Télévisions ont demandé des comptes à leur direction mercredi, au sujet d'une aide de 8.000 euros accordée à la Fondation des Femmes, dont la dirigeante, militante féministe reconnue, est aussi, selon Le Canard Enchaîné, la compagne d'un proche de Delphine Ernotte. 
       Autre grief, ils s'interrogent sur l'attribution de la réalisation de trois clips contre les clichés sexistes au réalisateur Maxime Ruszniewski, administrateur de cette fondation, comme l'a également révélé Le Canard.
       La Fondation des femmes, que  vient de créer Anne-Cécile Mailfert, ex-porte-parole d'Osez le féminisme!, a commencé à récolter des fonds auprès du grand public et des entreprises pour aider des associations qui luttent sur le terrain pour les droits des femmes.
       "Je savais qu'Anne-Cécile Mailfert était la compagne de Stéphane Sitbon-Gomez, directeur de cabinet de Delphine Ernotte, mais pour moi cela n'entrait pas dans l'équation pour aider cette fondation, qui veut notamment fournir des logements aux femmes victimes de violence", a répondu à l'AFP la porte-parole de France Télévisions.
       "En effet, sa présidente est une personnalité connue du monde du féminisme. De plus, quand elle est venue nous voir elle avait déjà des partenaires reconnus. Enfin parce qu'il n'y avait aucun enrichissement personnel puisque tous les membres de l'association sont bénévoles", a-t-elle souligné.
       Outre Delphine Ernotte, la Fondation des Femmes est soutenue par l'ex-ministre Roselyne Bachelot, la ministre des Droits des Femmes Laurence Rossignol, ainsi que de nombreuses personnalités des médias et d'ONG. Elle compte dans son comité exécutif Geneviève Garrigos, présidente d'Amnesty International France et Danielle Bousquet, présidente du Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes.
       Quand à Maxime Ruszniewski, auteur des clips diffusés par le groupe autour de la journée des droits des femmes, "il a remporté un appel d'offres pour fournir des recommandations contre les stéréotypes, pour 7.000 euros. Puis il a été choisi pour réaliser trois clips pour 40.000 euros, avec des animateurs de France Télévisions, sans appel d'offres car c'est la règle pour réaliser les clips. Tout a été fait dans les règles de France Télévisions", a affirmé la porte-parole.
       La porte-parole a précisé qu'à l'époque où Maxime Ruszniewski a été choisi, elle n'avait pas connaissance qu'il soit administrateur de la Fondation des femmes. "Cela a été annoncé en mars", a-t-elle ajouté.
       La CGC a annoncé mercredi sur son blog qu'elle allait porter plainte contre Delphine Ernotte et Stéphane Sitbon-Gomez pour "détournement de fonds publics et abus de biens sociaux" et réclamé leur démission.
       Le SNJ a lui "exigé de la présidente qu'elle s'explique, en particulier sur la question des éventuels intérêts croisés, qui sont interdits". "Les petits arrangements entre amis sont intolérables, surtout quand ils sont pratiqués
dans une entreprise de service public, avec l'argent du contribuable", ajoute le communiqué du SNJ.
       leb/sr/ial/sd/eb
      
      
(¤) La Lettre de l'audiovisuel n°6154 du 17 mars 2016

"France Télévisions répond au Canard enchainé"


ACTUALITÉ. Après que le journal satirique a dénoncé mercredi ce qu'il appelle des copinages  à la tête de France Télévisions, le groupe public a répondu en détail.


A peine sept mois après sa prise de fonctions, Delphine Ernotte doit faire face à une polémique, suite à un article à charge de la part du Canard enchaîné, dénonçant des liens entre la direction et une organisation défendant les droits des femmes. 


Celui-ci s'est interrogé notamment sur le versement de 40.000 euros à la société de production Pardi par France Télévisions pour trois spots de 40 secondes diffusés dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars dernier.


L’hebdomadaire relève que la société a été créée récemment par Maxime Ruszniewski, administrateur de la Fondation des femmes, bénéficiaire des aides du groupe public, qui sont également versées à des associations comme Solidarité Sida, la Fédération internationale des droits de l'homme, justifie France TV. 


Le souci: ladite fondation est présidée par la compagne du directeur de cabinet de Delphine Emotte, et compte également au sein de son conseil d'administration Maxime Ruszniewski. 


La communication de France Télévisions a précisé auprès de l'AFP qu'à l'époque où ce dernier a été choisi pour réaliser ces clips, elle n'avait pas connaissance qu'il était l'administrateur de la Fondation des femmes. "Cela a été annoncé en mars", a-t-elle ajouté.

Maxime Ruszniewski a également facturé des services de consulting, et remporté "un appel d'offres pour fournir des recommandations contre les stéréotypes,  pour 7000 euros", nous a confirmé la porte-parole de France Télévisions, Nilou Soyeux "car il était le moins cher". 


Concernant ses activités de production, il a été choisi pour réaliser trois clips de promotion de 40 secondes pour la somme de 40.000 euros "sans appel d'offres car c'est la règle pour réaliser les clips" Le service de communication du groupe public a précisé que la réalisation de ce type de clip est habituellement facturée "entre 15.000 et 20.000 euros par clip".


Selon elle, la somme de 40.000 euros est "en deçà du marché, d'autant plus qu'elle comprenait la production, la postproduction, l'écriture du scénario et la réalisation". "Une fois le réalisateur et les intermittents du spectacle payés, Maxime Ruszniewski n'a touché finalement que 5.500 euros et a rétrocédé ses droits d'auteur", assure-t-on à France Télévisions.


Les syndicats ont bondi à la lecture de l'article du Canard Enchaîné, la CGC réclamant immédiatement la démission de la présidente. Le syndicat a également annoncé mercredi sur son blog un dépôt de plainte contre Delphine Emotte et Stéphane Sitbon-Gomez pour "détournement de fonds publics et abus de biens sociaux". Le SNJ, lui, a "exigé de la présidente qu'elle s'explique, en particulier sur la question des éventuels intérêts croisés, qui sont interdits".


Rappelons que Delphine Ernotte a lancé une chasse aux privilèges et aux surfacturations avec un grand audit du groupe et en écartant des antennes les plus grosses rémunérations, comme celle de Julien Lepers, et en réaménageant les grilles, comme cela va être le cas sur France 2 en réaménageant "Vivement dimanche".


Un coup de balai qui n'a pas plu à tout le monde, en attendant le rapport de la Cour des comptes sur la gestion de France Télévisions en juin.


Alors que, mi-février, la Cour de cassation a validé les mises en examen pour favoritisme des anciens patrons de France Télévisions et Bygmalion, Patrick de Carolis et Bastien Millot, ces accusations de copinage sont du plus mauvais effet."

      
   

jeudi 17 mars 2016

Maxime Ruszniewski a adressé un droit de réponse à Renaud Revel au sujet de la Fondation qu’il administre…il n’a pas été déçu!


Maxime Ruszniewski a adressé un droit de réponse à Renaud Revel au sujet de la Fondation qu’il administre…il n’a pas été déçu!

Depuis hier, mercredi 16 mars date de sortie du « Canard enchaîné » (* fin de post), c’est branle-bas de combat à France Télévisions…particulièrement au 8ème étage.

Suite à l’article intitulé « A France Télés les droits de la femme nourrissent son homme » que le blog CGC Média a immédiatement relayé, les tentatives d’explications dont les versions varient d’ailleurs en fonction de l’une ou de l’autre, se poursuivent.

Dernière en date, celle de Maxime Ruszniewski producteur de clips pour la Fondation des femmes dont il est Secrétaire général et dont Ernotte affirme « n’avoir su qu’en mars 2016  qu’il était administrateur de ladite que France Télé finance » (La Lettre de l’Audiovisuel n°6154).

C’est assez curieux cet amnésie partielle dont souffre soudainement Ernotte sur le producteur-administrateur-conseiller à qui elle vient de payer via sa boîte de prod « Pardi » : 40.000 euros pour 3 clips.

L’ex Orange Ernotte allant même jusqu’à préciser via sa dircom que « 40.000 euros c’est en en deçà du marché…un clip c’est habituellement entre 15.000 et 20.000 euros »). C’est dingue ça…finalement France Télé aurait fait des économies !!!!!!

Ernotte connait très bien Maxime Ruszniewski puisqu’il est le conseiller de Najat Vallaud-Belkacem, Ministre des Droits des Femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, lorsque l’ex Orange devient le mercredi 2 juillet 2014 sous l'égide de "La Fondation FACE" qui héberge aujourd'hui "La Fondation des femmes" présidente du Comité Exécutif d'une précédente fondation soutenue par la ministre et son conseiller com "La Fondation Égalité – Mixité"ces deux dernières fondations hébergées toutes deux par la « FACE » donc. (photo ci-dessous).

Fondation qui avait du reste lancé toujours sous l’impulsion toujours de l’infatigable Maxime une campagne du même style. La campagne dit le site de la fondation Face dont dépend Ernotte donc « est signée par l’agence Citizen Republic, est soutenue par le Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes et par le Syndicat National de la Publicité Télévisée (SNPTV). »  

D’ailleurs si l’ex Orange avait fait une recherche internet sur ladite Fondation hébergée par la « FACE » dont elle est quand même présidente, elle aurait pu lire (capture d’écran ci-après)


 


snptv.fr/actualites/actualites_fla.php?id=1396 

19/11/2014 - Fondation Egalité-Mixité, sous égide de FACE. retour à la liste ... Maxime Ruszniewski (Citizen Republic-MPG Groupe) 06 22……..»

Cette date 19/11/2014, est du reste importante pour la campagne fournie semble-t-il par Citizen… car Ernotte aurait pu s’interroger sur autre info toujours donnée dans le cadre d’une recherche Internet – ah ce foutu Internet !!! – qui est cette fois-ci délivrée par « La Correspondance de la publicité » en date du 19/01/15 « Mme Frédérique AGNES et MM. Farid AKANI, Eric DEPOORTER et Maxime RUSZNIEWSKI lancent Citizen Republic, groupe de communication "d'engagement" dédié aux avis consommateurs et à la smart data ». (capture d’écran ci-après)

L’ex Orange n’est visiblement pas curieuse !

Ces quelques précisions faites – chacun comprendre dès lors la nécessité d’une plainte avec constitution de partie civile et instruction judiciaire en cours de rédaction – voici le droit de réponse du blog de l’Express au droit de réponse de celui qui tente aujourd’hui sur sa page Facebook une sorte de victimisation face à un complot qu’il entend combattre "Ni illusion Ni renoncement : le combat pour l'égalité entre les sexes compte encore beaucoup d'ennemis. Mais au final, ça bougera. Vous verrez."

Clips pour les droits des Femmes: France Télés droit dans ses escarpins

« Deux syndicats de France Télévisions ont demandé des comptes à leur direction, au sujet d’une aide de 7.000 euros accordée à la Fondation des Femmes, dont la dirigeante, militante féministe reconnue, est aussi la compagne d’un proche collaborateur de Delphine Ernotte, indique l’AFP, suite à un article du Canard Enchainé d’hier.


Autre grief, ils s’interrogent sur l’attribution de la réalisation de trois clips contre les clichés sexistes au producteur Maxime Ruszniewski, administrateur de cette fondation, comme l’a révélé Le Canard, hier mercredi. La Fondation des femmes, que vient de créer Anne-Cécile Mailfert, ex-porte-parole d’Osez le féminisme! »


Dans un courrier qui m’ait adressé, le même Maxime Ruszniewski tient à indiquer : "La production des clips évoqués – pour lesquels ma Société va toucher très exactement 5.500 euros après tournage – n’a strictement rien à voir avec la Fondation des femmes.
Les statuts de cette dernière ont été déposés bien après la commande des clips, nous y sommes toutes et tous bénévoles et engagés contre les violences et les discriminations.
La médiatisation concomitante des 2 est évidemment liée au 8 mars, journée internationale des Droits des femmes.

Les clips, vus + de 800.000 fois sur le web et salués par toute la critique – dont L’Express- sont à ce jour le + gros succès digital pour une campagne France TV. Je précise que je n’ai toujours pas touché 1 euro et avancé tous les fonds pour qu’ils soient produits »


 Deux remarques:


Il faudrait que France Télévisions et Maxime Ruszniewski accordent leurs violons. 

Interrogé par l’AFP, la direction de la Communication de France Télés indique que ce dernier a touché "7.000 euros pour fournir des recommandations contre les stéréotypes (…) ajoutant : "Puis il a été choisi pour réaliser trois clips pour environ 40.000 euros, avec des animateurs de France Télévisions, sans appel d’offres, car c’est la règle pour réaliser les clips".
7.000 et 40.000 euros n’étant pas 5.000, on est un peu perdu.
 
Voilà pour les chiffres. Quant au fond, et c’est le cœur du sujet, il y a naturellement matière à s’interroger: le statut d’administrateur de la dite Fondation de Maxime Ruszniewski jette bien évidemment un voile d’incrédulité sur cette opération où le mélange des genres ne semble choquer personne.  
De même pour la présidente de cette même Fondation, dont on ne conteste pas au demeurant ni l’honnêteté ni la qualité de la démarche : sa relation à la ville avec Stéphane Sitbon-Gomez, directeur de cabinet de Delphine Ernotte, aurait dû l’inciter à un peu plus de prudence.  

Éthique oblige…."