samedi 14 juillet 2018

TF1 et sa chaîne d'info LCI couvrent le 14 juillet 2018 avec une émission spéciale en direct de 7 à13h.

TF1 et sa chaîne d'info LCI couvrent le 14 juillet 2018 avec une émission spéciale en direct de 7 à13h.

TF1 et sa chaîne d'info LCI ont donc proposé aux téléspectateurs, ce 14 juillet 2018, une édition spéciale co-animée par les présentateurs de ses JT Anne-Claire Coudray, Gilles Bouleau et Jean-Pierre Pernaut pour un direct de 7H00 jusqu'à 13H00.

Le spationaute français Thomas Pesquet "fil rouge" qui aura le privilège de voler au-dessus du public à bord d'un Rafale, fera découvrir les coulisses de cet événement aux téléspectateurs de « La Une » et de « LCI ».

Après le défilé, dès 16H, c’est encore et toujours la première chaîne qui retransmettra la petite finale du Mondial Belgique-Angleterre avant de prolonger les festivités par une soirée ambiance "bal du 14 juillet" présentée par Nikos Aliagas.

vendredi 13 juillet 2018

Après l’homme blanc de plus 50 ans, France Télévisions se paie les sénateurs « Au Sénat. Que des vieux ou presque ! C'est pas gagné ! »

Après l’homme blanc de plus 50 ans, France Télévisions se paie les sénateurs « Au Sénat. Que des vieux ou presque ! C'est pas gagné ! » 

L’attaque vient d’Éric Scherer directeur de la Prospective à France Télévisions qui a tweeté, ce 12 juillet, non pas sur l’âge du capitaine mais sur celui des sénateurs.

Dans le cadre d’un colloque : "Comment réenchanter l'audiovisuel public à l'heure du numérique ?" le bras armé d’Ernotte pour le numérique, "Spying on the future (comme c'est écrit sur son site) « évangéliste de l’Internet, entrepreneur web, blogueur et professeur en nouveaux médias » (sic) n’hésite pas à tourner en ridicule, sur la toile, le Sénat et les sénateurs  « Au Sénat. Que des vieux ou presque ! C'est pas gagné ! » 


Il reprend également sur son compte tweeter, la formule lapidaire du patron de la @RTBF où la moyenne d'âge est de 46 ans (contre 30 ans dans les firmes de médias de la côte ouest US) "Faites jouer une équipe de vétérans contre une équipe première, et regardez ce qu'il se passe!". 

Il est fort peu probable que « ces vieux sénateurs » apprécient les propos discriminatoires et illégaux tenus à leur encontre par ce lieutenant numérique de l’ex Orange payé faut-il le rappeler avec l’argent des contribuables (dont de nombreux vieux largués pour Scherer) !

La barque était déjà bien chargée pour Ernotte, elle pourrait bien à l’évidence chavirer cet été.



mardi 10 juillet 2018

« France 3 n'a pas vocation à avoir de l'information nationale…mais à être la chaîne des territoires y compris des outre-mer» juge la sénatrice UDI-UC Catherine Morin-Desailly.

« France 3 n'a pas vocation à avoir de l'information nationale…mais à être la chaîne des territoires y compris des outre-mer» juge la sénatrice UDI-UC Catherine Morin-Desailly. 

« France 3 n'a pas vocation à avoir de l'information nationale », c’est entre autres, ce qu’est allée dire CatherineMorin-Desailly à Marina Alcaraz qui l’interrogeait pour « Les Échos ».


Voilà donc les éditions nationales de France 3 que l’ex Orange imagine basculer sur « franceinfo : » définitivement enterrées par la sénatrice UDI-UC de la Seine-Maritime.  

« Elle appelle à plus de coopérations entre public et privé » indique également le titre de Presse, tout en la citant paradoxalement « La plateforme de SVOD annoncée par TF1/M6 et FTV a peu de chance que de trouver sa masse critique pour arriver à l'équilibre face à des acteurs mondiaux comme Netflix » ajoutant qu’«une question de fond se pose : Est-ce légitime pour les Français s'acquittent déjà de la redevance, de les faire payer de nouveau pour accéder à des programmes de France Télévisions ? »

Catherine Morin-Desailly, si elle déclare vouloir « être très attentive aux territoires d'outre-mer » propose cependant de « mener une réflexion sur un rapprochement des programmes de France Ô et de France 3 qui doit  être  la chaîne des territoires y compris des outre-mer », enchérissant qu’« il est plus logique de faire passer France Ô en numérique plutôt que de supprimer le service public sur la jeunesse [France 4, ndlr] ». Concernant cette dernière, elle « demande donc un moratoire sur sa suppression ».

Elle fait de facto, un distinguo entre  le basculement de France Ô et de France 4 sur le numérique « on ne peut pas supprimer une offre, a fortiori une offre jeunesse, surtout quand 15 % des foyers n'ont pas Internet. En outre, j'ai des doutes sur le fait que le service jeunesse de France Télévisions en numérique puisse faire le poids face aux offres des Gafan, comme YouTube ». 

Et les jeunes ultramarins pour peu qu'ils fassent partie des ces 15% de foyers qui n'ont pas internet, elle en fait quoi ??  

Son interview à vous décrocher la mâchoire pire que Wolfy le loup de Tex Avery, laisse pantois à plus d’un titre.

"La question n’est pas le montant des économies que France Télés doit réaliser"[300 à 400 millions d'euros d'économies pour tout l'audiovisuel public à horizon 2022, écrit le titre de Presse] -  dit-elle encore.  

« Le plus important c’est le sens qu’on leur donne ». Tout ça, le « redit», la sénatrice pour faire face à « l’urgence de dégager des marges de manœuvre financières pour développer les services numériques ».


Autrement dit, supprimer la télé au profit du numérique donc transformer à terme les téléspectateurs en internautes.   

Même si elle plaide à mot couvert pour la suppression implicite du CSA ou encore de l’Arcep  (le régulateur des télécoms) – tout du moins de « profiter sans tabou de la réforme de l'audiovisuel pour les faire collaborer voire fusionner, y compris par des dispositions législatives si elles sont nécessaires »pas sûr que cela suffise à lire le reste de ce qu’elle préconise au sein qu’Emmanuel Macron lui confie  comme à Jean-Louis Borloo l'ex-président de l'UDI, un rapport sur le sujet !   

lundi 9 juillet 2018

Le directeur des achats de France Télés Olivier Débargue rejoint l’équipe dirigeante des JO de Paris 2024…

Le directeur des achats de France Télés Olivier Débargue rejoint l’équipe dirigeante des JO de Paris 2024… 

La nouvelle vient de tomber, celui qui lors du procès Bygmalion/Carolis/Millot avait soutenu le trio (*) devant le TGI de Paris qui avait pourtant condamné  l’intégralité des protagonistes à de la prison, des amendes et des dommages et intérêts, rejoint l’équipe dirigeante des JO de Paris 2024.
(*) Olivier Debargue déclarait alors qu'"il ne voyait là aucune infraction…que tout avait été fait conformément  aux manuels de procédures s’agissant de la commande publiques qu’il avait  établis dès 2006… ". 
Il rejoint ainsi Georgina Grenon (ex Engie) qu’il connait bien pour avoir  participé à de nombreux colloques années qui devient, elle, Directrice de l’Excellence Environnementale.   
Voici le communiqué quasi officiel de Paris 2024.

« Communication, Marque, Marketing… Le point sur l’équipe dirigeante de Paris 2024


La semaine dernière, Paris 2024 a présenté son comité d’audit et d’éthique lors de son second Conseil d’Administration. L’occasion de découvrir également les différentes nominations aux postes de direction.

Pour préparer au mieux les Jeux Olympiques d’été de Paris 2024, les équipes dirigées par Tony Estanguet se sont élargies ces dernières semaines. Découvrez ci-dessous les principaux postes occupés à date.

Direction de Paris 2024 (juillet 2018)
Président de Paris 2024 : Tony Estanguet
Directeur Général : Étienne Thobois
Directeur de cabinet du Président : Michaël Aloïsio
Président d’Honneur de Paris 2024 : Bernard Lapasset
Conseiller stratégique du Président de Paris 2024 : Guy Drut
Directeur exécutif de la Marque, de la Créativité et de l’Engagement : Thierry Reboul
Directrice de la Marque : Julie Matikhine
Directeur délégué à l’Engagement : Romain Lachens
Conseiller spécial Engagement : Thierry Rey
Directeur exécutif Administratif et Financier : Fabrice Lacroix
Directeur délégué aux Affaires Juridiques : Romain Voillemot
Directeur délégué aux Achats : Olivier Debargue
Directeur exécutif du Développement Commercial et Marketing : Frédéric Longuépée
Directrice déléguée aux Partenariats : Ludivine Roosebeke
Directeur exécutif des Sports : Jean-Philippe Gatien
Directrice associée aux Sports : Aurélie Merle
Directrice exécutive Impact et Héritage : Marie Barsacq
Directeur exécutif des Ressources Humaines : David Lamy
Directeur Sites et Infrastructures : Anthony Piqueras
Directrice de l’Excellence Environnementale : Georgina Grenon
Directeur Planification et Coordination, Relation CIO/IPC et IKM : Lambis Konstantinidis
Directrice des relations internationales : Sophie Lorant
Directrice des Affaires Publiques : Maïa Wirgin
Directrice de la Communication : Anne Descamps
Directrice de l’Intégration de la vision : Delphine Moulin
Directeur de la Technologie et des Systèmes d’Information : Bruno Marie-Rose


Le comité d’audit Paris 2024

  • Amélie Oudéa-Castéra, Présidente du comité d’audit – Issue de la Cour des comptes, directrice Marketing et Digital du Groupe AXA jusqu’à fin 2017 ;
  • Jacques Lambert – Issu du corps préfectoral, il a été notamment préfet de la Nièvre, puis préfet de la Savoie pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques d’Albertville 1992, avant de prendre successivement la direction générale du comité d’organisation de la Coupe du monde de football France 1998, des postes de dirigeant chez Suez-Lyonnaise des Eaux et iSe Hospitality (Coupe du monde de football 2006), la direction générale de la Fédération française de football (FFF) et enfin la présidence de l’Euro de football France 2016 ;
  • Patricia Langrand – Ingénieure des Mines, précédemment Vice-Présidente de Sopra Steria, ex-membre du COMEX d’Orange et du Conseil National du Numérique ;
  • François Morinière – Actuellement Président du directoire du Groupe Labruyère (holding familiale), et précédemment Directeur général de l’Equipe (groupe Amaury) ;
  • Jérémie Pellet – Actuel Directeur général adjoint de l’Agence française de développement (AFD)
  • Catherine Sueur – Inspectrice des finances, elle a occupé des postes de dirigeante à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), à Radio France, au Groupe Le Monde et au Musée du Louvre.

Trois autres représentants seront désignés respectivement par le CNOSF, la Ville de Paris et l’État.

Le comité d’éthique Paris 2024

Nicola Bonucci – Directeur juridique de l’OCDE (désigné par le secrétaire général de l’OCDE) ;
Jean-Marc Sauvé – Vice-Président honoraire du Conseil d’État (désigné par le vice-président du Conseil d’État) ;


Alain Lacabarats – Président de Chambre à la Cour de cassation (désigné par le Premier président de la Cour de cassation) ;


Jean-Philippe Vachia – Président honoraire de Chambre à la Cour des comptes (désigné par le Premier président de la Cour des comptes) ;


 collège chargée de la déontologie dans le domaine de la sécurité (désignée par le Défenseur des droits) ;


Gérald Begranger – Directeur adjoint de l’Agence Française Anticorruption (désigné par le directeur de l’Agence Française Anticorruption).

En outre, un député désigné par le président de l’Assemblée nationale et un sénateur désigné par le président du Sénat siègeront avec voix consultative.

Le Conseil d’administration de Paris 2024 a également validé l’intégration de deux nouveaux membres en son sein, en tant que personnalités qualifiées désignées par Tony Estanguet, Président de Paris 2024 avec Alexandre Mars, fondateur et président de la Fondation EPIC et Alain Rochon, président d’APF France Handicap.