Le minable numéro de claquettes du tandem Letranchant/Ernotte suite à l’article
de Libération "un «boys club» dans la rédaction du site de France Info :"
Depuis le
commencement de l’affaire de la «Ligue du LOL» –
un groupe de journalistes dont certains ont dénigré et harcelé des femmes sur
les réseaux sociaux dont l’existence a été révélée début février par Libé - chacun
peut aujourd’hui constater combien l’ex Orange et son monsieur Info sont
ridicules face à la tournure que prennent les évènements
Ils sont devenus, l’un et l’autre, la consternation du PAF…et c’est peu dire!
Ernotte d’abord qui se félicitait sur Linkedin, en mars dernier, de l’engagement de France Télévisions contre le harcèlement sexuel et sexiste dans les médias et de la signature au Ministère de la Culture ,
en présence de Franck Riester de la charte "Pour
les femmes dans les médias" mais
qui pendant des mois a laissé le sulfureux Emery Doligé (c’est lui qui le dit) justement
plusieurs fois cité dans les papiers qui ont traits à la «Ligue du LOL» être partout dans l’entreprise.
Emery Doligé dont
il fallait absolument que la Presse ne parlât pas et qui donnât comme un signal pour
ceux qui se sont crus tout permis prenant probablement ses
nombreuse publications sur la Toile (*) [qu’il a récemment tenté de supprimer] comme des permissions à agir !
(*) En voici encore une …tout dans la fraîcheur!
Également
Yannick Letranchant parachuté directeur exécutif de
l’Information après les deux motions de défiance contre Field qui ose écrire dans un communiqué « Le journal Libération apporte ce soir des éléments qui n’ont pas été portés à notre connaissance »…Ben voyons !
Ce serait un quotidien national qui lui aurait
appris ce qui se passait dans l’entreprise
dont tout le monde parlait ! Puis d’en rajouter « Le 12 février, la Direction de l’Information a été informée
de rumeurs concernant des comportements inappropriés au sein des équipes de la
rédaction numérique de Franceinfo à France Télévisions.
Immédiatement, nous
avons diligenté avec la DRH une enquête interne et déclenché une procédure
disciplinaire couverte par la confidentialité.
Après six semaines
d’enquête et de procédure, la Direction a décidé d’appliquer des sanctions
disciplinaires à l’égard de trois collaborateurs : une rupture de contrat de
travail et deux mises à pied.
Je suis conscient du
profond trouble que cette affaire provoque au sein de la rédaction… c’est
pourquoi j’ai demandé à ce que l’enquête soit reprise et poursuivie. »
Le ridicule ne tuant plus, il ose conclure
quasiment comme Ernotte rue de Valois « Je
rappelle que France Télévisions est engagée dans une politique d’exemplarité et
de zéro tolérance envers le harcèlement »
Cette affaire est loin bien loin d’être terminée et les postures de l’ex
Orange que beaucoup donnent sur le départ comme celles de son monsieur
info devraient à présent très très vite précipiter les choses pour tenter de
redonner une Image à la télé publique.