samedi 25 janvier 2020

Franck Riester le “Géo Trouvetout” du gouvernement et sa dernière trouvaille !

Franck Riester le “Géo Trouvetout” du gouvernement et sa dernière trouvaille !

Certes Franck Riester n’est pas le Jack Lang qu’Emmanuel Macron cherche toujours mais sa dernière trouvaille a de quoi laisser pantois.

Il est du reste copieusement fustigé depuis sur les reseaux sociaux comme dans la presse, se discréditant un peu plus si besoin était mais plus grave discréditant le Chef de l’Etat et son gouvernement.

Franck Riester le “Géo Trouvetout” du gouvernement a tout simplement proposé de créer une Maison du dessin de presse… qui existe déjà!


Chacun imagine aisément son projet de loi audiovisuel visant à créer une BBC à la française !! 
Sauf qu’elle a déjà existé jusqu’en 1974 et s'appelait l'ORTF.

Extrait parmi tant d’autres du Parisien

“Le ministre de la Culture a proposé à l’occasion du cinquième anniversaire des attentats de Charlie Hebdo, de créer une maison du dessin de presse et du dessin satirique. Sauf qu’elle existe déjà en Haute-Vienne.

Franck Riester, a été fustigé sur les réseaux sociaux après sa proposition de création d’une maison du dessin de presse et du dessin satirique.”



vendredi 24 janvier 2020

Le Conseil d'État estime ne pas avoir eu le temps de "garantir au mieux la sécurité juridique" de la réforme des retraites.


Le Conseil d'État estime ne pas avoir eu le temps de "garantir au mieux la sécurité juridique" de la réforme des retraites. 

Selon un avis publié ce vendredi, l'institution estime ne pas avoir eu le temps de "garantir au mieux la sécurité juridique" de la réforme des retraites,  déplorant aussi les "projections financières lacunaires" du gouvernement et un recours aux ordonnances qui "fait perdre la visibilité d'ensemble".


Saisi le 3 janvier, le Conseil d'État n'a disposé que de trois semaines pour rendre son avis sur les deux projets de loi (organique et ordinaire), que le gouvernement a en outre modifiés à six reprises durant cette période, ce qui "ne l'a pas mis à même de mener sa mission avec la sérénité et les délais de réflexion nécessaires pour garantir au mieux la sécurité juridique de l'examen auquel il a procédé", estime-t-il dans ce document publié sur le site Legifrance.

Édouard Philippe candidat aux Municipales pour le Havre !

Édouard Philippe candidat aux Municipales pour le Havre !

Jean-Jacques Bourdin recevait sur BFMTV/RMC, ce vendredi matin 24 janvier 2020, Sibeth Ndiaye porte-parole du gouvernement.

L’info est probablement passée inaperçue à l’intérieur de l’interview qui dure 20’17’’ mais elle vaut de s'y arrêter.

Cela n’étonnerait pas Sibeth Ndiaye porte-parole du gouvernement, que le premier ministre Édouard Philippe « soit candidat au Havre cette très belle ville pour laquelle il a un grand attachement. »

Verbatim (sur la vidéo à partir de 17’05’’ jusqu’à 18’25’’) de l’entretien matinal de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV/RMC.

Jean-Jacques Bourdin : « Dernière question sur les municipales. J'ai été étonné de lire Édouard Philippe répondre à la question posée par nos confrères de La Croix concernant les municipales au Havre. Il élude la question. Il ne dit pas non. Cela vous a surpris qu'il ne dise pas non? »  

Sibeth Ndiaye porte-parole du gouvernement: « Moi j'entends souvent le premier ministre quand parle du Havre. C’est quelqu'un qui est assez sérieux et qui n’est pas très émotif au quotidien mais on sent que lorsqu'il parle du Havre il y a une passion, il y a quelque chose de très particulier qui vibre. Il parle avec un amour immodéré de sa ville où il a ses racines et je ne serai pas très étonnée d'un choix éventuel qu'il pourrait faire d'attachement vis-à-vis de cette ville. Après, c'est une décision qui lui appartient évidemment et ce n'est pas la porte-parole du gouvernement qui va l’expliciter à sa place. Il a donné une règle à l’ensemble des ministres, lui inclus, pour dire qu’avant le 31 janvier 2020 nous devions donner notre position sur une éventuelle candidature – il nous reste 6 jours – mais cela ne m’étonnerait pas qu’il soit candidat au Havre cette très belle ville pour laquelle il a un grand attachement. »





« Triste réalité d’un service public (de l’audiovisuel) en trompe l’œil »

« Triste réalité d’un service public (de l’audiovisuel) en trompe l’œil »

« Symbole de la destruction, petit à petit de @Francetele, la péniche Thalassa » relaient sur les réseaux sociaux ce 24 janvier, les internautes qui loin de gober le baratin du tandem candilo-erneottien (*) jamais avare de propagande pour masquer la chienlit qui règne à France Télés. 

« Elle a quitté son quai pour devenir un restaurant au profit du privé » ajoute le texte.


(*) Ce sabordage en règle, c’est peut-être encore un coup de La macronie pour ceux qui tentent de tout lui mettre sur le dos comme:

- la suppression de France 4 et France Ô…
- le parachutage de numérobis le 3ème
- 2.000 licenciements sur fond de pseudo RCC qui ne sont en réalité pour l’heure que 311… 
- ou encore l’impossible et illégale prorogation jusqu’à fin 2022 d’une poignée d’irresponsables prêts à finir l’entreprise de destruction amplifiée dès l’été 2015…


Quand Emmanuel Macron va-t-il siffler la fin de partie avant qu’il ne soit trop tard ?

Le tandem Candilis/Ernotte « continue son entreprise d’abêtissement des masses avec acharnement » et l’aval soi-disant du Chef de l’État !!

Le tandem Candilis/Ernotte « continue son entreprise d’abêtissement des masses avec acharnement » et l’aval soi-disant du Chef de l’État !!



La formule tellement vraie a le mérite d’être claire et directe le tandem candilo-ernottien qui n’a eu de cesse que de tirer la télé publique vers le fond « continue son entreprise d’abêtissement des masses avec acharnement » relaie le titre de presse.

« Pas de quoi se réjouir » titre l’article. 

« Le nouveau programme ne fait pas, loin de là, l’unanimité…Pour l’instant, l’audience de la nouvelle émission Samedi d’en rire n’est pas à la hauteur de l’ancienne [« Les grands du rire » dont le blog CGC Média a déjà parlé (*), ndlr] mais elle est en progression atteignant 843.000 téléspectateurs » précise-t-il encore.


(*) « Samedi d’en rire » l’émission de Jérôme Revon sans clause d’audience, ne convainc donc pas les téléspectateurs. Rappelons que Les grands du rire, l’émission d’Yves Lecoq et Même Ibach qui flirtait avec le million de téléspectateurs  (autour de 9% d’audience) dans cette même case horaire du samedi  qui elle avait une clause d’audience s’est faite débarquer manu militari par Candilis sans réelle raison.

Certains murmurent que le numérobis ernottien – vous savez le mari d’Hilguegue des Musclés alias Babsie Steger qui utilise l’antenne et les moyens de la télé publique pour faire la pub de son site commercial – a imposé Jérôme Revon qui réalise comme il l’avait fait pour Nicolas Sarkozy bon nombre des émissions d'Emmanuel Macron, pour que ce dernier amadoue son sentiment de honte pour la télé publique.





D’autres affirment que ce 3ème directeur des programmes en quatre ans et quelques après Caroline Got puis Xavier Couture resté un an tout juste, aurait « été imposé par la macronie à l’ex-Orange »et que par conséquent en plus d’être protégé et couvert à haut niveau, il serait indéboulonnable du fait de ses relations !  

Ben voyons ! 

Y en a marre de ces « sachants » qui vous expliquent sans sourciller c’est la « La macronie » qui veut ceci, décide de cela ou choisit tel ou telle…pour que ça lui retombe dessus après, du reste !

C’est quoi, c’est qui « La macronie » ?

Serait-ce un petit clan qui se sert du nom du Président de la République pour faire croire que telle décision, tel choix, tel(le) parachuté(e) vient de lui et se ferait avec son assentiment voire à sa demande ?

Les bides d’audience se multiplient et s’enchaînent mais La macronie s’en a accommoderait… Alexandra Redde intronisée « reine des divertissements » par Candilis son ex-patron chez Lagardère accumule flop sur flop, dernier en date le deuxième numéro de son divertissement "Deux heures de rires et de directs", animé par Stéphane Bern et Bruno Guillon . qui n’est parvenu qu’ à réunir 9,6% du public soit 1,77 millions de téléspectateurs pour un prime time !  


Les chroniqueurs de Touche pas à mon poste (C8) s’en sont d’ailleurs donné à cœur joie en taclant l'émission "2h de rires et de direct" diffusée sur France 2


Mais, on est où ?

jeudi 23 janvier 2020

Il s’inquiète Jonathan Rosenblum le Chef d’entreprise accessoirement responsable des relations sociales à France Télés du financement de sa campagne !


Il s’inquiète Jonathan Rosenblum le Chef d’entreprise accessoirement responsable des relations sociales à France Télés  du financement de sa campagne ! 

Suite à un article du Parisien du 22 janvier signé Agnès Vives « Municipales dans le Val-de-Marne : les candidats peinent à séduire les banques pour ouvrir leurs comptes de campagne » Jonathan Rosenblum le candidat LaRem à la mairie d’Alfortville s’inquiète. 

Ce chef d’entreprise salarié de France Télévisions donc payé par les contribuables - statut au demeurante totalement illégal au regard de sa clause contractuelle d’exclusivité de collaboration - se demande s’il va pouvoir financer sa campagne et être remboursé de ses éventuelles dépenses.

 

 

Explication 

« Obligatoire pour pouvoir être remboursé si les 5% sont atteints, les prétendants doivent ouvrir un compte de campagne, et le cas échéant, ils font un prêt. Pas si simple. 

Se déclarer candidat aux municipales, rien de plus simple. Mais quand il s'agit d'ouvrir un compte de campagne, l'affaire se complique. Et pourtant, c'est un impératif pour être remboursé de ses frais par l'Etat, du moment où 5% des suffrages ont été atteints.  

Dans le Val-de-Marne, les exemples ne manquent pas. A Bonneuil-sur-Marne, le maire (PCF) sortant, Patrick Douet, élu en 2014 dès le premier tour, avec une seule liste face à lui en mars prochain, fait partie des candidats mal aimés des banques. 

Les démarches entamées en septembre n'ont abouti que… début janvier. « C'est la première fois que c'est aussi compliqué, atteste son mandataire financier, Antonin Picquart. J'ai dû faire le tour des agences à Bonneuil, mais aussi à Créteil, avant d'atterrir à la Banque de France. Ce sont les sièges des banques qui bloquent. » 

Des difficultés dans tous les camps. 

Même le député (PS) Luc Carvounas n'échappe pas à ce parcours du combattant. En toute logique, le candidat à la mairie d'Alfortville s'est rendu à sa banque personnelle. Mais il a fallu attendre la validation du siège et fournir quantité de données personnelles et politiques, comme la lettre d'investiture, un budget prévisionnel, une liste des candidats déclarés, les résultats aux dernières municipales et aux trois dernières échéances… « C'est la croix et la bannière, juge Luc Carvounas. Depuis janvier, pour un prêt de 27 000 euros, je suis prélevé sur mon compte personnel de 540 euros par mois. Qui peut absorber une telle somme au regard des salaires moyens ? » 

Et que dire de « petits » candidats, non encartés, confrontés à cette « injustice », selon le conseiller municipal Karim Baouz (SE), en lice à Arcueil. « On a fait trois banques qui refusent car on n'est pas client chez eux. Le système est fait pour les professionnels ! » 

Appel à la Banque de France 

Certes des accords nationaux entre partis et établissements bancaires facilitent le travail. « Il n'y a pas eu de souci globalement, c'est l'avantage d'être avec le parti majoritaire, glisse Nabil Benbouha, référent LREM94. Nous travaillons avec le Crédit coopératif. » Mais pour l'ouverture de prêt, même les marcheurs galèrent. 

Thomas Maubert, délégué départemental du MoDem, et soutenu par LREM à Maisons-Alfort, en a fait les frais. « L'ouverture du compte a pris 15 jours mais le prêt deux mois et demi. Heureusement que j'avais des fonds versés par les colistiers pour démarrer. C'est pire que pour acheter un appartement, alors que les montants sont faibles. » 

Des candidats Insoumis aussi ont eu du mal, malgré les accords noués avec des banques mutualistes. Lara Bakech à Alfortville a ainsi dû faire appel à une injonction de la Banque de France, pour faire jouer son droit au compte. 

L'inspecteur du travail Thomas Dessalles (LFI) à Créteil a subi lui aussi « tout un tas de prétextes. Une banque demandait pour le prêt, une caution du même montant, raconte-t-il. C'est long et très compliqué. Un candidat qui se lance au dernier moment n'a aucune chance. » 

«Un problème de démocratie» 

Alors les banques sont-elles de plus en plus frileuses? Cette problématique était apparue au grand jour aux législatives de 2017, puis aux européennes. « Les banques ne veulent plus prêter aux partis, mais sans les appareils, des candidats challengers ne pourraient pas faire campagne. Il y a un vrai problème de démocratie », confirme le premier fédéral PS, Jonathan Kienzlen. 

La Société Générale confirme ne plus financer les partis politiques « depuis longtemps » mais continue d'ouvrir des comptes et n'a pas eu connaissance de difficultés dans le Val-de-Marne. De même, la BNP assure analyser « scrupuleusement tout dossier de financement sur des critères objectifs ». Les clients pouvant toujours saisir le médiateur, en cas de conflit. 

La proposition de François Bayrou 

« Il n'y a pas de message disant n'ouvrez pas de compte, ajoute-t-on au Crédit Mutuel. Du moment que les dossiers sont complets, on ouvre les comptes. » Plus complexe, selon cette directrice d'agence, qui décrypte : « Bien sûr, localement, on rend service. Mais dans l'ensemble, on ne veut pas être associé à une couleur politique. L'affaire Bygmalion a laissé des traces et de plus en plus de candidats n'ont pas leurs comptes remboursés. » 

Face à ces difficultés dignes d'un parcours de sauts d'obstacles, des candidats ravivent l'idée de François Bayrou, ministre de la Justice en 2018, de créer une banque de la démocratie, pierre angulaire du projet de modernisation de la vie politique. Enterré peu après par le gouvernement. « Ce serait utile si l'on veut continuer à faire vivre la démocratie locale », conclut Luc Carvounas.

Le CSE Siège de France Télés dorénavant présidé par son négociateur au projet d’accord de branche audiovisuelle après les précédents préposés au poste !

Le CSE Siège de France Télés dorénavant présidé par son négociateur au projet d’accord de branche audiovisuelle après les précédents préposés au poste !

C’est le directeur du dialogue social et de la politique salariale à France Télévisions Stéphane Chevallier qui présidera normalement le prochain CSE Siège de l’entreprise.

Il succédera donc à Cécile Lefèvre en partance qui participait à son dernier CSE qui comme l’a écrit le blog CGC Média reprenant l'info du site ADAP/ « prend ses cliques et ses claques fin janvier…à la différence près, cette fois-ci, qu’elle s’en va dans les conditions financières de cette soi-disant RCC (plan de licenciements bidon) dont elle était pourtant porteuse mais grâce auquel elle part ! (*) »

(*) Les conditions de ce départ ne sont d’ailleurs pas sans poser de questions car pour partir avec les indemnités de la RCC, il fallait avoir un projet personnel or selon nos informations, la porteuse et bénéficiaire dudit plan rejoindrait « La Villa M » et deviendrait DRH d’un groupe mutualiste d’assurances privés.
Ce scénario s’il devait se confirmer devrait faire un beau cas d’école pour les cabinets d’avocats syndicaux qui sont dans les starting-blocks après avoir tous lus dans Le Canard enchainé de ce mercredi (*), les confidence d’Ernotte à Riester qui parle elle de Plan de Départs Volontaires et non de RCC.

(*)
Stéphane Chevallier succédera aussi à Jonathan Rosenblum « Responsable des relations sociales dans l’audiovisuel public et Chef d’entreprise » (c’est ce qui est écrit sur son affiche de campagne (¤) car il se présente, lui-aussi, aux Municipales 2020 ) qui remplaçait lui-même Cécile Lefevre lorsqu’elle était absente mais qui était ce matin en CSE également (en tant que quoi ?Là aussi on se le demande ?)

Espérons que les Alfortvillais apprécieront la double casquette de ce Chef d’entreprise qui travaille aussi à France Télés et qui doit en plus avoir un don d’ubiquité certains car il tweetait donc ce mercredi matin sur son compte à 10h30 en pleine séance de l’instance (ci-après) 

Dire qu'Ernotte exige de l'ensembles des salariés de France Télés qu'il signent chacun un document sur d'éventuels conflits d'intérêts, en leur racontant que ce serait une obligation  légale - tu parles Charles  - et en les menaçant de sanctions, s'ils ne le font pas. L'hôpital qui se fout de la charité !!! Le CSE Siège de France Télés dorénavant présidé par son négociateur au projet d’accord de branche audiovisuelle après les précédents préposés au poste !

C’est le directeur du dialogue social et de la politique salariale à France Télévisions Stéphane Chevallier qui présidera normalement le prochain CSE Siège de l’entreprise.

Il succédera donc à Cécile Lefèvre en partance qui participait à son dernier CSE qui comme l’a écrit le blog CGC Média reprenant l'info du site ADAP/ « prend ses cliques et ses claques fin janvier…à la différence près, cette fois-ci, qu’elle s’en va dans les conditions financières de cette soi-disant RCC (plan de licenciements bidon) dont elle était pourtant porteuse mais grâce auquel elle part ! (*) »

(*) Les conditions de ce départ ne sont d’ailleurs pas sans poser de questions car pour partir avec les indemnités de la RCC, il fallait avoir un projet personnel or selon nos informations, la porteuse et bénéficiaire dudit plan rejoindrait « La Villa M » et deviendrait DRH d’un groupe mutualiste d’assurances privés.
Ce scénario s’il devait se confirmer devrait faire un beau cas d’école pour les cabinets d’avocats syndicaux qui sont dans les starting-blocks après avoir tous lus dans Le Canard enchainé de ce mercredi (*), les confidence d’Ernotte à Riester qui parle elle de Plan de Départs Volontaires et non de RCC.

(*)

(¤)