samedi 29 octobre 2022

Les lamentations de l'ex-Orange qui prétend manquer de 45M€ pour France Télés, sont pathétiques.

Les lamentations de l'ex-Orange qui prétend manquer de 45M€ pour  France Télés, sont pathétiques.

Hier dernier vendredi d'octobre, la blog CGC Média revenait sur l'audition par la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale, ce mercredi 26 octobre, de l'infirmière TV  qui est venu se lamenter prétendant qu'elle allait devoir trouver 45M€ pour soi-disant « boucler  son budget », les alertant sur la situation « extrêmement difficile » que devrait traverser France Télévisions en 2023 (*) à cause notamment des économies demandées par le gouvernement mais aussi dénonçant, en conséquence, le fait qu’elle devrait « pallier l’insuffisance de la dotation à l’audiovisuel public pour 2023 » !

Dire qu'il y a peu, face aux 160 millions d'économies (hors investissements) annoncés alors par son soutien et maire du Havre, l’intéressée qualifiait ses demandes de  « chiffres exigeants mais faisables » histoire de caresser l'ex-Premier ministre un peu plus dans les sens du poil.

Bim, prenez ça dans les dents Elisabeth, Rima, Bruno, Sylvain et Emmanuel !  

"Ce nouvel exercice d’enfumage, servi aux parlementaires à la moindre occasion", le blog CGC Média qualifiant d'"HALLUCINANTE " dénonçait dans un encart assez édifiant (¤),la gestion abracadabrante qui depuis presque ans a précipité France Télévisons dans le mur.

(¤) Elle n’a pas évidemment pas parlé des promotions de directeurs qui pour beaucoup composent aujourd’hui l’armée mexicaine de France Télés, de tous ces lieutenants qui ont été remerciés comme les directeurs de l’Info et ceux des programmes (quasiment une dizaine au global) qui pour la plupart sont toujours là avec des salaires de « dingue » et souvent des promo style placards dorés…

Pas non plus parlé de tous ces ratages, à commencer par l’un des plus marquants, Salto la plateforme payante de replay qui a déjà couté des millions d’euros…de la douzaine de « Grands échiquiers » donné au privé pour un coût d’environ 1,5M€ et des audiences entre 5 et 9%...des 2 contrats pluriannuels de signés avec Nagui donc Banijay - le premier d’entre eux de 100 millions d’euros faisant l’objet d’une plainte au pénal – avec le fiasco annoncé de « The Artist » et la longue litanie de toutes ces échecs avec ces émissions refilés  à 2 ou 3 grosses boites de prod sur la place, qui accumulent les bides….

Pour en trouver encore plus, il suffit de relire les quelques articles édifiants publiés par l'ADAP (Association de Défense de l'Audiovisuel Public) qui balance pèle mêle de son côté les errement du « bras armé d’Alexis Kohler »...c’est l’un des petits noms qu’Ernotte trimbale dans les médias et chez les politiques:  

- l'échec de SALTO véritable gouffre financier (Des dizaines de millions) qu'Ernotte a fait passer comme un soi-disant bouclier aux  NETFLIX et autres géants américains que Le Figaro  démonte sur une demi-page. 



- la folie immobilière niçoise que l'ex-Orange a engagée à Nice (là encore quelques millions à la clé) que Le Canard enchaîné  chiffre au  bas mot 20M€, histoire de se faire bien voir du très macroniste maire de Nice Christian Estrosi.

- Et bien sûr, l'incroyable et couteuse aventure occitane payée par les contribuables mais aussi la Région, de la chaîne de télé publique régionale de France 3 NoA, à destination de la Nouvelle Aquitaine  dont le siège est à  Bordeaux mais qui dispose d'unités de production à Poitiers et à Limoges et dont le bruit court ces derniers jours concernant 

La Fabrique sur place que l'infirmière TV aurait décidé de fermer: 170 personnes environ sur le carreau !


Extrait de l'excellent papier de l'ADAP intitulé "Dans quelques mois, il faudra passer à la caisse " 

"NOA avait déjà été baptisé avec de l’or sur la tête : 56.000 euros d’argent public à un champion de tennis, un dieu du stade pour emprunter la phonétique de son nom… 

Il faut dire que la directrice qui a inventé cette pseudo chaîne bordelaise n’est pas vraiment pétrie de talents ou plutôt d’un seul : l’opportunisme à tout crin…

NOA devait être un champ d’expérimentations…C’est une nullité, un ramassis de tout ce que la télévision régionale a pu inventer et rater pendant les trente dernières années, filmé avec des drones. 

Même France 3 Nouvelle-Aquitaine a des moments de génie par rapport à Noa mais l’invention désastreuse doit bien rapporter à quelqu’un : la Région a décidé de tondre un peu plus les contribuables néo-aquitains qui paient déjà leur redevance en versant 1. 200 000 euros à France 3 pour fabriquer NOACela doit faire surtout plaisir à quelques sociétés de productions amies de la place de

En plus, tenez-vous bien, Noa n’est pas regardé ! Zéro ! La chaîne est diffusée sur les boxes dont il est impossible de calculer l’audience cumulée et par internet ou un clic est un clic …et pour Noa, il n’y en a pas beaucoup ! NOA dont la directrice [A l’origine, ndlr], devenue DRH de France Télévisions - cela fait rire quelques énarques avertis de voir jusqu’à quel point France Télévisions s’enfonce et s’effondre – annonçait qu’elle devait être la matrice de la Nouvelle France Télévisions…Quelle pantalonnade !…"

En voilà encore des dizaines de millions d'euros sur lesquels l'ex-Orange ne s'épanche pas !





vendredi 28 octobre 2022

Lorsque la représentation nationale arrêtera de croire les salades de l’ex-Orange, le groupe France Télés aura explosé !

Lorsque la représentation nationale arrêtera de croire les salades de l’ex-Orange, le groupe France Télés aura explosé !

Dans un nouvel exercice d’enfumage servi aux parlementaires à la moindre occasion, l’infirmière TV qui était auditionnée ce mercredi par la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale, a cette fois-ci raconté qu’elle devait trouver 45M€ pour soi-disant « boucler  son budget », alertant sur la situation « extrêmement difficile » que devrait traverser France Télévisions en 2023 et dénonçant le fait qu’elle devrait « pallier l’insuffisance de la dotation à l’audiovisuel public pour 2023 » !

« Le bras armé d’Alexis Kohler » - c’est l’un des petits noms qu’elle trimbale dans les médias et chez les politiques - en est ressortie presque contente…Probablement d’avoir, une fois encore, réussi à embobiner les parlementaires sur les soi-disant efforts qu’elle mènerait depuis toutes ces années pour porter haut la télé publique. Tu parles Charles !  

Vaste et éternelle fumisterie qui a pour effet, depuis presque 7 ans maintenant, d’endormir le plus grand nombre de députés (et quelques sénateurs récemment à qui elle est allé dire qu’elle voyait d’un très bon œil le projet de fusion des 4 sociétés de l’Audiovisuel Public dont elle envisageait, évidemment, de prendre la tête) mais aussi de retarder leur réveil qui lorsqu’il surviendra ne servira plus à rien, laissant le groupe de télés publics finir sa longue agonie.

Bien évidemment, elle a chanté ses refrains habituels avec le boom des plateformes américaines, celle sui sont déjà là et celles qui arrivent, racontant au passage "être le premier média en France avec des audiences à plus de 30% mais aussi la 1ère plateforme de streaming en France avec des progressions à 2 chiffres année après année sur le Numérique et sur France.tv..."

Que de bobards accumulés sur ses feuillets qu'elle va lire durant en un quart d'heure, déclarant ainsi "France Télés est une balise de confiance " pour les citoyens qui nous plébiscitent  !

NON MAIS AU SECOURS....

Elle en a même profité pour donner indirectement des leçons à l’Exécutif plus particulièrement Bruno Lemaire et Gabriel Attal qu’elle a accusé, à mot couvert, de la pousser à la privatisation, déclarant : "La budgétisation pure et simple, c'est ce qu'ont voulu les pays qui ont voulu privatiser".

Interrogée sur le mode de financement de l'audiovisuel public, après la suppression de la CAP (contribution audiovisuelle, ex-redevance), l’ex-Orange a expliqué qu’il fallait un dispositif qui "ne soit pas aléatoire, n'ait pas de régulation infra-annuelle" et donne "une assurance suffisante sur les années qui viennent".

L’intéressée d’égratigner également « l'option de la budgétisation, qui semblerait tenir la corde pour remplacer à l'horizon 2025 le financement via une part de la TVA : "La part de TVA versus la budgétisation, c'est beaucoup mieux, déjà. » tentant de se démarquer de l’État qu’elle accuse vainement de vouloir mettre en œuvre ce pour quoi elle a été conservée : « La budgétisation pure et simple, c'est ce qu'ont voulu les pays qui ont voulu privatiser, comme une partie de cette assemblée le souhaite, l'audiovisuel public. Ça a très bien fonctionné. Ils ont budgétisé, ils ont coupé par deux les budgets, [conduisant à des] services publics exsangues".

Les députés ont aussi presque eu droit à un remake de Misérables avec une Cosette éplorée expliquant « s’être comportée en bonne élève, assumant les baisses successives de dotation, avoir  tout fait pour assainir les comptes et enfin avoir obtenu un gain de productivité ’’ grâce, notamment, à la suppression de 1 500 emplois et à la fusion des chaînes et de leurs rédactions’’ »Il n’y a probablement pas eu assez de mouchoirs à La Chambre.

Alexis Kohler et son entourage, n’en demandaient probablement pas tant !

Comme si cela ne suffisait pas, des sanglots dans la voix, elle a qualifié de "véritable crève-cœur" les économies sur les programmes" de France Télévisions, sans préciser lesquels, rappelant « le contexte budgétaire extrêmement contraint" avec une diminution de " crédits de 190 millions d'euros, en prenant en compte l'inflation, qui n'est pas neutre, et le déploiement sur le numérique, représentant un effort total de 400 millions d'euros" » ajoutant « Pour compenser, des "projets structurants", tels que la fusion des rédactions, la fusion des chaînes avec désormais une direction des antennes et des programmes unique, ont été menés, permettant "des gains de productivité" » !

L’infirmière TV qui a certainement dû finir en eau, a conclu son propos aux députés avec une adresse en filigrane aux personnels de France Télés – il faut bien donner le change, parfois – en déclarant sur l’air de trop c’est trop, que « "Les - 1.500 équivalent temps plein (ETP) sur une base de départ de 10.000 ETP" qu’elle a dégagé et qui ont permis de faire des économies, pour que "France Télévisions coûte aujourd'hui pour la collectivité 560 millions d'euros de moins qu'il y a dix ans" » ça suffisait !

Hallucinant…

Elle n’a pas évidemment pas parlé des promotions de directeurs qui pour beaucoup composent aujourd’hui l’armée mexicaine de France Télés, de tous ces lieutenants qui ont été remerciés comme les directeurs de l’Info et ceux des programmes (quasiment une dizaine au global) qui pour la plupart sont toujours là avec des salaires de « dingue » et souvent des promo style placards dorés…

Pas non plus parlé de tous ces ratages, à commencer par l’un des plus marquants, Salto la plateforme payante de replay qui a déjà couté des millions d’euros…de la douzaine de « Grands échiquiers » donné au privé pour un coût d’environ 1,5M€ et des audiences entre 5 et 9%...des 2 contrats pluriannuels de signés avec Nagui donc Banijay - le premier d’entre eux de 100 millions d’euros faisant l’objet d’une plainte au pénal – avec le fiasco annoncé de « The Artist » et la longue litanie de toutes ces échecs avec ces émissions refilés  à 2 ou 3 grosses boites de prod sur la place, qui accumulent les bides….

Rien qu’avec ça, les 45M€ d’économies à faire sur l’air de « Ça va être dur », elle les tiens notre très Philippienne Ernotte…Mais ça, elle n’en est pas plainte à l’Assemblée !   

jeudi 27 octobre 2022

L’hallucinant communiqué de la CFDT aux salariés de FMM qui s’interroge « La CFDT est le syndicat des patrons » : VRAI ou FAUX ?!

L’hallucinant communiqué de la CFDT aux salariés de FMM qui s’interroge « La CFDT est le syndicat des patrons » : VRAI ou FAUX ?!

Le blog CGC Média vient d’avoir copie du mail qu’adresse aux salariés la CFDT de France Médias Monde dont Marc Thiébeault [ l’associé dans « My Saphir » de Frédéric Domont (Société  Médian« Avec qui il y a(aurait !) une exclusivité » selon un dirigeant de FMM pour des connections avec le Proche ou le Moyen Orient ]  (¤) est le représentant sur place.

« La CFDT est le syndicat des patrons », est-il indiqué sur le communiqué de la CFDT (*) qui dément « La CFDT est très attentive à toutes les questions d’injustice sociale et représente tous les corps de métiers des 3 médias de FMM, du collège ouvrier au collège journalistes en passant par les personnels techniques et administratifs. Ceci se reflète nettement dans la diversité de notre liste pour les élections professionnelles de novembre 2022. 

La CFDT a une approche pragmatique de dialogue constructif avec la Direction, mais ferme quand cela est nécessaire. Diplomatie ne veut pas dire connivence. » 

(*)

Hallucinant…Le syndicat a trouvé nécessaire de préciser que ce que certains pourrait prendre pour de  "la connivence" serait de la "« "diplomatie"  !!!!

Non ce n’est pas une blague, mais ces confessions en forme d’aveu de quelques syndicalistes qui se trouvent, depuis des années, poussés dans leurs retranchements, ont un effet dévastateur.

Ça y est, j’ai envoyé le mail…Je regarde les réactions ! 

Certes la situation à France Média Monde après la saisine de la Cour des comptes visant les conditions de recours aux boites de prestations qui contractent avec FMM en permanence, est explosive mais depuis les nombreuses révélations, en interne, de « Mr T » qui se tortille à présent comme un ver, s’apercevant qu’il en a peut-être trop balancé, ils sont nombreux à se demander aujourd’hui pourquoi une telle communication dudit syndicat ?!

(¤) 

mercredi 26 octobre 2022

Le patron de 5COM et les invraisemblables collaborations de Thierry FANCHON directeur technique et des systèmes d’informations à FMM !

Le patron de 5COM et les invraisemblables collaborations de Thierry FANCHON directeur technique et des systèmes d’informations à FMM !

Il était encore dans les murs ce matin, le patron de 5COM qui c’est vrai, est un peu comme chez lui au siège de France Médias Monde. Sur quel chantier venait-il échanger avec ses interlocuteurs, sachant ce qu’il en dit sur son site ?  

Le dégé lui-même, le directeur technique et des systèmes d’informations à FMM ?  

Ou était-ce pour parler d'un marché passé pour plus de 100.000€ entre FMM directeur en partance et ALTEN société que l'intéressé connait bien via GROUPECYBER   ?



Vient-il se renseigner pour savoir s'il va pouvoir continuer sa collaboration avec le nouveau président en 2023, vu le contexte, les révélations de "Mr T" et la presse qui commence à s'en mêler ?  

David Batoua, CEO de LAB 5COM, était directeur d’agence dans une ESN. Après plus de 10 ans d’expérience, il réalise que les grandes SSII ne correspondent pas à ses valeurs. Malgré tout, ses clients continuent à le contacter, il décide alors de créer son entreprise.

« Ses valeurs », le blog CGC Média les a cherchées sur son site de présentation sans vraiment les trouver ! Il est probable que le directeur technique mais aussi des systèmes d’informations Thierry FANCHON, alias monsieur SII à FMM n’a pas dû franchement lire la plaquette qui poursuit :

Une entreprise différente des autres, à son image et enfin proche de ses valeurs : familiale, à taille humaine et entretenant une relation privilégiée avec clients et consultants.

Ainsi est née LAB 5COM, d’abord à Paris et maintenant également à Lyon.

Chez LAB 5COM nous croyons en une approche innovante basée sur la transparence et la proximité avec nos clients et nos consultants.

C’est pourquoi nous proposons un accompagnement sur mesure pour chacun d’entre eux.

La convivialité, l’écoute, le respect et l’esprit d’équipe sont autant de valeurs qui permettent à nos consultants d’être épanouis et bien dans leurs missions.

Nos consultants sont spécialisés dans les technologies web et mobile.

Quant à la « taille humaine » que vante notre homme pour « entretenir une relation privilégiée avec clients et consultants », il n’a pas dû compter le nombre de salariés à FMM mais aussi à FTV avec qui il contracte comme il le détaille -   détailler est peut-être un grand mot au regard des fiches PDF (¤) qu’il propose toujours sur le Net – pour une telle promotion !

(¤) 





Thierry Fanchon n’a pas dû lire non plus Le Canard enchaîné qui écrivait dans une demi-page à la mi-septembre « David Ducoudray, l’ex responsable de la téléphonie à France Média Monde, limogé en 2015 pour son implication dans un trafic de téléphone. Mais chut ! à l’époque mais FMM n’avait pas tenu à porter plainte. La direction avait signé un accord confidentiel avec le virer au terme duquel ce dernier s’engager à rembourser 14.500 cents euros alors que plusieurs de ses collègues estiment le préjudice réel a près e 100 00€.

Mieux : le limogé [défendu alors par Marc Thiébeault le délégué de la CFDT, ndlr] s’est payé le luxe de conserver, à la Martinique, la succursale une boîte de télécom 5COM qui fournit des centaines de milliers d’euros de prestations à France Médias Monde. »

(*)

Allez à table ! C’est l’invitation que lance notre hôte, pourfendeur de SSII (Société de Services et d'Ingénierie en Informatique), à celles et ceux qui se retrouvent par hasard sur les pages précitées…

A table…c’est peut-être aussi de façon prémonitoire, l’invitation que la Cour de comptes mais aussi qu’un magistrat instructeur pourraient faire à l’intéressé comme à ses contacts dans le cadre d’une saisine visant  les conditions d'utilisation des nombreuses sociétés de prestations. 

mardi 25 octobre 2022

Le nouveau Premier ministre britannique Rishy Sunak, deux fois plus riche que le roi...On ne verrait jamais ça en France !

Le nouveau Premier ministre britannique Rishy Sunak, deux fois plus riche que le roi...On ne verrait jamais ça en France !

Outre le fait qu’il n’y a pas de roi en France, BFM Business a souligné le fait que le choix des conservateurs s’est porté sur un milliardaire de 42 ans pour le 10 Downing Street.

Tout un symbole pour ce Pays qui connait après le Brextit, une inflation dépassant les 10% mais c’est dit, il ne sera pas le « leader des riches »...Toute comparaison avec autre dirigeant européen, serait totalement inopportune !!!

C’est clair jamais on ne verrait pas ça en France où personne ne se gave et se goinfre...d'autant moins pendant les crises que traverse le Pays. ! 

Voici le portait qu'un fait BFM :

« Ancien banquier chez Goldman Sachs, Rishi Sunak doit l'essentiel de sa fortune à son épouse héritière d'un géant indien de l'informatique.

Les signes extérieurs de richesse du nouveau Premier ministre ont été souvent l'objet de moqueries et de critiques outre-Manche.

Le plus riche locataire du 10 Downing Street. Le nouveau Premier ministre britannique Rishi Sunak bat quelques records. À 42 ans, il devient ainsi le plus jeune Premier ministre du Royaume-Uni depuis 200 ans, battant d'un an le précédent recordman, David Cameron qui avait pris ses fonctions à 43 ans en 2010. Il devient aussi la première personne non-blanche à occuper le poste.

Mais au pays du libéralisme, c'est le compte en banque de l'ex-ministre de l'Économie de Boris Johnson qui suscite la curiosité. Car ce petit-fils d'immigrés d'origine indienne, fils d'un père médecin en santé publique et d'une mère pharmacienne est à la tête d'une fortune colossale. Estimé à 730 millons de livres sterling (plus de 840 millions d'euros) par la presse britannique, le patrimoine du nouveau Premier ministre est deux fois plus élevé que celle du couple royal actuel.

Il deviendrait même le plus riche Premier ministre de l'Histoire du royaume. Si l'on en croit le Guiness Book, la personne la plus riche à devenir Premier ministre britannique était un certain Edward Stanley, le 14e comte de Derby (1799-1869), qui possédait une fortune personnelle de plus de 7 millions de livres sterling de l'époque, soit l'équivalent de 444 millions de livres actuelles. Avec une fortune de 730 millions de livres, Sunak est donc 65% plus riche que son lointain prédécesseur.

Un géant à 100 milliards de dollars

Comment Rishi Sunak a-t-il fait fortune? Ancien banquier chez Goldman Sachs et associé dans les fonds spéculatifs TCI et Theleme Partners, ce pur produit de la méritocratie britannique (il a étudié à Oxford et aux Etats-Unis à Stanford) a connu une première vie très lucrative avant la politique. S'il a gagné des millions de livres durant sa carrière de banquier, l'essentiel de son actuel patrimoine provient toutefois de son mariage avec la très riche héritière indienne Akshata Murty.

A 42 ans, Akshata Murty détient des parts valant près d'un milliard de dollars dans l'entreprise Infosys, géant indien des technologies co-fondé par son père N.R. Narayana Murthy en 1981 et dont la valeur est aujourd'hui estimée à 100 milliards de dollars.

Cela représente une fortune plus importante que celle de la défunte reine Elizabeth II, qui se chiffrait à quelque 350 millions de livres (420 millions d'euros), selon le journal britannique The Sunday Times. Akshata Murty et Rishi Sunak se sont rencontrés au début des années 2000 dans la prestigieuse université de Stanford, en Californie, où tous deux préparaient alors un master en business. Lui, issu d'un milieu modeste, bénéficie d'une bourse.

Dans la société indienne hiérarchisée, les parents d'Akshata Murty accepteront qu'elle épouse ce simple fils de médecin, originaire de Southampton, dans le sud de l'Angleterre. Son père Narayana Murthy donnera son assentiment au projet de mariage de sa fille, dans laquelle il admet que Rishi Sunak correspond en tout point à sa description: "brillant, beau et surtout honnête", raconte la presse britannique.

Installé en Angleterre, le couple vit sur un grand train. Ils sont propriétaires de quatre biens immobiliers, trois en Angleterre et un penthouse en Californie sur la plage de Santa Monica estimé à 5,5 millions de livres.

La semaine c'est dans une maison cossue de cinq chambres de l'ouest de Londres que la famille (les Sunak ont deux filles) passe le plus clair de son temps. Une demeure dans le quartier de Kensington estimée à 7 millions de livres. Le week-end, la famille se retire dans un manoir du Yorkshire du Nord acheté pour 1,5 million de livres en 2015 et qui en vaudrait aujourd'hui beaucoup plus.

Une piscine à 400.000 livres

Le couple y a fait notamment construire cet été une piscine intérieure d'un montant de 400.000 livres ainsi qu'une salle de sport, un court de tennis et un bain à remous. Des aménagements qui ont fait couler beaucoup d'encre outre-Manche dans le contexte actuel de flambée des prix de l'énergie.

Selon le Guardian, le coût annuel pour chauffer la piscine de 12 mètres sur 5 serait de 14.000 livres aux prix actuels de l'électricité, soit près de six fois la facture énergétique moyenne d'une famille.

D'autant que dans le même temps, les Britanniques découvraient que l'épouse de Rishi Sunak était considérée depuis des années par le fisc britannique comme une personne "non domiciliée" au Royaume-Uni, ce qui aurait fait économiser au couple 20 millions de livres d'impôts. Une échappatoire légale mais qui a alimenté les critiques et entaché la réputation de l'ex-chancelier de l'Échiquier.

La fortune du nouveau Premier ministre sera-t-elle un handicap pour Richi Sunak? De nombreux Anglais interrogés par le Guardian sur cette question ne semblent pas y accorder de l'importance. La fortune et le train de vie sont toutefois des sujets récurrents de polémiques ou de moqueries de la part de la presse anglaise. Comme cet été lors d'une visite de chantier, où la tenue de Sunak (costume sur-mesure à 3500 livres et chaussures Prada à 500) était comparée à celle de Liz Truss qui portait ce jour-là des boucles d'oreille Claire's à 4,50 livres. Une simplicité jugée plus conforme dans le contexte actuel de crise du pouvoir d'achat. »

« Mr T » le sparadrap de Marie Christine Saragosse !

« Mr T » le sparadrap de Marie Christine Saragosse!

Il n’est pas rare que « Mr T » se vante d’être très proche de proche de la pédégère sortante de FMM dont le mandat se termine bientôt…Ce sont des accointances politiques que ce dernier met en avant en de nombreuses circonstances, histoire de se faire mousser auprès de son auditoire qui à l’entendre pourrait penser que le diseur n’a qu’à lever ou baisser le pouce pour que tout s’arrête.

Il faut croire que les relations entre les deux s’étaient passablement tendues ces derniers temps. Notre gorge profonde ayant imaginé un plan de fin de carrière tout personnel mais doré qui visiblement n’était pas du goût de tous, avait commencé à se répandre un peu puis de plus en plus sur des dysfonctionnements dont l’intéressé était particulièrement bien informé.

Plus il en lâchait et plus il pensait que ses révélations pourraient le porter dans ses ambitions…Seulement voilà, il en a probablement trop fait et la première des conséquences pour « le taulier » comme certains le surnomme, c’est la saisine de la Cour des comptes, le vendredi 14 octobre un peu avant 16h, sur « les conditions d'attribution par FMM de divers marchés publics, en violation des règles de commande publique passés par une entreprise d'État ». 

Seconde étape comme l’avait indiqué le blog CGC Média, le dépôt d’une plainte - 6 paragraphes pour commencer (point de départ des prochaines investigations) - que Maître Pierre-Olivier Lambert l'avocat du SNPCA-CGC qui avait fait condamner définitivement Patrick de Carolis et l’ex-cofondateur de Bygmalion Bastien Millot dans le volet télévisuel de l'affaire éponyme, a été chargé.

Alors même que "Les processus de renouvellement à la tête de Radio France et France Médias Monde sont lancés"  pour les présidences de FMM et Radio France, « Mr T » se demande s’il n’en a pas trop fait ?!

 

Ses premières révélations sur une énième livraison de serveurs – cette fois-ci, en leasing pour contourner un niet des Tutelles – auprès d’une filiale d’une société prestataire qui travaille en situation de quasi-monopole sur de nombreuse chantiers pour plusieurs centaines de milliers d’euros dont la boite a assuré l’installation à la mi-février et se chargera évidemment de la maintenance via une autre de ses sociétés, alors que le bon de commande ne sera signé que le mois suivant par presqu’une douzaine de directeurs et autres décideurs (*) et avant même qu’un appel d’offres obligatoire légalement n’ait été lancé, ne vont évidemment pas aider sa « pote » à poursuivre !

« Hollande est derrière elle » répète-t-il à l’envi pour se rassurer et calmer ceux qui le considèrent déjà comme un paria et veulent lui faire la peau…Ah bon ? Il l’est comme il l’avait été lorsqu’elle s’est présentée à la présidence de France Télévisions alors qu’il était président de la République ?! (¤)

(¤)

« Tout ça, c’est la faute au blog CGC Média qui veut nuire à la boîte ! », raconte-t-il a quelques gogos qui gobent encore ses bobards…comme si ceux qui traient l’entreprise publique comme une vache à lait, n’étaient justement pas les premiers à se servir sur la bête ?!

« Elle a beaucoup d’appuis un peu partout, notamment au Siècle où l’ex-Orange, son ex-directeur de l’info aujourd’hui recasé à la Culture, la présidente de Radio France Sibyle Veil ou encore Baldelli l’ex-n°2 de FTV aujourd’hui à Public Sénat, voire l’ex-patron du CSA à présent au CSM Christophe Schrameck dissertent sur ce qui est bien ou pas pour le Pays » balance encore « Mr T » qui depuis quelques temps doit se taper probablement quelques sueurs. 


« Elle a beaucoup d’appuis un peu partout, notamment au Siècle où l’ex-Orange, son ex-directeur de l’info aujourd’hui recasé à la Culture, la présidente de Radio France Sibyle Veil ou encore Baldelli l’ex-n°2 de FTV aujourd’hui à Public Sénat, voire l’ex-patron du CSA à présent au CSM Christophe Schrameck dissertent sur ce qui est bien ou pas pour le Pays » balance encore « Mr T » qui depuis quelques temps doit se taper probablement quelques sueurs. 

« Un ex-conseiller spécial à la présidence, aujourd'hui ministre qui en fait partie, devrait lui arranger ça ! » enchérit notre sachant...le dit-il sérieusement ou avec ironie, ça reste à voir !

L'intarissable parleur aura beau faire, il semble que les dés soient jetés depuis la déclaration incendiaire de la toujours présidente de Radio France après la suppression par Emmanuel Macron de la CAP (ex-redevance) qui déclarait en effet :  « Un média financé par des recettes affectées est en général qualifié de média indépendant de service public ; un média financé sur le budget de l’État est en général qualifié de média gouvernemental (…) la budgétisation porte en elle le germe du doute, on le voit en Allemagne ».

Sources:

https://www.capital.fr/entreprises-marches/les-petits-secrets-de-delphine-ernotte-p-dg-du-groupe-france-televisions-1097824

https://atlantico.fr/article/decryptage/presidence-de-france-televisions--francois-hollande-enclin-a-soutenir-marie-christine-saragosse-a-la-veille-du-depot-des-candidatures-

https://www.ojim.fr/les-medias-au-diner-du-siecle-du-26-fevrier-2020/

https://meta.tv/liste-complete-des-participants-au-diner-du-siecle-du-26-fevrier-2020/