Le budget de TV Monaco critiqué par les élus…« Ça va pas l’faire » !

Le budget de TV Monaco critiqué par les élus…« Ça va pas l’faire » !

Dans son article signé Thibaut Parat  "Le budget de la nouvelle chaîne publique TV Monaco critiqué par les élus" (*) Nice matin n'est pas tendre avec ce que beaucoup considèrent déjà comme le Salto de la principauté (en référence avec la tocade ernottienne  qui après 2 ans et demi d'exercice et près de 90 millions de dettes payés par les contribuables français, est en liquidation). 

"Lors des débats budgétaires de décembre, les conseillers nationaux ont interpellé le gouvernement princier sur les crédits conséquents (24 millions d’euros) alloués à la chaîne publique monégasque..." écrit le titre de presse qui ajoute "Moins de quatre mois après, le 19 décembre, la chaîne aux quatre piliers principaux - actualité, environnement, sport et art de vivre - a été la cible de critiques au Conseil national, théâtre de l’examen du budget primitif 2024. Au cœur de la réprobation parlementaire: le budget de 24 millions d’euros alloué par l’État monégasque à TV Monaco, soit une hausse de 9 millions par rapport aux projections initiales. Sans compter la dotation de 4,1 millions d’euros de TV5 monde".

Le titre de presse poursuit "La somme est supérieure à 1% des dépenses de l’État, le budget est supérieur à 4 fois celui du Conseil national. C’est loin d’être négligeable", estime l’élu Franck Julien.Le président de la commission des Finances et de l’Économie nationale, porte-parole "d’élus mal à l’aise avec le montant atteint", aborde un découpage budgétaire source, selon lui, d’interrogations.

"Il y a une ligne de 1,147 million d’euros au titre d’éléments divers et imprévus. Pourquoi déjà prévoir de l’imprévu alors qu’on en est qu’au primitif? On a aussi une ligne de 8,5 millions d’euros en ce qui concerne les achats de programmes. Cela me semble quand même assez énorme."

C’est l’un des autres reproches formulés par les élus à l’encontre de la chaîne qui emploie environ 70 personnes dont une vingtaine de journalistes: une antenne pas assez centrée sur la Principauté...

La somme est supérieure à 1% des dépenses de l’État, le budget est supérieur à 4 fois celui du Conseil national (*). C’est loin d’être négligeable", estime l’élu Franck Julien."

Celle qui a succédé à Salim Zeghdar (jamais très loin) ne comprend pas les doutes et critiques formulés, entre autres par Christophe Brico sur le fonctionnement comme sur la gestion sociale de la dite chaine, et plus particulièrement sur la qualité des contenus où la pub n'est jamais très loin - raison pour laquelle "les monégasques ne regardent pas cette télévision" que certains qualifient déjà de "télé croupion" et qui ne parle quasiment pas de la Principauté alors que la petite télévision locale Monaco Info (¤), elle, le fait… 

(¤) Ils préfèrent effectivement regarder « Monaco info » pour avoir des nouvelles de la Principauté et c’est tout. il faut dire que la moyenne d’âge sur Le Rocher est probablement la plus forte en Europe. 

Est-ce pour cela que "la taulière" -  le petit nom que certains donnent à Nathalie Biancolli sortie dare-dare de France Télés l'an dernier et opportunément parachutées dégée de TV Monaco après un pataquès en interne qui voyait le départ de Salim Zeghdar (¤)  nommé alors administrateur de biens du prince Albert II par intérim en remplacement de Claude Palméro, démissionnant alors OFFICIELLEMENT très vite de son poste  - vient de recruter Norbert Balit 75 ans, histoire probablement de booster l'audience ? 

Ou encore que cette  dernière, déclarant vouloir porter haut la langue française, a choisi « Titi le barman » comme grand visage du nouveau rendez-vous destiné à TV5 au curieux titre: « Ça va l’faire » ?! 

Pas sûr justement que ça le fasse !

(*) Voir l'intégralité de l'article en cliquant sur le lien:

"Le budget de la nouvelle chaîne publique TV Monaco critiqué par les élus" 

La décision du gouvernement de ne pas renouveler l’agrément de l’association Anticor, se poursuit en Justice.

La décision du gouvernement de ne pas renouveler l’agrément de l’association Anticor, se poursuit en Justice.

Dans l’article publié par l’Obs  « Conflits d’intérêts : ça suffit ! » signé David Caviglioli, la magazine revient sur l’invraisemblable décision du gouvernement de ne pas renouveler l’agrément de l’association Anticor.

Hallucinant…Une décision qui ne trump personne sur les objectifs poursuivis par le Pouvoir...mais dans quel état va finir notre Pays ?

A quand l’abrogation des dispositions légales sur les délit de conflits d’intérêts, de détournements de fonds publics ou encore d’abus de biens sociaux (abus de confiance dans le Public)…?

Extraits

"C’est une information, survenue entre Noël et le jour de l’an, qui a bien failli passer inaperçue : le 27 décembre dernier, le gouvernement a décidé de ne pas renouveler l’agrément de l’association Anticor, spécialisée dans la lutte contre la corruption.

Que cette décision tombe pendant les fêtes ne doit pas nous troubler : il s’agit bien évidemment d’un scandale politique majeur. Anticor n’est pas n’importe quelle association : quand il s’agit de lutter contre les conflits d’intérêts, elle fait preuve d’une détermination en ciment...

La confiance que nous accordons aux décideurs politiques est le ciment de la vie démocratique. Si elle s’effrite, c’est tout l’édifice républicain qui s’effondre. Nous ne sommes plus loin d’une telle catastrophe.

En décembre, un sondage Harris Interactive/Fondation Jean-Jaurès révélait que 87 % des Français n’avaient aucune confiance dans la probité de nos élus.

« L’affaire Anticor », comme on l’appelle désormais, est loin d’être terminée. L’association a contesté la décision du gouvernement devant la justice, et les juges pourraient bien se montrer plus favorables."

Twitter devenu X, en pleine déconfiture !

Twitter devenu X, en pleine déconfiture !

Lors du rachat de Twitter en octobre 2022, Elon Musk imaginait transformer la plateforme en « application à tout faire ». Le réseau social, rebaptisé X en cours d'année ne serait pas désormais de la faillite. Le milliardaire en serait le principal responsable. Avec sa méthode brutale et impulsive, l’intéressé a miné au fur et à mesure les fondements de Twitter, ouvert la porte à la désinformation et fait fuir les annonceurs, dont l'entreprise dépend quasi exclusivement pour survivre.

Dans un très récent article de La Tribune, François Manens écrit « Infestée par la désinformation, la plateforme est aussi scrutée par l'Union européenne, qui fait peser ses nouveaux pouvoirs de sanctions. En 2024, des propres aveux d'Elon Musk, X leTwitter dépouillé de ses fondements, va lutter pour sa survie » et pose la question « 2023 était l'année de l'effondrement de Twitter, 2024 sera-t-elle l'année de la disparition de X ?

Avec la potentielle faillite du réseau social qui ne fait qu'alimenter les ambitions, les nouveaux concurrents placés en embuscade, comme Threads et Bluesky montrent les crocs et se disent prêtes à le remplacer…»

Le journaliste ajoute « Adieu, l'emblématique oiseau bleu, présent sur le logo de Twitter depuis sa création en 2006. Au revoir, les « blue checks », ces badges de vérification d'identité adossés aux noms des comptes d'utilité publique, qui a fait du réseau social l'outil de communication privilégié des politiques et des journalistes. Finie, la limite de caractères dans les tweets. A la poubelle, l'algorithme de recommandation sur lequel le réseau social a bâti son succès. Même le nom du réseau social n'a pas survécu à la tornade Elon Musk, remplacé par la lettre X, qui obsède l'homme d'affaires.

Entre janvier et avril, le milliardaire a démantelé un à un les atouts qui ont fait de Twitter le réseau social le plus influent au monde. Avant cette démolition technique, il avait déjà saigné le capital humain de l'entreprise avec le licenciement de plus de 80% des effectifs, sous prétexte d'une réduction des coûts. Certes, le réseau social ne parvenait pas à atteindre la rentabilité de façon pérenne depuis sa création mais Elon Musk l'a transformé en machine à brûler de l'argent. 

Pour ne rien arranger, ces changements se sont opérés dans un chaos presque constant. Twitter a multiplié les pannes et les ralentissements. Il a aussi été contraint, à plusieurs reprises, de retirer des fonctionnalités tout juste déployées pour les relancer quelques jours plus tard, en raison de problèmes techniques. Plus bavard que jamais sur le réseau social, Musk a semblé naviguer à vue. Plusieurs témoins ont confirmé qu'il écoutait son instinct avant tout, et qu'il n'hésitait pas à imposer sa vision contre celles des experts de l'entreprise…

Résultat : dès mars, Musk a déclaré que la valorisation du réseau social, pour lequel il a déboursé 44 milliards de dollars, avait fondu de moitié.

Aujourd'hui, il avertit sur les risques bien réels de faillite si les annonceurs ne reviennent pas.

En cette période de fêtes de fin d'année, pourtant propice, la qualité des publicités apparaît plus dégradée que jamais : promesses mensongères sur des cryptomonnaies, faux sites de rencontre, sites de dropshipping... »

Le titre de presse enfonce le clou « En conséquence des multiples changements à marche forcée, X est devenu un réseau social à deux vitesses. Elon Musk a, en effet misé sur ce modèle d'abonnement pour mettre fin à la dépendance du réseau social à la publicité mais cette stratégie se révèle être un échec cuisant.

D'un côté ceux qui paient un abonnement mensuel, de l'autre les autres. Problème :  l'énorme majorité des utilisateurs n'a pas payé, et subissent donc une expérience dégradée : perte de la double authentification par SMS, limitation de la messagerie, retrait des certifications... et pour ceux qui paient, ce privilège n'offre en réalité qu'une meilleure visibilité et quelques avantages avant tout cosmétiques.

En réalité, lors qu'elle peine à vendre l'abonnement, l'entreprise a été contrainte de l'offrir aux plus gros comptes afin d'éviter un exode… »

Enfin, enchérit La Tribune «  Les problèmes de X ne se limitent pas aux considérations économiques, loin de là !

Au début du mois, l'Union européenne a annoncé l'ouverture d'une enquête contre l'entreprise, accusée d'avoir commis huit infractions au DSA, le grand texte de régulation des plateformes du Net, entré en vigueur fin août.

D'après Bruxelles, X échouerait dans les grandes largeurs à se conformer à ses obligations, qu'il s'agisse de transparence, de modération des contenus illicites et de désinformation. Il est même accusé de tromper ses utilisateurs... Et s'il ne parvient pas à redresser la barre, il pourrait encourir de très lourdes sanctions.

L'éclatement du conflit entre Israël et le Hamas a révélé au grand jour les lacunes béantes de la modération du réseau social. La publication de son rapport de transparence n'a fait que confirmer la pauvreté des moyens humains mis en place. Quant à l'expérience d'utilisation, elle est de plus en plus affectée par le pullulement des « bots », ces comptes automatisés. Pourtant, Elon Musk avait fait de la suppression des bots une des grandes promesses de son rachat.

Comme si la situation n'était pas assez désastreuse, tout au long de l'année, le milliardaire a relayé et tenu sur son compte des propos complotistes (contre les vaccins, notamment) mais aussi antisémites et transphobes, entre autres. De quoi repousser toujours plus loin les annonceurs.

 

Pas grand-chose à ajouter à l'article du 1er numéro de VSD, à part la finalisation de la plainte pénale pour les 112.123€ dépensés au Majestic de Cannes (*)

Pas grand-chose à ajouter à l'article du 1^er numéro de VSD, à part la finalisation de la plainte pénale pour les 112.123€ dépensés au Majestic de Cannes (*)

Article:

"BERCY EN LIGNE DE MIRE

La nouvelle émission de C8, «Enquête complémentaire », signée Jacques Cardoze et programmée fin janvier, aura pour premier invité Jean-Jacques Cordival, influent patron du syndicat CGC Médias, qui lancera à l'antenne sa croisade pour une transparence dans l'attribution des budgets d'argent public destinés aux productions de France Télévision. Ce grand défenseur des salariés du secteur audiovisuel est observé de près par Bercy qui collecte la redevance audiovisuelle. 

Les articles au vitriol du blog d'infomédia de son syndicat battent des records d'audience."

(*)

Nouveau pied-de-nez de Patrick Sébastien à l’ex-Orange !

Nouveau pied-de-nez de Patrick Sébastien à l’ex-Orange ! 

Depuis qu’Ernotte a viré l’animateur TV de France 2, C8 qui choisit de lui confier la soirée du réveillon de la saint Sylvestre, vient encore de réaliser un carton.. 

Le plus grand cabaret du monde : 25 ans de féérie a presque réussi à attirer près d’un million de fidèles avec 958 000 Français pour cette soirée de toute fin d’année, soit 6.7% du public présent devant son poste de télévision entre 21h10 et 23h50.

Pour l’ex-Orange et son ex-dircab « ses émissions attiraient de moins en moins de monde »…Voilà, une fois encore, ce qui prouve que le duo est toujours à côté de la plaque!

Qu’il soit enfin mis un terme en 2024 aux frasques mégalomanes de la parachutée de 2015.

Qu’il soit enfin mis un terme en 2024 aux frasques mégalomanes de la parachutée de 2015.

Les près de 90 millions d’euros d’argent public crames dans la désastreuse plateforme Salto liquidée après un peu plus de deux ans seulement de naufrage financier, « la dame du Majestic » (*) a choisi de continuer à dépenser sans compter l’argent des Français et mettre le paquet pour promouvoir, cette fois-ci, la  plateforme France.tv 

« Une campagne majeure de promotion autour du slogan «Voyons grand »,déclinée en affichage (4 affiches, OOH et DOOH), en presse, en digital et en radio (deux messages), avec un objectif: que france.tv soit référencée dans l’univers des plateformes », claironne l'infirmière TV.

Encore un fric de dingue de claqué pour des prunes ou pas loin…tout ça pour trente de continuer de faire gober a quelques gogos qu’elle aurait transformé France Télévisions en premier groupe média sur tout le territoire…et pourquoi pas dans le monde entier pendant qu’elle y est ?!

Le but tenter de faire la nique au groupe TF1 inaugurera sa nouvelle plateforme TF1+ le 8 janvier, dont le lancement sera accompagné d'une campagne passive (parce qu’il n’a guère besoin de dépenser des dizaines de millions dans quelque chose qui cartonne déjà !

Il est plus que temps pour l’État actionnaire mais aussi la Représentation nationale de stopper celle qui laissera la télé publique déjà aux mains d’une poignée de copains propriétaires de boites de prod privées qui se sont partagées « le gâteau » avant de laisser la victime en situation de mort médiatico-cérébrale organisée.

(*)

TF1 qui truste l’essentiel des 100 meilleures audiences TV pour 2023, enterre une nouvelle fois les bobards ernottiens.

TF1 qui truste l’essentiel des 100 meilleures audiences TV pour 2023, enterre une nouvelle fois les bobards ernottiens. 

Année après année, c’est pareil. TF1 non seulement se retrouve tout en haut du tableau des audiences des chaînes de la TNT mais qui plus est, colore quasiment exclusivement les tableaux des 100 meilleures places aux couleurs de La Une.

En 2023, la Coupe du monde de rugby occupe  8 des 10 premières places au top 100 des meilleures audiences. Au total les compétitions sportives à la télé occupent 38 des 100 meilleures audiences quasiment toutes sur la 1ère chaîne contre 32 il y a un an.

La fiction tricolore est loin d’être en reste avec la série phénomène créée par UGC et incarnée par Audrey Fleurot pour laquelle TF1 rafle à elle seule 9 places dont une dans le Top 10 au palmarès des programmes préférés des Français.