Après avoir attendu 7 mois pour fournir les documents nécessaires aux négociations sur la Convention Collective, après avoir refusé de discuter des revendications de divers préavis déposés par le SNPCA-CGC [« nous n’avons rien à vous dire »] Carolis saisit aujourd’hui la Justice pour tenter de faire déclarer illégal le préavis déposé par le SNPCA-CGC.
A 16h4o un huissier a déposé au siège du syndicat une « Requête déposée devant le TGI afin d’assigner le syndicat d’heure à heure pour voir la Justice « dire que le préavis de grève est irrégulier ».
Comble de la provocation, il faut préciser que ce dépôt a eu lieu alors que les représentant du SNCPA-CCG était en réunion de "négociation" du préavis.
Les salariés sont remontés contre la « réorganisation » moyenâgeuse que tente de mettre en place, à marche forcée Patrick de Carolis. Ils ont mandaté les organisations syndicales, SNPCA-CGC en tête, pour instaurer un vrai rapport de force visant à exiger le maintien des Conventions Collectives et l’abandon de cette réorganisation que les salariés ne comprennent pas, n’ont jamais voulu et refusent à une très large majorité.
Si Carolis croit qu’il va faire plier le SNPCA-CGC en déclarant la guerre aux salariés qui ont mandatés le SNPCA-CGC en AG pour déposer à leur demande plusieurs préavis de grèves et en demandant à la Justice de se prononcer, il se trompe dans les grandes largeurs.
Vu l’agression permanente dont Patrick de Carolis fait montre à l’encontre des salariés, vu sa raideur, son cynisme et son refus systématique du dialogue, le départ de Carolis inéluctable, n’est plus qu’une question de jours.
Les salariés sont remontés contre la « réorganisation » moyenâgeuse que tente de mettre en place, à marche forcée Patrick de Carolis. Ils ont mandaté les organisations syndicales, SNPCA-CGC en tête, pour instaurer un vrai rapport de force visant à exiger le maintien des Conventions Collectives et l’abandon de cette réorganisation que les salariés ne comprennent pas, n’ont jamais voulu et refusent à une très large majorité.
Si Carolis croit qu’il va faire plier le SNPCA-CGC en déclarant la guerre aux salariés qui ont mandatés le SNPCA-CGC en AG pour déposer à leur demande plusieurs préavis de grèves et en demandant à la Justice de se prononcer, il se trompe dans les grandes largeurs.
Vu l’agression permanente dont Patrick de Carolis fait montre à l’encontre des salariés, vu sa raideur, son cynisme et son refus systématique du dialogue, le départ de Carolis inéluctable, n’est plus qu’une question de jours.
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