vendredi 2 juillet 2010

Rémy Pflimlin, annonçant lui-même devant les instances de Presstalis, son départ pour France Télé que dément à nouveau l'Élysée, dépasse les bornes!

"Aucune décision n'a été prise", a affirmé vendredi après-midi à Challenges un porte-parole de la présidence de la République, contestant les soi-disant "révélations" du Point.fr reprises vers 13h par l'Express.fr ne voulant, à l'évidence, pas être en reste.

Pour le Point.fr qui n'en est plus à une contradiction près ces derniers mois (C'était déjà la version net du magazine qui donnait pour acquise la nomination d'Alexandre Bompard dès le 10 avril) : "Nicolas Sarkozy devait officialiser la nomination de Rémy Pfimlin, son choix, ce vendredi à la mi-journée."

L'Express.fr surenchérissait en procédant quasiment à un copié/collé avec une allégation similaire donc infondée :"Nicolas Sarkozy nommera l’ancien directeur général de France 3 Rémy Pfimlin dans la journée

Le constat est sans appel, les deux sites internet "L'Express.fr et Le Point.fr" qui se sont érigés en porte-paroles de l'Élysée, en se livrant au jeu de la surenchère par voie de communiqués plus "informés "les uns que les autres, se retrouvent encore une fois Gros-Jean comme devant.

Ni à la mi-journée, ni dans la journée, Nicolas Sarkozy n'a fait la plus petite annonce concernant France Télévisions.

A l'évidence, Nicolas Sarkozy n'a pas l'intention d'apporter le moindre crédit, aux pseudos "scoops" des deux "sachants".

L'Elysée continue de démentir la nomination de Rémy Pflimlin à la tête du groupe télévisuel public et par là même les élucubrations du Point .fr qui prétendait que "Nicolas Sarkozy se serait rendu à l'avis de Claude Guéant jeudi en fin de journée pour nommer Rémy Pflimlin..."

Le fait que devant les instances de Presstalis, ex-NMPP, société qu'il laisse en état de dépôt de bilan virtuel nécessitant vraisemblablement de la recapitaliser, Rémy Pflimlin, lui-même, annonce son départ pour France Télévisions à la place de Patrick de Carolis, après avoir été reçu par la présidence mercredi soir dernier, n'a pas été du goût de tous. (* lisez à la suite l'article de Emmanuel Schwartzenberg de ce 6 avril 2010 intitulé "Presstalis en quasi faillite")

Pas plus que n'avait été appréciée, mercredi 28 juin au soir, la rumeur de l'annonce sourcée UMP du soi-disant choix par Nicolas Sarkozy de Rémy Pflimlin pour remplacer Carolis !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire