vendredi 6 juillet 2012

Murielle Beretti-Charles et Patrice Papet, les pros de la casse sociale à France Télévisions plombent volontairement ce qu’ils osent appeler « négociations ».


MurielleBeretti-Charles et Patrice Papet, les pros de la casse sociale à France Télévisions plombent volontairement ce qu’ils osent appeler « négociations ».

Lundi 2 et mardi 3 juillet, le tandem Murielle Beretti-Charles et Patrice Papet, réunissait quelques dizaines de RH France Télévisions pour leur annoncer « qu’à partir de ce lundi (le 2/07/12 donc) les dispositions « négociées » sur le temps de travail rentraient en vigueur » (dixit).

Quelles dispositions négociées ? Auraient-elles fait l’objet d’un accord sans que les syndicats en soient avertis…et signé par qui ? Les Tutelles en ont-ellles été averties ? La DGMIC Direction Générale des Médias et des Industries Culturelles (DGMIC) ex DDM, en a-t-elle également été informée ?

Sans attendre, le blog CGC Média est en mesure de vous apporter les réponses à ces questions : NON, bien évidement.

C’est une des plus grosses arnaques que le tandem de pros de la casse sociale et de fossoyeurs du dialogue social, a imaginée depuis quasiment deux ans qu’ils sévissent dans l’entreprise te pourrissent chaque jour un peu plus, le climat à couper au couteau.

Pour le prouver, il suffit de prendre connaissance du mail qu’ils ont adressé aux syndicats représentatifs de France Télévisions :

« Nous vous informons que compte tenu de contraintes tenant aux agendas sociaux de pôles (notamment au Pôle Nord Est), la réunion de négociation portant sur la finalisation et la relecture du socle commun temps de travail initialement prévue le vendredi 06 juillet est reportée au lundi 09 juillet. »

Les duettistes, Murielle Beretti-Charles et Patrice Papet, n’ont visiblement pas peur du ridicule !!!!!

Annoncer à des dizaines de RH convoqués pour l’occasion, le lundi 2 juillet 2012, que « les dispositions « négociées » sur le temps de travail entrent en vigueur ce jour » et écrire en même temps aux organisations syndicales que « la réunion de négociation portant sur la finalisation et la relecture du socle commun temps de travail initialement prévue le vendredi 06 juillet est reportée au lundi 09 juillet », c’est soit prendre les RH pour des andouilles, soit continuer de prendre les syndicats pour des billes !!!

Cela dit, le binôme est coutumier du fait. Qu’ira-t-il raconter aux responsables de la DGMIC sur les négociations collectives que depuis 2 ans donc, ils plombent en permanence ? Que le 8 octobre [c’est demain] au moment où tombera la CCCPA Convention Collective toujours en vigueur, faute d’accord, il sortira les mêmes salades.
Que faute d’accord, la direction appliquera unilatéralement des textes qu’elle n’aura signé avec personne (ou avec la cgt seulement comme c’est le cas depuis 2009) ????
En quoi de telles déclarations en forme de chantage faites systématiquement devant les syndicats de FTV, feraient obstacle à ce que chacun des 11.500 salariés du périmètre revendique les AIA (Avantages Individuels Acquis) autrement dit, le bénéfice individuel de tous les textes conventionnels ou d’entreprises dont il a bénéficié depuis son embauche !???  

jeudi 5 juillet 2012

Pflimlin peut bien se vanter d’avoir mis les choses à plat avec l’Elysée et la Ministre de Tutelle...il n’en est rien.

Pflimlin peut bien se vanter d’avoir mis les choses à plat avec Élysée et la Ministre de Tutelle...il n’en est rien. 

Samedi soir dernier, le 30 juin, il y était aussi Pflimlin au Théâtre du Rond-PointJean-Michel Ribes son directeur fêtait ses dix ans à la tête de l'institution.

Il n’aurait manqué cela pour rien au monde Pflimlin! C’était pour lui l’occasion d’y voir la ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti mais aussi le président de la République François Hollande qui avait confirmé la venue à son vieil ami Jean-Michel Ribes en signe de fidélité.

Pflimlin après « l’émotion » - c’était vertigineux - raconte aux uns et aux autres que ça s’est très bien passé…Il aurait soi-disant pu s’entretenir « cordialement », longuement mais aussi très constructivement avec les deux et mettre les choses à plat avec l’Elysée et la Tutelle.

Pour un peu, une franche accolade avec le Président de la République, lui reviendrait même à l’esprit ! Tout serait donc pour le mieux et Pflimlin avouerait presque à son entourage qu’il s’est senti conforté et en totale confiance !!!!

Il aurait également eu avec David Kessler, le conseiller Culture et Communication du Président de la République, un échange des plus « cordiaux » et des plus « amicaux ». Il en serait sorti regonflé et rasséréné.

Curieux, très curieux, tout cela…Ce n’est pas le souvenir qu’en ont certains convives !!!!! 

Peut-être le champagne lui aura-t-il tourné la tête ?! car deux jours plus tard, le 2 juillet, « L’Elysée et Aurélie Filipetti disaient clairement niet à la réforme de France 3 annoncée quelques jours plus tôt par le même Pflimlin », le désavouant donc publiquement.

Il semble bien que la description faite ne corresponde donc en rien à la réalité !!!

mercredi 4 juillet 2012

Le Premier ministre confirme une loi sur l'audiovisuel avant la fin de l'année...Pflimlin défait à l'automne!

Le Premier ministre confirme une loi sur l'audiovisuel avant la fin de l'année...Pflimlin défait à l'automne!


Mardi 3 juillet 2012, dans son discours de politique générale prononcé à  l'Assemblée Nationale,  le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a confirmé qu'une loi sur l'audiovisuel serait bien soumise au Parlement avant la fin de cette année, afin notamment de modifier le mode de désignation des présidents de l'audiovisuel public : "Avant la fin de l'année 2012, une loi relative à l'audiovisuel permettra de restaurer les grands principes républicains quant aux modalités de désignation des présidents de l'audiovisuel public".

Dans les étapes à venir, le gouvernement a déjà annoncé qu'il allait réformer voire même évoluer l’actuel Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) et revoir le mode de nomination des membres de l'instance qui lui succéderait à qui reviendrait la nomination des patrons de l'audiovisuel public comme celui de Radio France et France Télévisions.  Le retour à la nomination des présidents par le CSA l'instance qui lui succéderait,  mettrait ainsi un terme
à leur désignation par le président de la République instaurée sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy.

Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture et de la Communication, avait d’ailleurs indiqué, il y a peu, que les membres du CSA  ou de l'instance qui viendrait ensuite, pourraient être désignés par les commissions culturelles du Parlement.

Les mandats de trois membres du CSA (*) dont celui de son Président Michel Boyon arrivant à terme en janvier 2013, il devenait dès lors assez logique de faire passer une loi avant cette échéance plutôt que de nommer de « nouveaux membres » en l’état dont le mandat aurait pu tomber en cas d’une modification de l’instance quelques semaines plus tard !

(*) Depuis sa création en 1989, le CSA est composé de neuf membres, nommés pour six ans par décret. Trois, dont le président, sont choisis par le président de la République, trois par celui du Sénat et trois par celui de l'Assemblée Nationale.

lundi 2 juillet 2012

La cgt de France Télévisions qui roule pour Pflimlin fait tout pour sauver sa tête et entérine la candidature de ce dernier à sa propre succession !


La cgt de France Télévisions qui roule pour Pflimlin fait tout pour sauver sa tête  et entérine la candidature de ce dernier à sa propre succession !

Illégal pour le moins, hallucinant, surréaliste…les qualificatifs ne manquent pas, concernant la réunion entre amis – direction/cgtqui s’est déroulée mercredi 27 juin 2012 reprise dans le document diffusé par la cgt qu’elle intitule faussement « compte rendu du CCE du 27 juin 2012 ».

La cgt va même jusqu’à s’assoir sur ces principes, en expliquant sans rire, que cette « réunion » (qu’elle n’a pas honte d’appeler CCE) « s’est tenue sur fond de grève à l’appel de la cgt pour la défense de la spécificité et de l’originalité de la Rédaction Nationale de France 3. »

Il ne faut pas avoir peur du ridicule en expliquant après que le C.C.E ait été régulièrement suspendu, pour la cgt qui il y a peu de temps encore, érigeait en principe « sa non-participation à une séance de Comité d’Entreprise comme si rien n’était, le jour de grève », qu'elle s’assoit donc dessus en restant seule avec la direction dans le cadre d’une réunion totalement hors la loi

Pire, alors que l’Instance souveraine a voté une RÉSOLUTION « suspendant la séance dans l'attente du rapport définitif de l'expert mandaté sur les comptes 2011 » dont voici le texte :

« Les élus du CCE déplorent l'absence d'informations fiables concernant la situation économique et financière de France Télévisions:

Ø  L'expert mandaté par le CCE n'a pas été en mesure de mener sa mission jusqu'au bout pour ce qui concerne l'arrêté des comptes 2011, déjà entériné par le Conseil d'Administration avant que le CCE n'ait été consulté.

Ø  La Direction n'est pas en mesure de présenter au CCE des perspectives budgétaires claires assorties de ressources fiables compensant l'arrêt de la publicité.

Dans le même temps, la restructuration de l'entreprise continue de se mettre en place dans un climat tendu et des conditions de travail dégradées pour l'ensemble des personnels. Les prérogatives des diverses IRP (Comité d'Etablissement, CHSCT) ne sont pas respectées avant la mise en place de modifications de structures ou de déménagements.

Les perspectives d'activités des antennes régionales et ultra marines ne sont pas accompagnées de projets fiables et financés alors que se trament des changements profonds et lourds de conséquences sur France 3 tant au niveau régional que national (rapprochement des rédactions).

Dans le même temps, la négociation de l'accord collectif piétine et les relations avec les IRP et les organisations syndicales se dégradent.

Devant cet état de fait, les élus du CCE ne peuvent plus se satisfaire d'une parodie de dialogue social qui ne leur permet pas de remplir auprès des salariés leur rôle d'information et de défense concrète de leurs intérêts.

Ils suspendent donc la séance dans l'attente du rapport définitif de l'expert mandaté sur les comptes 2011. Ils exigent également la tenue, dans les plus brefs délais, d'une séance extraordinaire du Comité Central d'Entreprise afin de débattre de manière sérieuse et prospective de la situation économique, des projets éditoriaux, de l'activité de l'entreprise et de l'emploi.

Paris, le 27 juin 2012 », 
la cgt a donc décidé de tenir réunion avec Pflimlin et de faire comme si rien n’était et comme si le CCE  se déroulait normalement…CE QUI N’EST ABSOLUMENT PAS LE CAS comme divers Conseils ont pu le confirmer.

La direction qui suit la cgt voire la précède très souvent, n’a bien évidemment pas pipé mot. Elle a poursuivi avec ses amis de la cgt qui pour l’occasion ont élu «un Secrétaire de séance » (cgt bien sûr) Alain Parent du Pôle Nord-Ouest, en faisant fi de la résolution et de l’actuel Secrétaire du CCE de l'établissement Corse, le seul représentant légal de l’Instance ainsi que des membres du Bureau tout entier

La cgt va même jusqu’à justifier la tenue illégale de cette réunion, en écrivant : « Le CCE a été perturbé par l’attitude de la majorité Cfdt, Cgc, Snj qui a refusé de signer l’ordre du jour et décidé de quitter la séance… tout en se plaignant de l’absence de dialogue. »

Et de citer Pflimlin a tout bout de champs dans leur publication « Vous n’êtes pas crédible, s’est énervé le PDG [à l’adresse de de la majorité CFDT, CGC, SNJ], comment voulez-vous que l’on dialogue si vous ne signez pas les ordres du jour ! ». [Prérogatives du Secrétaire clairement établies dans le Code du Travail]

La cgt n’hésite pas non plus à écrire, en violation absolue de la loi que « Au vu du contexte actuel, la cgt élisant [toute seule donc, un soi-disant] Secrétaire de séance, ce dernier avait même fait voter nouveau point majeur à l’ordre du jour sur la situation générale de l’entreprise » !!!!! Enfin s’est-t-il cru habilité à agir comme cela !!!!!.

Comme si cela ne suffisait pas, les indéfectibles défenseurs cégétistes de Pflimlin, vont également s’exprimer au nom du Gouvernement et développer le message qui leur aurait été délivré, au travers d’un chapitre qu’ils ont intitulé : « La nouvelle donne politique ».

Les déclarations de la cgt qui, ce faisant, laisse croire qu’elle serait dans les confidences tutélaires, sont inouïes : « La nouvelle majorité socialiste a réaffirmé son attachement à l’audiovisuel public pour la création et pour l’information tout en soulignant que la situation économique était compliquée. La suppression de la publicité en 2016 sera remise en cause assez rapidement par le gouvernement qui devrait décider son maintien en journée. L’extension de la redevance aux résidences secondaires est à l’étude. La taxe dite « télécoms » va effectivement être rejetée par Bruxelles. Ça va faire partie des sujets. »

Et là le pompon…le soutien appuyé de la cgt à Pflimlin dont il faut tout faire pour sauver la tête et l’annonce d’une candidature à sa propre succession.

Lisez plutôt, ça ne s’invente pas: « L’engagement personnel du PDG, concerné par la remise en cause des modes de désignations des PDG de l’audiovisuel public, est que « cette entreprise a besoin de travailler sur la longueur. On essaye d’avancer sur des projets compliqués. Au-delà de ma personne cette entreprise a besoin d’une stabilité suffisante pour construire ses projets.» Ça ressemble vraiment à une candidature à sa propre succession. »…

Autrement dit, malgré les avis systématiquement rendus par la cgt, en toutes occasions, permettant d’abord à Carolis et maintenant à Pflimlin de désorganiser à grande échelle  l’entreprise, Pflimlin et ses amis finassent sur l’air de  « cette entreprise a besoin d’une stabilité suffisante pour travailler sur la longueur et avancer sur des projets compliqués »…

Et donc dans ce contexte, chacun aura compris la chute, « le candidat naturel à sa propre succession…c’est Pflimlin »… C’est vraiment gros comme procédé

Le paragraphe entier que l’ « ordonnateur de réunion » a cru devoir rajouter, vu justement le contexte et malgré la grève, n’est pas mince. La cgt le développe dans son invraisemblable papier :
1 - Situation générale de l’entreprise
-    Situation économique
-    Audiences
-    Information nationale
-    Régionalisation de France 3
-    Politique de l’emploi
-    Numérique
-    La nouvelle donne politique

Mieux que la communication interne de Pflimlin avec en permanence des citations du candidat de Nicolas Sarkozy qui a toujours raison, « M.Pflimlin a dit, M. Pflimlin affirme, M.Pflimiln reconnait, M. Pflimlin précise, M. Pflimlin prévient, etc.. », la cgt venant évidemment au soutien de son « action »:

- « M. Pflimlin reconnait que la situation publicitaire est dégradée pour FTV mais…. Il espère rétablir la situation grâce aux JO de Londres…»

- « On doit adapter nos dépenses à nos recettes, cela d’autant plus que la situation du budget de l’État étant difficile, on ne peut pas attendre de compensation sachant que FTV aurait, en 2012, 21 M€ de ressources publiques en moins par rapport à ce qui était inscrit dans le plan d’affaires, dit M. Pflimlin. »

- « M. Pflimlin prévoit des audiences probablement supérieures à 30% à fin août avec un été logiquement bon grâce au Tour de France et aux JO et avec deux 2 chaînes qui progressent dans le groupe, France 4 et France 5 malgré une baisse d’audience, de toute façon moins forte que TF1...»

- « M. Pflimlin ne commente pas la grève en cours à la Rédaction Nationale de France 3 mais annonce la mise en place d’un groupe de travail pour les mois qui viennent afin de donner des perspectives en termes d’information qui tiennent compte du monde numérique dans lequel on est.. »

- « Le modèle éditorial et économique est à construire… On ne va pas faire 24 chaînes locales, on va plutôt construire par l’agglomération de petites régions, style en termes de structure Via Stella en Corse … Quant à la suppression de l’antenne nationale de France 3, c’est le député Françaix qui l’a dit et ça n’engage que lui, conclut M. Pflimlin »

- « M. Pflimlin estime au niveau des effectifs que nous sommes à un niveau supérieur à celui qui était prévu au budget 2012 mais dans un monde où TF1 annonce la suppression de 10% de ses effectifs, c’est une question. »

- « Pour conclure, M. Pflimlin déclare qu’ il n’y a pas de plan social en prévision… pour le moment… » qui s’appuie sur les propos de Papet « On regarde les moyens de respecter la trajectoire fixée dans le COM [signé par Pflimlin donc] avec un effectif qui d’ici 2015, censé se réduire de 5% et des perspectives d’inflexion en terme d’emploi sont nettement inférieures à celles du plan précédent où on était à -10%. »

- « Selon M. Pflimlin, les services du Numérique se développent très bien et le site info serait maintenant à la 12ème ou 13ème place (15ème en avril)…l’objectif est de 10 à 15 millions d’euros de recettes commerciales sur la télévision de rattrapage. »

Enfin et là il faut s’accrocher à son siège pour ne pas tomber à la renverse, sur l’arrêté des comptes, comme « M. Pflimlin indique que le budget 2011 n’a pas été tenu en raison du rabotage de 28 M€ de ressources publiques par l’État actionnaire qui depuis 2009, n’a cessé de rabioter avec 98 M€ cumulés qui manquent à l’appel…. » Une charge en règle contre l’État donc…«  Les « élus » [cgt seulement dans cette réunion mascarade] ont voté à l’unanimité un avis négatif sur les comptes 2011… » (le disent-ils et le pensent-ils ! ) tout ça sans même voir le rapport définitif du cabinet Sécafi-Alfa qu’ils ont mandaté.

...et il y a tant d'autres pépites dans leur propagande pro Pflimlin!
Quelle fumisterie

Nous avons quasiment gardé le meilleur pour la fin. La cgt qui interroge Pflimlin sur la réforme annoncée de France 3 et le projet de régionalisation de la chaîne avec probable implication de la PQR écrit : « Le projet de régionalisation de France 3, n’est pas débattu pour l’instant mais la direction y travaille [avec l’actionnaire donc] et la proximité est à construire dans un univers multi chaînes (de 6 à 24) affirme M. Pflimlin »..

Seulement voilà, pas de chance, selon nos informations et visiblement celles de l’Express (*) d’aujourd’hui, l'Élysée et la Ministre de Tutelle ont tranché en désavouant, une fois encore Pflimlin, le renvoyant dans les cordes avec ses amis de la cgt  pourtant si bien disposée à son égard et si prompte au cirage de pompes

(*) Lire l'article de l'Express intitulé : "L'Élysée et Aurélie Filippetti disent niet à une réforme de France 3"

Combien de désaveux Pflimlin va-t-il prendre dans les dents avant de remettre sa démission à ceux qui le désavouent publiquement ?