vendredi 12 avril 2013

Vivement les vacances d'été...et la loi sur le retour à la nomination des patrons de l'audiovisuel public via le CSA

Comme l'indiquait le blog CGC Média dès le 9 avril dans un post intitulé "Changement des patrons à la tête des entreprises de l’Audiovisuel Public…c’est presque maintenant , le Congrès se réunira bien pour  une réforme constitutionnelle à l'été de cette année. 

Claude Bartolone Président de l’Assemblée Nationale, propose de le réunir le 29 juillet prochain.

Selon Le Parisien  :" Les parlementaires devraient repousser leur départ en vacances cette année...mardi soir lors d’un dîner avec les jeunes députés socialistes à l’Hotel de Lassay, Claude Bartolone a avancé la date du lundi 29 juillet pour réunir députés et sénateurs en Congrès à Versailles afin de voter la réforme constitutionnelle. 
A cette occasion, sénateurs et députes siègent en commun, placés par ordre alphabétique dans la salle des séances de l’aile midi du château de Versailles. Pour Bartolone, la lourdeur de l’agenda parlementaire ne laisse guère le choix. Le 26 juillet, tous les textes devraient avoir été votés. Et Versailles ne peut être occupé par les parlementaires qu’un lundi, le seul jour où le site touristique est fermé au public. A l'Élysée, on confirme le choix d’un lundi de juillet, mais la date du 29 n’est pas encore officialisée."

Dans le droit fil de cette annonce, "Challenges" par la plume de Jean-Baptiste Diebold écrit "Schrameck veut que le CSA reprenne le contrôle sur l’audiovisuel public"

Extrait: "Rompant avec l'ère Boyon, le président du conseil supérieur de l'audiovisuel, Olivier Schrameck, prévient qu'il va exercer une tutelle effective tant sur les programmes que sur les finances.


Olivier Schrameck,exerce son droit d’inventaire… à sa manière. Très policée. Le nouveau président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) estime que l’institution a été "un peu retrait" s’agissant de l’audiovisuel public sous la présidence de Michel Boyon, son prédécesseur. Cela va changer. Il souhaite que le CSA "ait explicitement un pouvoir sur le contrat d’objectifs et de moyens (le budget, ndlr) du secteur public et un rôle dans le contrôle de son application"... 

Présent à ses côtés lors d’un colloque du Syndicat interprofessionnel des radios et télévisions indépendantes, le député PS Pierre Assouline estime que les dirigeants de l’audiovisuel public devront être choisis par le CSA avant de voir leur nomination approuvée par le Parlement. "Par consensus, c’est-à-dire avec trois-cinquièmes de votes afin de s’assurer de leur compétence".


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