Ce
n’est pas cette fois-ci pour les
contrats passés sans mise en concurrence avec France Télévisions
société d’Etat entièrement publique, que Bastien Millot comme Guy Alves tous deux
cofondateurs de Bygmalion font l’objet d’une enquête préliminaire du Parquet mais pour ceux conclus avec différents acteurs de l’UMP.
En effet, lesdivers contrats conclus avec
le groupe de télé publique alors que Millot était toujours sous CDI comme directeur
proche collaborateur de Carolis, était les seuls sur lesquels
se penchait le juge Renaud Van Ruybemke dans
le cadre d’une l’instruction suite à la plainte déposée par le SNPCA-CGC pour « délit de
favoritisme, prise illégale d’intérêt et non respect des règles applicables en
matière de passation de marchés publics ».
Il y donc à présent, un nouveau front !
Le parquet de Paris a ordonné, le 5 mars, une enquête préliminaire visant implicitement Jean-François Copé, le patron de l’UMP et les marchés obtenus par la société Bygmalion, en particulier sa filiale Events et Cie, durant la campagne présidentielle 2012 de Nicolas Sarkozy.
Les investigations qui visent à établir d'éventuelles infractions de «faux», «abus de biens sociaux» et «abus de confiance», sont confiées à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales.
Rappelons que c’estle magazine « Le
Point » qui avait le premier, dès le 27
février dernier, parlé de "surfacturation des prestations" de Bygmalion, l’agence
de communication fondée par les deux proches de l''actuel président de l'UMP amis aussi de l’ex ministre du budget à Bercy
et surtout président de la commission éponyme pour l’Audiovisuel.
Lire à ce sujet, l'excellent artilce publié dans l'avant dernier numéro de Marianne "Ils osent tout".
En effet, les
Il y donc à présent, un nouveau front !
Le parquet de Paris a ordonné, le 5 mars, une enquête préliminaire visant implicitement Jean-François Copé, le patron de l’UMP et les marchés obtenus par la société Bygmalion, en particulier sa filiale Events et Cie, durant la campagne présidentielle 2012 de Nicolas Sarkozy.
Les investigations qui visent à établir d'éventuelles infractions de «faux», «abus de biens sociaux» et «abus de confiance», sont confiées à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales.
Rappelons que c’est
Lire à ce sujet, l'excellent artilce publié dans l'avant dernier numéro de Marianne "Ils osent tout".