dimanche 29 mars 2015

Dreyfus, Baldelli, Louette, démentent être candidats...pas Nathalie Collin la nouvelle "favorite" proche de Marc Schwartz (le rapport du même nom commandé par le Gouvernement) !

"Présidence de France Télévisions: Dreyfus, Baldelli, Louette, démentent être candidats contrairement au papier du JDD de ce 29 mars " annonce l'AFP.
 
"Nathalie Collin, directrice générale adjointe du groupe la Poste, jointe par l'AFP, et également citée par le JDD comme étant candidate en duo avec le directeur de Libération Laurent Joffrin n'a pas souhaité faire de commentaires." poursuit la dépêche.
 
Beaucoup des salariés de France Télévisions se demandent qui est cette Nathalie Collin qui visiblement ne connait pas la télé.


En 2011, qui Nathalie Collin rencontrait Claude Perdriel le patron de l'Obs qu'elle rejoignait, à sa demande, en tant que Président du Directoire et dégé du groupe.

Avec Claude Perdriel, dans un contexte économique difficile pour la Presse et les news magazines, elle y a mené un plan de restructuration  pour tenter de redresser les comptes avec le passage en quinzomadaire de TéléObs, la renégociation de l'imprimerie, des départs et une croissance des revenus digitaux. Nathalie Collin a participé aux négociations entre les éditeurs et Google pour obtenir la reconnaissance de la valeur des contenus presse et trouver les voies d'un partenariat commercial et d'une aide à la transition vers le numérique....négociation qu'elle a menée aux côtés de Marc Schwartz nommé médiateur pour ce faire par les pouvoirs publics.

Extrait "Dans plusieurs domaines, d’importantes évolutions sont intervenues au cours de la mission : adoption desnouveaux barèmes de la rémunération pour copie privée, notification d’un nouveau régime de TST-distributeurs, conclusions de la « médiation Schwartz » sur le conflit entre les éditeurs de presse et les moteursde recherche, présentation du rapport sur la fiscalité numérique de madame et Nathalie Collin co-présidente du Nouvel Observateur et Nicolas Colin, inspecteur des finances, etc."

Pourtant, sous la direction général de Nathalie Collin, les ventes en kiosque vont dégringoler, les recettes publicitaire se tarir. Les pertes cumulées seront abyssales. Le journal ne cesse d'être déficitaire.

En 2011, il  frôlé les 3 millions d’euros, 6 millions en 2012  et, on le saura bientôt, 10 millions en 2013, dont la moitié imputés au "Web".

"L’Obs me croque tout" confiera Perdiel plus tard, "je veux bien lui laisser 40 % de mes bénéfices. Mais cette année, il m’en a pris 80 % et l’an dernier aussi."

On se croirait presque à France Télé depuis que Pflimlin y a été nommé par Sarkozy !!!!!!
 
Le 12 mars 2014, au regard de cette descente aux enfers pour le titre de Presse, sa démission de ses fonctions au sein du Nouvel Observateur est actée, alors même que par le trio Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse rachète le magazine  ultra déficitaire, à Claude Perdriel son cofondateur avec Jean Daniel.
 
Chacun a sûrement en tête le communiqué (ci-après) du Nouvel Observateur, diffusé il y a un an à peine en mars 2014, au moment où son patron Claude Perdriel scellait sa vente contraint et forcé alors qu'il n'avait cessé toute sa vie de répéter qu'il ne vendrait Le Nouvel Obs.
  
Communiqué: "Les membres du Directoire du Groupe Nouvel Observateur Laurent Joffrin et Nathalie Collin ont informé Claude Perdriel et les trois associés de LML, Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse, qu'ils démissionneraient conjointement de leur mandat à la réalisation de l'opération d'acquisition du Nouvel Observateur par LML de manière à laisser la place à une nouvelle gouvernance et une nouvelle équipe.
 
Claude Perdriel et les trois associés de LML ont remercié Nathalie Collin et Laurent Joffrin de leur collaboration et de leur travail ces dernières années.
 
Par ailleurs, Claude Perdriel et les trois associés de LML ont indiqué qu'ils souhaitaient que Laurent Joffrin, qui a accompagné le développement du journal depuis 1988, puisse poursuivre sa collaboration dans les pages du "Nouvel Observateur" en tant qu'éditorialiste. Dans l'attente de la nomination d'un nouveau Directoire, Laurent Joffrin garde toutes ses responsabilités à la tête du journal. "

Seul Laurent Joffrin gardait la confiance du journal.

Selon l'AFP donc, "il a indiqué qu'il avait déjà démenti, jeudi, pour sa part "être candidat à la présidence  de France Télé "ce qu'il a du reste réaffirmé, "ni seul, ni sur un ticket à deux", dimanche sur le site du JDD.

L'AFP qui écrit: "Le président du directoire du groupe « Le Monde » Louis Dreyfus, le secrétaire général d'Orange Pierre Louette et le président de RTL Radio Christopher Baldelli, ont démenti dimanche être candidats à la présidence de France Télévisions contrairement à ce qu'affirme le JDD."
 
Nathalie Collin, directrice générale adjointe du groupe la Poste, jointe par l'AFP, et également citée par le JDD comme étant candidate en duo avec le directeur de Libération Laurent Joffrin n'a pas souhaité faire de commentaires....Il a affirmé à l'AFP. "Je suis très heureux à la tête du groupe Le Monde, j'ai le soutien des actionnaires, j'ai encore beaucoup de chantiers à mener et j'ai un mandat qui dure jusqu'à l'été 2019, donc je ne suis pas candidat à la présidence de France Télévisions".
 Actuel secrétaire général d'Orange, Pierre Louette a pour sa part tenu à réaffirmer auprès de l'Agence France-Presse, dont il est l'ancien président, qu'il n'était "pas candidat à France Télévisions". "Je n'ai pas déposé de dossier et je suis particulièrement heureux de faire ce que j'ai à faire auprès de Stéphane Richard (PDG d'Orange, ndlr)", a-t-il assuré.
"Je souhaite beaucoup de bonheur et de chance à ceux qui sont réellement candidats", a-t-il ajouté.
Même démenti "formel" de la part de Christopher Baldelli qui a dit, sur le site de BFMTV, n'avoir "jamais envisagé" être candidat même s'il "reste attaché à France Télévisions pour avoir dirigé pendant plusieurs années France 2".
 
La bataille pour la présidence de France Télévisions s'est précisée ces derniers jours avec les candidatures officielles des PDG de deux grands groupes audiovisuels publics, l'actuel titulaire du poste Rémy Pflimlin et Marie-Christine Saragosse, qui préside France Medias Monde.
 
Plusieurs autres prétendants se sont déclarés, dont Alexandre Michelin, DG de Microsoft MSN pour l'Europe, Didier Quillot, ex-patron de Lagardère Active et d'Orange France, Christophe Beaux, PDG de la Monnaie de Paris et Serge Cimino, délégué SNJ de France Télévisions.
 
L'animateur de D8 et Europe 1 Cyril Hanouna a aussi déposé un dossier de candidature, de même que Nacer Kettane, président et fondateur du réseau Beur FM, et Matthieu Bellinghen, journaliste à France 3 Basse-Normandie.
 
Le 26 mars était la date limite pour le dépôt des dossiers devant le Conseil supérieur de l'audiovisuel.
 
Le CSA désignera le ou la prochain(e) président(e) entre le 22 avril et le 22 mai pour prise de fonction mi-août. Les prétendants ont la possibilité de garder leur candidature secrète.
 
Le CSA en annoncera simplement le nombre mercredi 1er avril."

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