Agnès Saal: le
plagiat de trop qui a fait déborder le vase après les 41.000€ de taxis !
Ce premier weekend de mai, le JDD revenait sur la démission forcée d’Agnès
Saal restée une dizaine des mois seulement à la tête de l’INA.
Le blog CGC Média qui a lu et relu cette enquête du JDD « Dans la pétaudière
de l'INA » avec
le plus grand intérêt, y a cependant découvert en procédant ici et là à
quelques remplacements dans le texte, une situation tout autre mais pourtant
parfaitement comparable…Comment c’est déjà la formule consacrée « Toute
ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne serait que
pure coïncidence ! » ?!
« En vingt-quatre heures, le
sort d'Agnès Saal était plié et la présidente n'a bénéficié d'aucune protection….Femme
de gauche revendiquée, énarque, grande spécialiste du ministère de la Culture, proche des frondeurs, elle avait
été accueillie avec enthousiasme par les quelque 1.000 salariés de
l'Institut….Seulement voilà, son
principal soutien, Aurélie Filippetti, avait quitté le gouvernement un mois
après l'avoir nommée… », écrit le Journal du Dimanche.
Et d’ajouter « Le
1er avril, la nomination d'Agnès
Chauveau aux fonctions de conseillère éditoriale de l'Institut a fait monter la
grogne d'un cran. En janvier,
l'ancienne directrice de l'école de journalisme de Sciences-Po avait perdu son
job après des accusations de plagiat… L'air était devenu irrespirable à
Bry-sur-Marne, le siège de l'INA. »
Le plagiat dont a été accusée Agnès Chauveau
nommée à l’Institut le 1er avril
- sans rire, ce n’était pas un poisson…et puis entre Agnès, il faut bien
s’entraider ! - aurait
donc en plus des presque 41.000 euros de taxis, la goutte d’eau qui a fait
déborder le vase.
Aussi cette idée d’aller recruter quelqu’un
accusé de plagiat donc de
contrefaçon à la tête d’une entreprise publique !!!!
Le titre de Presse dominical insiste également sur « Sa
proximité avec la CGT ». « Sa proximité avec la CGT-Culture, syndicat
souvent majoritaire à Bry, était de bon augure » indique-t-il.
Cette manie des dirigeant de se
rapprocher de la CGT…avant d’être leur
nomination comme une espèce de garantie, pendant leur mandat si long soit-il (éphémère
en l’espèce) mais curieusement jamais au moment où fonctionne le siège
éjectable !!!! L’organisation syndicale de « proximité » explique alors
ne jamais avoir été dupe et ne jamais savoir soutenu la direction....en s'adressant principalement au nouveau venu ou à la nouvelle venue !!!!!
En résumant et pour faire comme un
sorte d’« inventaire à la Prévert » :
- Les virés « Le licenciement en février du directeur adjoint des ressources
humaines qui avait déjà mis le feu aux poudres. D'autant qu'une demi-douzaine
de cadres, dont la directrice financière, avaient déjà été remerciés. Des
départs regrettés et des arrivées redoutées. » (dixit le JDD) ;
- « Sa proximité avec la CGT »;
- Les suppressions de poste annoncées
d’ici 2017…"On redoute des suppressions
d'ici à 2017 sans augmentation des recettes" indiquait Stéphane Baron de la CFDT ;
- Les copinages « Au
fil des mois, les recrutements de la présidente ont déconcerté. Après avoir
appelé à ses côtés en tant que secrétaire général son ancien collaborateur à
Beaubourg, Jean-Marc Auvray, elle a embauché l'épouse de ce dernier, Carole
Thomas. "Le poste de secrétaire général adjoint a été créé pour elle… » ;
- L’absence totale de confiance ;
- Et cerise sur le gâteau, la promotion à la présidence d’un personne accusée de plagiat, aux
fonctions de conseillère éditoriale de l'Institut…
Sur fond de gabegie financière "Après
les affaires Gallet et Saal, les personnels ont le sentiment qu'ils vont devoir
faire des efforts dans un contexte de gabegie générale, ce qui est injuste car
ce ministère n'a pas d'argent" (sic)
Voilà le pitoyable spectacle
auquel assistent impuissants les contribuables français qui s’acquittent d’une redevance
qui augmente chaque année et qui naïvement
pensaient - à l’évidence à tort
- en avoir terminé avec ce genre de
pratiques d’un autre âge !!!!!!!
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