Delphine Ernotte...peu de chance qu'elle soit amie avec NKM sur Facebook !
D'abord après la diffusion du clip sexiste sur France 3 également sur Facebook (retiré ce 7 octobre) dont celle qui a succédé à Pflimlin, prétend n'avoir rien su (*)!!!!
Ben voyons !
(*) A cela deux seules explications face à une nouvelle et consternante erreur de communication.
- Soit, elle ne maitrise rien au sein de l'entreprise, ce qui est dramatique....
- Soit, elle n'est absolument pas solidaire de l'équipe qu'elle a nommé il y a cinq semaines, ce qui l'est encore plus!
Mais avec la lettre ouverte - après celle au vitriol adressée à François Hollande - de Philippe Verdier à Nathalie Kosciusko-Morizet, il y a encore moins de chance que l'ex Orange soit amie avec celle que son chef de service météo étrille publiquement sans réserve ou retenue au nom du groupe de télé publique d'ailleurs "J'ai privilégié l'invitation de mon employeur,
France Télévisions".
La lettre commence ainsi:
"Je ne me permettrai jamais de traiter de "connasse" une femme. Qui plus
est quand celle-ci nourrit des ambitions présidentielles."
Le blog CGC Média qui n'est pas encore revenu du ton de ces deux lettres ouvertes successives, vous propose de découvrir la dernière en date adressée à NKM.
Madame,
Je ne me permettrai jamais de traiter de "connasse" une femme. Qui plus est quand celle-ci nourrit des ambitions présidentielles.
Hier soir, vous avez traité les climatosceptiques de connards dans le Grand Journal de Canal Plus. Vous avez réagi à chaud et les médias rapportent que vous m'avez traité personnellement de connard, ce qui ne m'a pas semblé être le cas.
Ce programme, déserté par le public, vous a présenté mon livre Climat Investigation de manière caricaturale. J'ai refusé l'invitation du Grand Journal au profit de C à vous sur France 5 qui a attiré 50 % de téléspectateurs en plus. J'ai privilégié l'invitation de mon employeur, France Télévisions, et n'ai pas eu le plaisir d'être face à vous hier soir.
Je ne me permettrai jamais de traiter de "connasse" une femme. Qui plus est quand celle-ci nourrit des ambitions présidentielles.
Hier soir, vous avez traité les climatosceptiques de connards dans le Grand Journal de Canal Plus. Vous avez réagi à chaud et les médias rapportent que vous m'avez traité personnellement de connard, ce qui ne m'a pas semblé être le cas.
Ce programme, déserté par le public, vous a présenté mon livre Climat Investigation de manière caricaturale. J'ai refusé l'invitation du Grand Journal au profit de C à vous sur France 5 qui a attiré 50 % de téléspectateurs en plus. J'ai privilégié l'invitation de mon employeur, France Télévisions, et n'ai pas eu le plaisir d'être face à vous hier soir.
Vexée, la production du Grand Journal a moqué mon enquête,
Climat Investigation, pour se venger. Après vingt ans d'expérience à la
télévision, je connais ces méthodes. En général, elles annoncent la fin
d'une émission.
Je relate dans mon livre une histoire commune, le jour où nous étions à Cancún au Mexique dans le cadre de la conférence climatique de 2010. Une interview fut organisée sur les négociations. Vous étiez alors ministre de l'Écologie, et vous avez été prise au piège de l'actualité. Vous avez été attaquée sur les intempéries hivernales qui paralysaient Paris. L'amalgame douteux entre météo et climat est l'erreur la plus fréquente dans les médias.
Je vous envoie ce matin un exemplaire de mon livre pour que vous en preniez connaissance. Ce n'est pas le terme "connard" qui me choque dans votre bouche mais celui de "climatosceptique".
Ce néologisme entre dans le dictionnaire cette année simplement en raison de la COP21. Refuser le débat sur le climat est une erreur politique grave qui nuit à la compréhension du sujet. Mon livre vise à rétablir l'équilibre entre le visage réaliste du réchauffement et tout le bruit qui en est fait.
Je dénonce dans mon livre les États schizophrènes qui alertent du danger par la voix du GIEC, mais restent incapables de prendre les mesures qui s'imposent à eux.
N'est-ce pas ce que vous avez vous même expérimenté lorsque vous étiez aux commandes et que vous avez subitement cessé d'être soutenue par Nicolas Sarkozy ?
Je sens qu'au-delà des rivalités d'ego propre au monde politique, la question du climat vous tient autant à cœur qu'à moi. C'est cette énergie qu'il convient aujourd'hui de faire converger pour sortir d'un débat stérile.
Je relate dans mon livre une histoire commune, le jour où nous étions à Cancún au Mexique dans le cadre de la conférence climatique de 2010. Une interview fut organisée sur les négociations. Vous étiez alors ministre de l'Écologie, et vous avez été prise au piège de l'actualité. Vous avez été attaquée sur les intempéries hivernales qui paralysaient Paris. L'amalgame douteux entre météo et climat est l'erreur la plus fréquente dans les médias.
Je vous envoie ce matin un exemplaire de mon livre pour que vous en preniez connaissance. Ce n'est pas le terme "connard" qui me choque dans votre bouche mais celui de "climatosceptique".
Ce néologisme entre dans le dictionnaire cette année simplement en raison de la COP21. Refuser le débat sur le climat est une erreur politique grave qui nuit à la compréhension du sujet. Mon livre vise à rétablir l'équilibre entre le visage réaliste du réchauffement et tout le bruit qui en est fait.
Je dénonce dans mon livre les États schizophrènes qui alertent du danger par la voix du GIEC, mais restent incapables de prendre les mesures qui s'imposent à eux.
N'est-ce pas ce que vous avez vous même expérimenté lorsque vous étiez aux commandes et que vous avez subitement cessé d'être soutenue par Nicolas Sarkozy ?
Je sens qu'au-delà des rivalités d'ego propre au monde politique, la question du climat vous tient autant à cœur qu'à moi. C'est cette énergie qu'il convient aujourd'hui de faire converger pour sortir d'un débat stérile.
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