Audrey Azoulay réintègre Agnès Saal à son service, au ministère de la Culture.
Oubliés les 6 mois d’exclusion temporaires de la fonction publique prononcés en janvier 2016 par décret présidentiel contre Agnès Saal.
Ce
lundi 4 juillet signe le retour d’Agnès Saal qui estimait être « devenue un symbole d’une
trahison des élites » sous les ors de la République.
Celle
qui doublement condamnée par la justice au terme de procédures de
plaider-coupable, s’était vue infliger par le tribunal de Créteil 4.500 euros d’amende
pour ses frais de taxi à l’INA et 5.500 euros de dommages et intérêts ainsi
que des frais de Justice à l’association de lutte contre la corruption Anticor
mais aussi 3.000 euros d’amendes à Paris avec 3 mois de prison avec sursis pour
des notes de taxi du temps où elle sévissait au centre Georges-Pompidou, est donc de nouveau payée par l’État donc
le contribuable.
Sa
« nouvelle tâche» qualifiée par
le ministère d’« importante »
(plusieurs milliers d’euros par mois) s’inscrit dans « l’effort de moralisation
de la gestion des établissements publics » comme l’est France Télé
par exemple dont il sera question ces jours prochains !
C’est un signe fort que donne ici le
Chef de l’État à tous les contribuables français qui se demandent à quoi
correspondait la formule « tolérance zéro » mise en avant par de dernier dans ses premiers
discours d’investiture !
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