Jean-Louis
Borloo ne rejoindra probablement pas Emmanuel Macron sauf…
Après
l’annonce, ce vendredi 24 février du Parquet National Financier (PNF) de l’ouverture
d’une information judiciaire pour "détournement de fonds publics, abus de
biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d'influence et
manquements aux obligations de déclaration à la Haute Autorité sur la
transparence de la vie publique"(selon le communiqué) comme suite à l'enquête sur les
emplois présumés fictifs dont auraient bénéficié l'épouse de François
Fillon et deux de ses enfants, la campagne pour la présidence de la République
continue de s’enfoncer chaque jour un peu plus dans le grand n’importe quoi.
Quel spectacle donnons-nous à nos voisins
européens et à la communauté internationale ?!
Hier, l’ensemble
des média s’est emballé sur l’invitation
à dîner par Emmanuel Macron candidat à la
présidentielle, de l'ancien chef de file du centre droit, ce dimanche soir, Jean-Louis Borloo.
Il se dit en coulisses que le dîner
pourrait se situer dans le prolongement du déjeuner au Terminus Nord
près de la gare, entre le même Borloo et Jean-Paul Delevoye chargé des
investitures chez Macron…ce dernier n’ayant, semble-t-il, pas réussi encore réussi à le convaincre ;
pourtant certaines « mauvaises langues » affirment que ce serait déjà
fait… sauf !!!!!!
Sauf si
après cette gangue judiciaire tous azimuts qui ne peut que décrédibiliser un peu
plus, celles et ceux qui s’y retrouvent enfermés, un plan A voyait le jour !
Le plaidoyeradressé à François Hollande par la romancière Christine Angot parue dans Le Journal du Dimanche
où elle exhorte le président de la République à se représenter à la présidentielle
pour ne pas laisser la France « se
désintégrer » et aller « dans le mur » : « Vous
ne pouvez pas laisser le pays se désintégrer (…) Vous ne pouvez pas quitter le
navire comme ça. Pas en ce moment. Il faut que quelqu’un fasse quelque chose,
et il faut que ce soit vous. Il n’y a plus que vous. Ayez le courage. Relevez
le gant » ??
Si l’analyse
est juste et sans appel, ils sont de plus en plus nombreux à appeler de nouveau
à un sursaut: un plan A pour justement éviter à la France de « se
désintégrer » et d’aller « dans le mur »…et que les électeurs comme le disent de nombreux commentateurs, aillent voter en se pinçant le nez.
Un plan A !...ni un plan B, ni un plan F.
Un plan A !...ni un plan B, ni un plan F.
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