Field le monsieur info d’Ernotte à la manœuvre…malgré tout, Fillon dévisse !

Field le monsieur info d’Ernotte à la manœuvre…malgré  tout, Fillon  dévisse ! 

Depuis que Christine Angot l’invité surprise de L’Émission politique  du jeudi 23 mars s’est violemment pris le bec avec François Fillon, la polémique ne cesse d’enfler.

Celle qui, dans une lettre ouverte parue le dimanche 26 février dans le JDD, exhortait François Hollande le toujours président de la République à se représenter à la présidentielle pour ne pas laisser la France «se désintégrer» et aller «dans le mur», n’aura pas réussi à faire remonter le candidat LR. 

«Ce qui est remarquable, c’est que nous choisissons des invités surprises hors système, comme Jérôme Kerviel face à Alain Juppé», explique au Figaro, Michel Field le monsieur info d’Ernotte...qui malgré la défiance votée en avril de l'année dernière par 2/3 des journalistes de la rédaction est toujours là.

«On prend juste l’engagement qu’il ne s’agit pas d’un opposant politique caché, mais d’une personne issue de la société civile.» assure Field. Rien de Politique pour celle qui, voilà quelques jours, était décorée par Aurélie Filipetti !

«On se souvient de la tête de Marine Le Pen découvrant Patrick Buisson. C’était intéressant d’avoir le théoricien de l’alliance de la droite et de l’extrême droite face à son invitée alors qu’elle avait Najat Vallaud-Belkacem comme contradictrice. Cela donne une vision à 360°, qui fait sens» ajoute-t-il.

Question « vision à 360° », c’était bien Edgar Faure président du Conseil des ministres en 1952, puis en 1955, sous la IV^e République qui  disait « Ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent »

Si les « choix assumés » de Field avaient eu pour conséquence de faire remonter Fillon dans les sondages pour l’élection présidentielle, c’est Macron qui n’aurait pas été très content. 

Décidément avec le tandem Field/Ernotte, personne ne peut prévoir!

Et dire que certaines mauvaises langues disaient qu’à France Télé, c’était Macron, Macron, encore et toujours Macron, rien que Macron !