vendredi 3 mars 2017

Un nouveau scénario ?! En tout cas pas sans l’Accord de Sarko…Mais qui lui demande son avis ?

Un nouveau scénario ?!  En tout cas pas sans l’Accord de SarkoMais qui lui demande son avis ? 

Alors que « Le Figaro » titrait, le 22 février dernier, « En entrant chez Accor, Sarkozy tourne une page politique » la quasi-totalité des média comme des divers analyses, éditorialistes et chroniqueurs qui s’expriment chaque jour sur les rebondissements quotidiens de cette campagne présidentielle 2017, ne parle que de lui. 

Un nouveau scénario ?! Il était temps. Sarko celui qui n’est plus là mais en réalité est partout, ne serait pas très chaud [c’est peu dire!]  Mais qui lui demande son avis ?   

Un bon verre de Bordeaux ça ne se discute pas...Allez, à la sienne!

L’éventuelle reprise en main du parti Les Républicains après une déroute électorale à la présidentielle doublée d’une claque aux législatives – sur l’air  du «sauveur est de retour » s’éloignerait ainsi à grand pas !

Alors qu’une une grande partie des élus LR qui « considèrent que François Fillon a franchi la ligne rouge en maintenant sa candidature malgré sa probable mise en examen » font défection les uns derrière les autres, que l’UDI a suspendu sa participation et de les dernières projections montrent que « 75% des Français ne veulent plus voir Fillon candidat à la présidentielle », le plan machiavélique de certains de « laisser couler » pourrait bien ne jamais se réaliser. 

Avant de passer à la séquence « politique fiction », la réalité d’un repas sûrement très dur à digérer car le déjeuner entre Sarko et Fillon, il a bien eu lieu. « Les inrocks » le 22 février, en relate plutôt bien la teneur, l’article du « Canard enchaîné » en l’appui : 

Extrait : 

« On sait à peu près tout du déjeuner entre François Fillon et Nicolas Sarkozy, qui a eu lieu le 15 février, grâce au Canard Enchaîné du 22 février. Et les récits respectifs qu’ils en ont fait sont tout simplement savoureux. Première appréciation de Nicolas Sarkozy (qui “gloussait de plaisir” pendant le Penelopegate), après cette entrevue, en guise de mise en bouche : “Il est complètement paumé, l’autre”. “C’est tout juste s’il ne prenait pas des notes” 

Et Sarkozy de se vanter, devant ses amis, d’avoir fait office de spin-doctor de François Fillon, dans la tourmente du Penelopegate : “Il m’a harcelé de questions sur ce qu’il devait faire, c’est tout juste s’il ne prenait pas des notes. Je lui ai dit de saturer l’espace médiatique : une proposition choc chaque jour. Il m’a alors demandé comment couvrir le bruit négatif des juges”.

Autre recommandation de l’ex-président de la République: rénover sa garde rapprochée. Les mots réservés aux collaborateurs de Fillon (une “équipe de nazes”) ne sont effectivement pas doux : Jérôme Chartier (conseiller spécial de Fillon) ? “Nul”. Patrick Stefanini (directeur de sa campagne) ? “Il a le sens politique d’une huître”…. 

“Il a quand même l’expérience de ces problèmes avec la justice” 

Mais le plus drôle est d’avoir l’autre version, celle de François Fillon. Lors d’un repas avec une dizaine de journalistes, il a en effet évoqué sa rencontre avec Nicolas Sarkozy, et s’en est félicité, de manière assez ironique : “Il a quand même l’expérience de ces problèmes avec la justice” (sympa). Et d’ajouter, comme un poignard dans le dos : “Sarko est disponible pour m’aider dans la campagne, mais je ne suis pas sûr d’avoir envie qu’il vienne à mes meetings”. 

En tout cas, François Fillon est confiant dans l’avenir, et attend le 23 février (date du début du dépôt des parrainages) avec impatience : “Et, même si je suis mis en examen, j’irais jusqu’au bout. La justice veut m’accabler. Mais le peuple de droite est en colère, parce qu’on veut empêcher la droite de gagner la présidentielle.» 

« Les Inrocks » ne croient peut-être pas si bien dire ! Mais au fait qui veut vraiment empêcher la droite de gagner la présidentielle?



Fiction gastronomico-politique avec « TOP CHEFS » et l’indispensable ustensile de cuisine adéquat : le Moule à manqué ! 

1°) Une primaire indigeste pour celui qui n’est, aujourd’hui, soi-disant « plus dans le coup » après sa disqualification dès la demi-finale mais se retrouve pourtant à toute les sauces ! 

2°) C’est avec un Sablé (spécialité de la Sarthe) que le finaliste remporte – du gâteau ! –  la manche. Il devait dès lors être promis à un bel avenir. 

3°) C’était sans compter sur la Presse gastronomico-satyrique  qui allait révéler le dessous des précédentes recettes un peu « dures à avaler », restant sur l’estomac et quelque peu dispendieuses pour nombre de français qui ont de moins en moins les moyens de se payer un resto ! 

4°) Puis ce fut le tour des inspecteurs de la «DGCCRF »  Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes de venir mettre leur nez dans les arrière cuisines et d’y constater d’étonnantes pratiques ! 

5°) Certaine recettes allaient les intriguer ; Penelope allait devoir passer à table…rien à voir avec les recettes du blog presque éponyme  « La Table de Pénélope »





6°) Le chef allait vite perdre l’ensemble de ses étoiles et devant tant de révélations, perdre aussi au fur et à mesure sa clientèle. 

7°) Que faire alors ? S’en prendre aux médias spécialisés, aux enquêteurs de la «DGCCRF »; aux juges culinaires (qui accordent les étoiles), aux guides gastronomiques et crier à la machination ! Tout faire pour en pas perdre le lieu ! 

8°) Rien n’y faisant demander conseil à un ex collègue passé chez Accor autour d’un dej…il doit bien avoir quelques tuyaux.

9°) « Et avec le loup, vous boirez quoi messieurs ?  Du Bordeaux » lance le garçon. "Sûrement pas, ça donne des aigreurs" dit l’un…l’autre de préciser "Tu crois,  pourtant il y a du Bordeaux blanc !".... Alors buvons et glou et glou et glou!!!




10°) Et si l’ex collègue de l’infortuné restaurateur qu'il dit par devant vouloir soutenir à bout de bras, n’attendait qu’une petite larme de plus pour porter l’estocade, laissant le mur se rapprocher et le chargeant en fin de compte pour reprendre en sauveur la boutique après la fermeture définitive, tout en criant à la plus mauvaise gestion qui soit !

Redisons-le, un bon verre de Bordeaux ça ne se discute pas et puis ça requinque...

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