Benjamin Maurice va devoir retourner pester dans son ministère de
rattachement et quitter France Télés.
Son investiture par le parti
« La République en marche » avait
été annoncée dans l’Union du 10 mai dernier avec une photo ou posait l’intéressé
style affiche de campagne.
En milieu d’après-midi, la liste des
investitures tombait et il n’y était pas.
Celui qui avait décidé de créer la
surprise pour annoncer son départ de France Télévisions, étant
estampillé par le mouvement devenu parti après la victoire d'Emmanuel Macron,
n’a pas été retenu...Cela ne fait en rien obstacle à son
départ du groupe.
Emmanuel Macron, lui, avait envoyé le mercredi 16 novembre 2016, jour de la déclaration de sa candidature à
l’élection présidentielle, sa lettre de démission à l’Inspection
générale des finances comme il s’y était engagé abandonnant ainsi son statut de fonctionnaire. Benjamin Maurice n'a même pas eu la décence, le temps de ce très abracadabrant épisode de se mettre en réserve de son poste comme cela aurait dû être la moindre des choses mais surtout la règle!
Ce "Sedannais d'origine et marcheur depuis mai 2016" (nous dit un commentaire), énarque et haut fonctionnaire rattaché au ministère de la Santé puis à celui du Travail dont il se retrouve détaché ensuite en janvier 2014 à France Télévisions comme directeur-adjoint au dialogue social puis nommé directeur suite à l’éviction de Murielle Beretti-Charles directrice adjointe aux Ressources Humaines sous Pflimlin, aura beau ne pas vouloir partir…il ne peut rester en place.
Ce "Sedannais d'origine et marcheur depuis mai 2016" (nous dit un commentaire), énarque et haut fonctionnaire rattaché au ministère de la Santé puis à celui du Travail dont il se retrouve détaché ensuite en janvier 2014 à France Télévisions comme directeur-adjoint au dialogue social puis nommé directeur suite à l’éviction de Murielle Beretti-Charles directrice adjointe aux Ressources Humaines sous Pflimlin, aura beau ne pas vouloir partir…il ne peut rester en place.
Il pourra
donc pester à loisir dans son dernier ministère de rattachement celui du
Travail mais son maintien au sein du
groupe de télé publique qui risquait, au surplus, de plomber l’indépendance et
la rigueur prônée par le parti de celui qui a été élu dimanche dernier et dont
la passation de pouvoir est prévu ce dimanche, n’est plus tolérable et ne
peut en aucun cas être toléré.
Il y a des moments où trop c’est trop !
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