Emmanuel Macron, une fois encore accusé de tous les maux par l’ex Orange
qui pense pouvoir se servir des salariés pour se payer le Chef de l’État.
C'est une attaque à deux bandes à laquelle se livre l'ex Orange, persuadée qu'elle va gagner la partie !
« Je ressens l'émotion
qu’ont suscitée tous ces articles critiques à l’égard de l’audiovisuel public… Je
sais qu'il vous paraît injuste que vos efforts ne soient pas perçus par
l'extérieur. » balance d’entrée de jeu dans une missive envoyé
lundi soir aux salariés de Farce Télés – elle se souviendrait donc qu’il en existât
- celle qui parachutée à l’été 2015 sans
aucune connaissance du secteur poursuit
la matraquage médiatique contre le Chef
de l’État et son gouvernement.
« Pour aller plus avant dans la discussion, je vous invite par
ailleurs à un tchat d’ici la fin de la semaine. Les précisions sur le jour et
l’horaire vous seront transmises ultérieurement. » ajoute l’ex Orange qui voudrait faire croire
qu'avec un tchat tout s’arrangerait et que parce qu’elle aurait réuni « les « Top Managers » hier à 15h, ces
derniers la soutiendraient !
Ce n’est bien évidemment pas le cas.
Plus personne ne soutient évidemment – à part une poignée d’indéfectibles
cireurs de pompes - celle qui malgré ses pseudo remerciements n’a fait que
faire plonger le groupe de télé publique depuis son parachutage de Charybde et Scylla.
Comme si la
ficelle n’était pas assez grosse, elle
en rajoute encore mettant à nouveau en cause l’actionnaire et s’affichant comme
le rempart à ses attaques « Depuis deux ans et demi, aucun gouvernement
n'a mis en cause le travail et l’indépendance de nos journalistes. Vous le savez, l’indépendance de notre offre
d’information est l’une de nos plus grandes richesses et je m’en porterai toujours garante. Ce qui nous réunit et nous
mobilise chaque jour, c’est bien ce projet : faire vivre une télévision
publique qui remplit sa mission d’intérêt général, à l’écoute permanente et attentive des grandes évolutions de notre Pays… ».
Elle espère peut-être aussi qu’Emmanuel Macron mange son chapeau en
n’adressant aux élus du CCE que la veille pour le lendemain – en totale violation des dispositions
légales impératives et des règles fixées en interne qui ont force de loi – le projet de budget 2018 pour pouvoir dire le
21 décembre aux administrateurs du Conseil d’Administration qu’il a été
présenté et vu; accusant ensuite l’actionnaire
et ses représentants de l’avoir adopté !!
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