vendredi 10 mars 2017

Caroline Got extrêmement décriée dans ses choix de programmation, prête à remplacer Céline Géraud par Thomas Thouroude pour présenter Stade 2 !


Caroline Got extrêmement décriée dans ses choix de programmation, prête à remplacer Céline Géraud par Thomas Thouroude pour présenter Stade 2 !


Après la décision du tandem Got/Ernotte de supprimer de l’antenne de France 2  son talk-show quotidien «Actuality», il fallait bien trouver un point de chute à l’ex de Canal + Thomas Thouroude qui a, semble-t-il, déjà fait des essais en toute discrétion dans les studios de France Télévisions. 

«Nous continuons à penser que Thomas Thouroude a du potentiel», a déclaré récemment Caroline Got, encore directrice de la stratégie de France Télévisions –pour combien de temps ?  - au Figaro.

Alors tout va bien ! Pas sûr que les journalistes du Service des Sports de France Télé voient les choses de la même manière

Il se pourrait même que Caroline Got dont les échecs d’audience s’accumulent – certes, elle n’a pas eu le choix Ernotte le déplacé pour caser le « Filloniste » Xavier Couture (voir son tweet)  – ne fasse finalement guère de vieux os !

France 3 encore derrière M6 et hier derrière W9 ou encoreTMC.

France 3 avec "Mesrine : l’instinct de mort" a été battu par W9 et le match Lyon / AS Rome, mais aussi par TMC qui diffusait le film "Wolverine : le combat de l’immortel".

TF1 est largement en tête des audiences ce jeudi 9 mars avec "Section de recherches" qui totalise 6,43 millions de téléspectateurs, soit 26,3% de part d’audience: devant M6 second avec "Scorpion" dont les deux premiers épisodes ont totalisé 2,68 millions et 2,36 millions de téléspectateurs, soit 10,9% et 11% de part de marché.

Les fois où les chaines de France Télé arrivent derrière M6 et certaines autres de la TNT ne se comptent plus...mais qu'à cela ne tienne, l'ex Orange après son voyage à Tahiti, elle et sa suite, a semble-t-il décidé de encore claquer un peu plus  fric du contribuable avec un énième séminaire fin mars

Objectif, encore et toujours, donner une identité aux chaines. 

Dire que les français qui dépensent près de 3 milliards par an pour France Télé, pensaient que c’était déjà fait sous Pflimlin mais surtout que ça faisait partie des priorités  la petite vingtaine de pages seulement très aérées d'un projet que le CSA publiait en avril 2015, après le parachutage unanimement décrié.


Ils sont trois à présent, à France Télé, à être de moins en moins "dans les petits papiers"!

Ils sont trois à présent, à France Télé, à être de moins en moins "dans les petits papiers"!

Selon nos infos et depuis que les RH pensaient, à France Télé, avoir pris la main sur tout (ou surtout avoir pris la main, c'est comme on veut ¤) - rien ne pourrait se faire sans passer sous leurs fourches caudines - il semble bien que l'ex Orange ait de plus en plus de mal certains d'entre eux: 

Le DRH Information et Sports, ex Responsable Recrutement, Mobilité et Carrières 
La DRH du Siège de FTV 
mais aussi, semble-t-il, le Directeur Général Délégué RH et Organisation.

La façon dont le trio - ensemble ou séparément - traite (¤ si tant est que le mot soit adéquat !), les problèmes qui s'accumulent tous azimuts dans l'entreprise et les remontées qui s'en suivent, interpelle apparemment de plus en plus. 

Les litiges se multiplient à la vitesse grand V; chacun a l'impression que le temps est suspendu et que plus rien ne se règle, sauf à marche forcée et sans concertation.

(¤) Dernier exemple en date, pour satisfaire un ou deux collaborateurs au sein des servies dRH en mal de "mobilité, la dernière trouvaille:  obliger l'ensemble des personnels dui secteur à formuler au moins deux choix de postes...autrement dit repostuler sur le leur (pour tenter de le conserver) et un autre choix pour mieux les dégager !

Processus totalement illégal qui modifie le contrat de travail et que la CGC Media entend porter devant la Justice 

Le pompon revenant au fonctionnement chaotique de « "Francetv Info:" chaîne new-look ou laboratoire social de France Télévisions? » qui, combien de fois faudra-il le rappeler, n'est pas une entité du groupe mais l'équivalent d'un simple service, où les "burn- out" comme les demandes aujourd'hui  de "changements" ne se comptent plus malgré la V2 (la version 2 de l'organisation de la chaine info)

La palme est sans conteste attribuée aux "bugs" récurrents entre Gilda, le système de prise  en charge des conducteurs pour les différentes éditions, Dalet Galaxie, le système d’exploitation et de fabrication de l’info et Adobe le système de montage sensé être en phase et qui ne l'est à l'évidence pas (pour essayer de vulgariser au maximum), ces trois-là interférant en permanence, un peu comme le trio précité.

Il n'y a pas besoin d'être grand clerc pour comprendre que ce qui s’échafaude presque tout bas aujourd'hui, fasse très prochainement l'objet d'annonces brutales et soudaines (*) 

(*) A France Télé, certains appellent ça, depuis quelque temps "l'uppercut à la Meslet"!  


jeudi 9 mars 2017

Entre 5 et 8,8 millions de pauvres et Julien Dray affirme "Un député a besoin de 9.000 euros net par mois",

A VOMIR..

Il n'y a guère d'autre ressenti possible après la déclaration du socialo-macroniste Julien Dray paru dans Le Point : "Un député a besoin de 9000 euros net par mois".

 Alors qu'il y a entre 5 et 8,8 de français sous le seuil de pauvreté dans le Pays, un bon moyen pour l'ex député de mettre les pendules à l'heure !

Heureusement que la liberté de la Presse existe encore mais pour combien de temps ?

Heureusement que la liberté de la Presse existe encore mais pour combien de temps ?

Les révélations sur les coulisses de ce qui s’est tramé ces dernières semaines sur le rôle joué Nicolas Sarkozy dans l’affaire dite de la candidature Fillon à le présidentielle 2017, font froid dans le dos.

Pas étonnant qu’Alain Juppé ait fait la déclaration qu’il a faite, ce lundi, devant tant de machiavélisme…c’est d’ailleurs le mot qu’utilise V.S.D dans on article intitulé « Sarkozy Son plan machiavélique pour la droite » 

Le titre de Presse n’y va pas par quatre chemins : « Nicolas Sarkozy déteste Alain Juppé qu’il trouve pédant et l’ancien fidèle de Jacques Chirac n’a toujours digéré la trahison de l’ancien maire de Neuilly à l’encontre de son mentor. Sarko méprise son ancien Premier ministre, son « collaborateur » comme il disait autant que François Fillon abhorre le côté parvenu, sale gosse mal élevé de son ancien patron ».

« Le décor est planté » ajoute VSD…C’est le moins qu’on puisse dire. 


Chacun peut, dès lors, imaginer les réactions d’Alain Juppé que certains ont pensé pouvoir humilier et atteindre dans son honneur et sa dignité, qui découvre une telle mascarade et qui, à son âge, n'a évidemment ni l’intention de se laisser dicter sa conduite, ni l’intention de  se laisser imposer ses choix ! 


POUR AUTANT, LES PARAINAGES POUR LE MAIRE DE BORDEAUX CONTINUENT D’AFFLUER ET VONT CONTINUER D’AFFLUER JUSQU’À ATTEINDRE ET DÉPASSER  LES 500 REQUISES … ET SI….
 

Extrait de l’article publié le mercredi 8 mars 2017 à 17:56 


« L'ancien patron de la droite et ex-président de la République souffle le chaud et le froid en coulisses, à l'heure où la candidature de Fillon est plus que jamais mise à mal. Décryptage. 

And the winner is… Sarko.

Jamais un retraité de la politique n’aura été aussi actif. En coulisses, du moins. Désespéré de voir sa famille politique sombrer, l’ancien président de la République tente, depuis une dizaine de jours, de reprendre la main afin d’obliger Fillon à renoncer, tout en flinguant Juppé au passage. Et se retrouver ainsi en mesure d’imposer son candidat : François Baroin. 

Nicolas Sarkozy déteste Alain Juppé qu’il trouve pédant et l’ancien fidèle de Jacques Chirac n’a toujours digéré la trahison de l’ancien maire de Neuilly à l’encontre de son mentor. Sarko méprise son ancien Premier ministre, son « collaborateur » comme il disait autant que François Fillon abhorre le côté parvenu, sale gosse mal élevé de son ancien patron. Le décor est planté. 

Amer et médusé de la victoire de François Fillon à la primaire de la droite et du centre, Nicolas Sarkozy n’hésite pourtant pas à rallier son ancien « collaborateur » plutôt que la maire de Bordeaux.

Sarko considère alors, qu’avec la défaite de Juppé, le « chiraquisme » est définitivement enterré. De quoi sabler le champagne avec Carla. Et lorsque le candidat des Républicains est rattrapé par les affaires et le Penelope gate, Nico se frotte encore les mains. Dans le fond, il considère Fillon comme un looser.

Ses idées sont bonnes, pense-t-il, son programme, valable, mais c’est sa personnalité de Droopy de la Sarthe transformé ces dernières semaines, en Trump de sous-préfecture. 



Les grandes manœuvres vont commencer. Il faut trouver une tête d’affiche sarko-compatible…la sienne a été trop vue.


«Plan B, comme Baroin... 


Avant la conférence de presse convoquée le 28 février par François Fillon, Nicolas Sarkozy voit une ouverture pour faire pression sur son ex-Premier ministre. En coulisse, il agite ses réseaux…. Les défections s’enchainent. Fillon sombre.


A Bordeaux, devant sa télé, Alain Juppé hallucine. Comment Fillon peut-il maintenir sa candidature ? Le maire de Bordeaux ne comprend pas. Il le sait, il le sent : avec le Sarthois, possiblement corrompu, la droite va dans le mur. Juppé ne reconnaît plus sa famille politique. Il est dépassé. Pas suffisamment pour autant pour ne pas prendre son téléphone et appeler — ça lui coute — Sarko. Samedi 4 mars, avec son ancien patron, il partage la même analyse : cela ne peut plus durer ! 


Le plan J. Nicolas Sarkozy ne dissuade évidemment pas son ancien ministre des Affaires étrangères de se poser en recours….Hallucinations, le retour. Devant sa télé, Alain Juppé découvre, juste derrière François Fillon qui, trempé comme une souche, s’époumone à demander le pardon de la foule, François Baroin, qui lui, visiblement au sec, ne peut pas se trouver sur l’estrade sans le consentement de Nicolas Sarkozy. 

Dégouté, écœuré. Lundi 6 mars, Alain Juppé déclare, dans une conférence de presse, que cette fois, c’est fini, définitivement, il ne sera pas candidat à l’Élysée. Cette fois, Juppé et les « juppéistes » sont irrémédiablement relégués aux oubliettes de l’histoire"....!!!

Heureusement que la liberté de la Presse existe encore mais pour combien de temps ?



Heureusement que la liberté de la Presse existe encore mais pour combien de temps ?

Les révélations sur les coulisses de ce qui s’est tramé ces dernières semaines sur le rôle joué Nicolas Sarkozy dans l’affaire dite de la candidature Fillon à le présidentielle 2017, font froid dans le dos.

Pas étonnant qu’Alain Juppé ait fait la déclaration qu’il a faite, ce lundi, devant tant de machiavélisme…c’est d’ailleurs le mot qu’utilise V.S.D dans on article intitulé « Sarkozy Son plan machiavélique pour la droite » 

Le titre de Presse n’y va pas par quatre chemins : « Nicolas Sarkozy déteste Alain Juppé qu’il trouve pédant et l’ancien fidèle de Jacques Chirac n’a toujours digéré la trahison de l’ancien maire de Neuilly à l’encontre de son mentor. Sarko méprise son ancien Premier ministre, son « collaborateur » comme il disait autant que François Fillon abhorre le côté parvenu, sale gosse mal élevé de son ancien patron ».

« Le décor est planté » ajoute VSD…C’est le moins qu’on puisse dire. 


Chacun peut, dès lors, imaginer les réactions d’Alain Juppé que certains ont pensé pouvoir humilier et atteindre dans son honneur et sa dignité, qui découvre une telle mascarade et qui, à son âge, n'a évidemment ni l’intention de se laisser dicter sa conduite, ni l’intention de  se laisser imposer ses choix ! 


POUR AUTANT, LES PARAINAGES POUR LE MAIRE DE BORDEAUX CONTINUENT D’AFFLUER ET VONT CONTINUER D’AFFLUER JUSQU’À ATTEINDRE ET DÉPASSER  LES 500 REQUISES … ET SI….
 

Extrait de l’article publié le mercredi 8 mars 2017 à 17:56 


« L'ancien patron de la droite et ex-président de la République souffle le chaud et le froid en coulisses, à l'heure où la candidature de Fillon est plus que jamais mise à mal. Décryptage. 

And the winner is… Sarko.

Jamais un retraité de la politique n’aura été aussi actif. En coulisses, du moins. Désespéré de voir sa famille politique sombrer, l’ancien président de la République tente, depuis une dizaine de jours, de reprendre la main afin d’obliger Fillon à renoncer, tout en flinguant Juppé au passage. Et se retrouver ainsi en mesure d’imposer son candidat : François Baroin. 

Nicolas Sarkozy déteste Alain Juppé qu’il trouve pédant et l’ancien fidèle de Jacques Chirac n’a toujours digéré la trahison de l’ancien maire de Neuilly à l’encontre de son mentor. Sarko méprise son ancien Premier ministre, son « collaborateur » comme il disait autant que François Fillon abhorre le côté parvenu, sale gosse mal élevé de son ancien patron. Le décor est planté. 

Amer et médusé de la victoire de François Fillon à la primaire de la droite et du centre, Nicolas Sarkozy n’hésite pourtant pas à rallier son ancien « collaborateur » plutôt que la maire de Bordeaux.

Sarko considère alors, qu’avec la défaite de Juppé, le « chiraquisme » est définitivement enterré. De quoi sabler le champagne avec Carla. Et lorsque le candidat des Républicains est rattrapé par les affaires et le Penelope gate, Nico se frotte encore les mains. Dans le fond, il considère Fillon comme un looser.

Ses idées sont bonnes, pense-t-il, son programme, valable, mais c’est sa personnalité de Droopy de la Sarthe transformé ces dernières semaines, en Trump de sous-préfecture. 



Les grandes manœuvres vont commencer. Il faut trouver une tête d’affiche sarko-compatible…la sienne a été trop vue.


«Plan B, comme Baroin... 


Avant la conférence de presse convoquée le 28 février par François Fillon, Nicolas Sarkozy voit une ouverture pour faire pression sur son ex-Premier ministre. En coulisse, il agite ses réseaux…. Les défections s’enchainent. Fillon sombre.


A Bordeaux, devant sa télé, Alain Juppé hallucine. Comment Fillon peut-il maintenir sa candidature ? Le maire de Bordeaux ne comprend pas. Il le sait, il le sent : avec le Sarthois, possiblement corrompu, la droite va dans le mur. Juppé ne reconnaît plus sa famille politique. Il est dépassé. Pas suffisamment pour autant pour ne pas prendre son téléphone et appeler — ça lui coute — Sarko. Samedi 4 mars, avec son ancien patron, il partage la même analyse : cela ne peut plus durer ! 


Le plan J. Nicolas Sarkozy ne dissuade évidemment pas son ancien ministre des Affaires étrangères de se poser en recours….Hallucinations, le retour. Devant sa télé, Alain Juppé découvre, juste derrière François Fillon qui, trempé comme une souche, s’époumone à demander le pardon de la foule, François Baroin, qui lui, visiblement au sec, ne peut pas se trouver sur l’estrade sans le consentement de Nicolas Sarkozy. 

Dégouté, écœuré. Lundi 6 mars, Alain Juppé déclare, dans une conférence de presse, que cette fois, c’est fini, définitivement, il ne sera pas candidat à l’Élysée. Cette fois, Juppé et les « juppéistes » sont irrémédiablement relégués aux oubliettes de l’histoire"....!!!