mardi 9 janvier 2018

Marc Schwartz l’ex financier de Marc Tessier ne sera pas président de France Télévisions, ça c’est sûr !



Marc Schwartz l’ex financier de Marc Tessier ne sera pas président de France Télévisions, ça c’est sûr ! 

Le 6 janvier dernier le blog CGC Média écrivait dans un article intitulé « L’ex Orange continue sa vaine et ridicule propagande sur l’air de France Télés, les résultats sont là !! » : « Comme d’habitude l’ex Orange sort son énième communiqué de propagande sur l’air de France Télés, les résultats sont là et qui c’est le plus fort !?

Histoire de montrer que la situation ne serait pas si catastrophique que certains veulent le dire et aller dans le sens de ceux qui plaideraient encore un peu sa « cause » comme Marc Schwartz ou encore Martin Ajdari tous deux au cabinet de la Ministre de la Culture, l’un comme directeur de cabinet (toujours…ou plus dit la rumeur ?!), l’autre  l’ex argentier de France Télés aujourd’hui à la DGMIC qui dépend donc du ministère !...»

La rumeur semble bien se confirmer. Dans un papier posté ce mardi 9 janvier sur le « Immédias » de Renaud Revel « Réforme de l’audiovisuel public: le cabinet de Françoise Nyssen dans le collimateur de l’Elysée » après l’épisode du « document de travail » fruit visiblement des « réflexions »  du comité action publique « CAP 2022 » qui avait fuité dans la Presse et pour lequel la ministre avait envisagé dans un premier temps de porter plainte avant de se raviser (lire blog CGC Média du 25 décembre 2017) le rôle en coulisses de Marc Schwartz avait été mis en lumière.

Le blog CGC Média renvoyait ses lecteurs, il y a quelques jours, aux quelques lignes du Figaro sur le sujet « Dans les coulisses, son directeur de cabinet Marc Schwartz est à la manœuvre. Il connaît bien France Télévisions pour en avoir été le directeur financier sous la présidence de Marc Tessier de 1999 à 2005. Un Marc Tessier que l'on retrouve au sein de la commission d'action publique, CAP 2022.
Avec Roch-Olivier Maistre, il planche sur la partie « audiovisuel public » de la commission. Enfin, à la tête des services techniques du ministère, la DGMIC, on retrouve Martin Ajdari, ex numéro deux de Radio France et France Télévisions. Avec de tels experts il est impossible de biaiser. Ils connaissent toutes les forces, les faiblesses, les rouages, les blocages et les pages d'économie de la grosse machine… »  

L’article de Renaud Revel (*) semble bien confirmer la volonté du Chef de l’État d’aller vite s’agissant de l’audiovisuel public et plus particulièrement de France Télévisions. Pas questions qu’en coulisse tel ou tel puisse imaginer des scenarii plus proches de petits calculs voués de toute façon à l’échec, moins bien loin de l’intérêt général.    

(*)
« Le lancement de la réforme sur l’audiovisuel public, décidée par Emmanuel Macron, connait ses premières turbulences. En cause à l’Elysée, la faiblesse du cabinet de la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, et l’incapacité de cette dernière à gérer comme il le faudrait un dossier devenu central dans l’esprit du Chef de l’État. 

Voilà plusieurs semaines déjà qu’Emmanuel Macron s’agace du manque de volontarisme et de pugnacité d’un ministère dont le cabinet est dirigé par un ancien responsable des finances de France Télévisions, entre 2000 et 2006, Marc Schwartz, en poste sous les présidences  successives de Marc Tessier et Patrick de Carolis. 

Or ce haut fonctionnaire est aujourd’hui sur la sellette car le courant ne passe pas entre l’Élysée et un ministère appelé à se retrouver en première ligne dans la perspective d’une réforme d’envergure pour un audiovisuel public devenu la cible de très nombreuses critiques. Et ce jusqu’au plus haut sommet de l’État où  Emmanuel Macron flingue à tout-va.
C’est en effet rue de Valois que devrait être rédigé le projet de loi appelé à dessiner les nouveaux contours d’un secteur aujourd’hui dans le collimateur de l’exécutif. Coordinateur du programme Culture et Medias dans le staff de campagne d’Emmanuel Macron. Marc Schwartz en sera-t-il l’une des plumes ? Rien n’est moins sûr: l’Elysée, qui réfléchit à la recomposition d’un cabinet véritable fer de lance de cette réforme, cherche n effet  un nouveau maître d’ouvrage, un autre directeur de cabinet, pour conduire ces travaux. »

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