dimanche 17 novembre 2019

L’étrillage en règle qu’essuie l’ex-Orange sur ses quotas de femmes réalisatrices issues de la diversité, n’est rien par rapport au nouveau scandale qui couve à France Télés !


L’étrillage en règle qu’essuie l’ex-Orange sur ses quotas de femmes réalisatrices issues de la diversité, n’est rien par rapport au nouveau scandale qui couve à France Télés !



Comme l’indiquait, il y a quelques heures, le blog CGC Média dans son article « Ernotte vertement taclée après sa dernière annonce qui ne sert qu’à faire diversion ! », la misandre féministe autoproclamée qui voulait se débarrasser « des hommes blancs de plus de 50 ans » et prône à présent l’instauration de « quotas de femmes réalisatrices…de préférence issues de la diversité sous la présence de « référents harcèlement sexuel » sur tous les tournages d’œuvres de fiction… », peut bien continuer à se faire pourrir de tous côtés * dernière publication en date celle de Boulevard Voltaire, ci-après  le cyclone qui se forme au-dessus de sa tête devrait tout emporter sur son passage très prochainement !  


En un mot comme en cent, cette piètre diversion sera vite mise de côté lorsque les premières bourrasques vont souffler !



(*) C’est un énième coup de boutoir de la bien-pensance, une nouvelle percée du féminisme d’État, une intoxication de plus à la moralité publique : Delphine Ernotte a décidé d’instaurer des quotas de réalisatrices dès 2020 sur les chaînes publiques. À cette mesure de parité artistique vient s’ajouter une disposition qui prêterait facilement à sourire si elle n’était pas une de ces initiatives qui transforment, chaque jour un peu plus, la France en une cour d’assises à ciel ouvert : la présence de « référents harcèlement sexuel » sur tous les tournages d’œuvres de fiction !



À ce propos, plusieurs questions légitimes pourraient se poser si l’on voulait se montrer un citoyen un peu tatillon et exigeant : ces « référents harcèlement » seront-ils également soumis à un contre-pouvoir s’ils venaient à abuser de leur statut et se mettaient à leur tour à se livrer à la bagatelle la plus éhontée ? Disposeront-ils d’un bureau ouvert ou vitré afin de contrôler ce qui s’y passe, au moment délicat de la confession la plus émue ?



Plus sérieusement, il est une chose acquise en ce monde : la passion pour l’égalité est, en réalité, une passion pour la guerre – une guerre totale qui se pare toujours des atours de la vertu. Guerre contre le droit et la présomption d’innocence tout d’abord, consistant à voir derrière chaque vibration humaine un crime potentiel à traquer, une atteinte à la dignité de la personne à débusquer, puisqu’il est désormais avéré que, sur chaque plateau de cinéma, se cache un prédateur sexuel en puissance. Guerre contre la civilisation, ensuite, contre cette joie de vivre dans les rapports hommes/femmes qui constituait un des fondements de notre culture amoureuse et du badinage français qu’on croyait éternel. Guerre contre l’art, enfin, puisque l’art récuse une seule et unique injonction : l’égalité. Par nature, l’art est anti-égalitaire, il est cette force, cette tentation et cette tentative toujours recommencée de se hisser au-delà des foules, sans aucune considération de genre, de sexe, d’âge ou de milieu. Mais Delphine Ernotte s’en fiche. Après tout, cela fait bien longtemps que le service audiovisuel public a abandonné toute ambition artistique. Du moment qu’on a nos quotas, de quoi devrions-nous nous plaindre ?

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