Netflix annonce 6,7 millions d'abonnés en France et Ernotte continue son intox avec Salto, financé en partie par la redevance, encore et toujours reporté.
Elle aurait surement préféré l’ex-Orange
que ces chiffres ne sortent pas maintenant pour continuer son opération d’enfumage
à l’adresse des parlementaires, des politiques, du CSA et autres média qui ont enfin
compris la manip.
Alors
que Reed Hastings, le CEO de Netflix, dans une interview accordée à l'Express,
révèle que le nombre de ses abonnés en France a franchi le cap des 6,7 millions, l’ex-Orange qui est allée dire aux parlementaires de la commission des affaires
culturelles de l'Assemblée nationale, le 8 janvier
dernier, leur a demandé de grouiller le mouvement. Il faut tout « un
arsenal législatif » face à la « guerre culturelle »
que lui mènerait Netflix tous les autres.
Netflix qui avec l’ouverture, ce 17 janvier, d’un nouveau bureau
Paris entre la Madeleine et l'Opéra juste au-dessus du théâtre Édouard VII,
annonce également un investissement de l'ordre de 100 millions d'euros en 2020.
Cette bonne blague !
Le ridicule ne tuant plus, celle dont le parachutage à l’été
2015 fait toujours l’objet d’une instruction judiciaire, voudrait faire
toujours faire gober que son idée [elle prétend en être à l’origine] remettre
les pendules à l’heure face aux Gafas, Apple, Amazon et dernièrement Disney qui
compte déjà plus de 24 millions d'inscrits aux États-Unis et fait un carton avec l’application Disney+ téléchargée plus
de 31 millions de fois rien qu’au dernier trimestre de l’année.
L’ex-Orange l’aurait bien précisé à Franck
Riester comme à Emmanuel Macron, il faudra taxer fort les plateformes SVOD à dominante de séries pour que Salto
qui a déjà coûté des dizaines de millions d’euros de la redevance
que paient les contribuables français puisse exister…
Il faudra même continuer
à banquer jusqu’à la fin de cette année car Salto, ne verrait le jour qu’en novembre 2020 au plus tôt !
Que le privé paie pour un tel projet…C’est son affaire ! En
revanche, que les milliards d’euros destinés à la télévisions publique, servent
à financer (malgré les boniments éculés qui prétendent le contraire !)
ce qui n’est plus qu’une plateforme de « complément »
à d’autres plateforme SVOD, c’est invraisemblable.
C’est bien le terme utilisé par l’ex-Orange qui présentait à l’origine Salto comme
le concurrent français de Netflix et chante à présent que son but n’est plus
que de devenir une plateforme de « complément » à d’autres
plateforme SVOD.
Ernotte qui aura flingué la télé publique n’avait plus que ça pour essayer vainement de faire illusion !
Son calamiteux bilan – l’inventaire de ses déconfitures, serait
plus adéquat – la font passer aujourd’hui pour la pire expérience que France Télévisions
qui aura surement du mal à s’en relever, à dû subir.