samedi 18 janvier 2020

Netflix annonce 6,7 millions d'abonnés en France et Ernotte continue son intox avec Salto financé en partie par la redevance, encore et toujours reporté.

Netflix annonce 6,7 millions d'abonnés en France et Ernotte continue son intox avec Salto, financé en partie par la redevance, encore et toujours reporté.

Elle aurait surement préféré l’ex-Orange que ces chiffres ne sortent pas maintenant pour continuer son opération d’enfumage à l’adresse des parlementaires, des politiques, du CSA et autres média qui ont enfin compris la manip.

Alors que Reed Hastings, le CEO de Netflix, dans une interview accordée à l'Express, révèle que le nombre de ses abonnés en France a franchi le cap des 6,7 millions, l’ex-Orange qui est allée dire aux parlementaires de la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale, le 8 janvier dernier, leur a demandé de grouiller le mouvement. Il faut tout « un arsenal législatif » face à la « guerre culturelle » que lui mènerait Netflix tous les autres.
Netflix qui avec l’ouverture, ce 17 janvier, d’un nouveau bureau Paris entre la Madeleine et l'Opéra juste au-dessus du théâtre Édouard VII, annonce également un investissement de l'ordre de 100 millions d'euros en 2020.

Cette bonne blague !

Le ridicule ne tuant plus, celle dont le parachutage à l’été 2015 fait toujours l’objet d’une instruction judiciaire, voudrait faire toujours faire gober que son idée [elle prétend en être à l’origine] remettre les pendules à l’heure face aux Gafas, Apple, Amazon et dernièrement Disney qui compte déjà plus de 24 millions d'inscrits aux États-Unis et fait un carton avec l’application Disney+ téléchargée plus de 31 millions de fois rien qu’au dernier trimestre de l’année.

L’ex-Orange l’aurait bien précisé à Franck Riester comme à Emmanuel Macron, il faudra taxer fort les plateformes SVOD à dominante de séries pour que Salto qui a déjà coûté des dizaines de millions d’euros de la redevance que paient les contribuables français puisse exister…

Il faudra même continuer à banquer jusqu’à la fin de cette année car Salto, ne verrait le jour qu’en novembre 2020 au plus tôt !

Que le privé paie pour un tel projet…C’est son affaire ! En revanche, que les milliards d’euros destinés à la télévisions publique, servent à financer (malgré les boniments éculés qui prétendent le contraire !) ce qui n’est plus qu’une plateforme de « complément » à d’autres plateforme SVOD, c’est invraisemblable. C’est bien le terme utilisé par l’ex-Orange qui présentait à l’origine Salto comme le concurrent français de Netflix et chante à présent que son but n’est plus que de devenir une plateforme de « complément » à d’autres plateforme SVOD.

Ernotte qui aura flingué la télé publique n’avait plus que ça pour essayer vainement de faire illusion ! Son calamiteux bilanl’inventaire de ses déconfitures, serait plus adéquat – la font passer aujourd’hui pour la pire expérience que France Télévisions qui aura surement du mal à s’en relever, à dû subir.

vendredi 17 janvier 2020

Virginie Sainte-Rose l’ex dircab de Schrameck chargée de la com’ d’Ernotte tente de créer l’État dans l’État.


Virginie Sainte-Rose l’ex dircab de Schrameck chargée de la com’ d’Ernotte tente de créer l’État dans l’État. 

Virginie Sainte-Rose qui dans un premier temps avait été épinglée par la commission de déontologie de la fonction publique après sa nomination à la direction de la communication du France Télévisions pour quelques semaines plus tard y être finalement nommée, tente d’isoler le service communication du siège en le positionnant géographiquement de l’autre côté du périphérique parisien. 

Celle qui est chargée la pathétique com’ de l’ex-Orange à quelques semaines de son départ dont il se murmure, en interne, que nombreux sont ceux qui ne lui parleraient plus  à commencer le Numérobis du groupe, se verrait bien dans le bâtiment EOS que France Télévisions loue une fortune. 

Première phase, histoire de dégouter un peu plus le personnel si besoin était, en poussant l’ensemble des salariés du secteur à postuler sur leur propre poste comme cela a déjà été fait avant dans d’autres services avec une possibilité d’éviction ou de rétrogradation  pour certains, tout ça dans un open-space géant qui enverra en arrêt maladie plus d’un collaborateur. 

Virginie Sainte-Rose pourra donc mener sa barque comme elle le veut…loin de tout !  

Ernotte enchaîne les échecs…et voudrait vainement faire croire le contraire !


Ernotte enchaîne les échecs…et voudrait vainement faire croire le contraire !

Alors que l’instruction judiciaire sur les invraisemblables conditions de son parachutage à France Télés en 2015 sans aucune connaissance du secteur, est toujours en cours, l’ex-Orange qui lors des vœux au siège de l’entreprise disait son intention d’être prolongée continue son enfumage à grande échelle.

Après avoir déclaré à l’adresse du gouvernement en septembre 2015 "Moi ce que je demande c'est fromage et dessert [car] Je n'ai pas aujourd'hui à France Télévisions, les moyens financiers de remplir toutes les missions de service public", puis mangé son chapeau année après année après pourtant avoir servi la soupe à Édouard Philippe à qui elle voit probablement un grand destin, l’ex-Orange voudrait faire croire que le travail ne serait pas fini !   



L’administratrice de Suez à 150.000 euros n’a visiblement pas envie de laisser la poule aux œufs d’or.   


Le travail de sape style France Télécom dix ans plus tôt à l’encontre des salariés du groupe public n’est peut-être pas fini même si bon nombre de collaborateurs avaient déjà négocié leur départ avant l’entourloupe de la  RCC qui prévoyait 2000 départs (600 la première année, 600 la seconde puis 400 et 400 les suivantes)…

Les personnels méprisés comme jamais pour qui les arrêts maladies et les burn-out ont explosé, là aussi il n’est pas fini…il reste un peu de travail pour écœurer la poignée de celles et ceux qui n’auraient pas encore sombré dans l’angoisse et l’inquiétude…

La casse de l’entreprise, elle non plus, n’est pas tout à fait finie…l’audiovisuel public qu’elle a mis au plus bas, n’est pas encore totalement sous terre…il reste effectivement un peu de travail pour l’enterrer définitivement et la faire évoluer de « honte de la République » à « catastrophe de la République »  

La langue de bois tenue en permanence aux parlementaires depuis 2015 comme les salades qu’elle a déversées, elle n’a pas fini non plus de les user jusqu’à  la corde  (enfin plus trop longtemps à présent) faisant croire malgré la propagande incessante qu’elle leur a servie qu’il en reste encore un peu…

Les contribuables et les téléspectateurs elle n’a pas fini de les plumer avec des lancements à l’arlésienne de plateformes de télévisions de rattrapage financées des fortunes sur la redevance – bien qu’elle raconte inutilement le contraire – en imaginant qu’ils iraient s’abonner en payant tous les mois pour voir des programmes qu’ils ne regardent pas gratuitement…

Les quelques naïfs qui n’auraient pas complètement basculés, là encore les visant le travail n’est pas fini,  ils peuvent peut-être encore entendre que la télé d’aujourd’hui est morte et qu’en vérité, le combat serait celui de la télé connectée contre les éditeurs de contenu (affolant…) mais également que les Gafas devraient trembler avec l’arrivée de Salto  (toujours pas lancé et il y a fort à penser qu’il ne le sera pas!)…. Cela même malgré plus de 24 millions d'inscrits aux États-Unis pour Disney -  le service ayant réalisé en un mois ce qu'ils avaient prévu de faire en un an -  et les chiffres  d’adhérents à Netflix, Apple ou Amazon...

L’audience et les programmes qui sont dans les choux (*), elle n’a pas tout à fait fini de les saborder…

Et la liste est longue. 

S’agissant des programmes, le blog CGC Média vous propose de découvrir les quelques exemples suivant qui sont parlants et prouvent le baratin  

(*) Retour sur l’interview du 4 octobre 2019 sur OZAP de la responsable des divertissements qu’a fait venir Candilis Alexandra Redde qui prétendait dans une interview fleuve renouveler le genre à FTV :  https://www.ozap.com/actu/alexandra-redde-amiel-ftv-avec-nos-nouveaux-divertissements-nous-allons-surprendre/584159 (à lire)… 

En poste depuis un peu plus d’un an, on ne peut pas dire que ses résultats soient aux rendez-vous et qu’il y a encore du travail pour vouloir réinventer le divertissement (liste non exhaustive) : 

La Course des champions, le pari raté qui aura couté des millions.

En octobre dernier, La Deux a tenté de créer l'événement avec le lancement de "La course des champions", un jeu sportif en extérieur animé par Olivier Minne , Laury Thilleman , Teddy Riner et Sandy Héribert et produit par Warner. Un grand barnum, adapté du format américain "Million Dollar Mile" - lui aussi, un échec d'audience sur CBS -, qui aurait coûté, la bagatelle de 800.000 euros par épisode à France 2, soit un total de 3,2 millions d'euros pour le pack de quatre épisodes commandés…sans compter les deux suivants qui ont été tournés mais mis en stock. Autant dire que le droit à l'erreur n'était pas vraiment permis.

Et pourtant, "La course des champions" a été un douloureux échec d'audience pour la chaîne publique. À son lancement, le jeu événement a attiré à peine 1,6 million de curieux (8,7% du public de quatre ans et plus). La Deux pouvait tenter de faire bonne figure avec des scores plus encourageants sur les cibles (11,9% sur les FRDA-50 par exemple) mais, la semaine suivante, le deuxième numéro buvait la tasse et se faisait même battre par France 5 avec seulement 1,2 million de téléspectateurs au rendez-vous (6,5% de PDA 4+ et 7,2% des FRDA-50). Pourtant, malgré cet échec, "La course des champions" reviendra en 2020 puisqu'il reste encore deux numéros à diffuser.

Boyard Land, un bilan décevant

Clap de fin pour "Boyard Land" saison 1 sur France 2. La chaîne a diffusé en effet hier le dernier numéro de la première édition de son divertissement produit par ALP, et inspiré par l'univers de "Fort Boyard". Le soir où "Boyard Land", recevait Norbert Tarayre , Bruno Guillon et Rebecca Hampton, l’émission n’a été suivie que par seulement 1,83 million de téléspectateurs, soit 9,8% du public, assurant à France 2 une troisième place derrière "La chanson secrète" sur TF1 et "Commissaire Magellan" sur France 3. La part de marché sur les Femmes responsables des achats de moins de cinquante ans (FRDA-50) s'est pour sa part élevée à 13,4%.

Lancé le 21 décembre, "Boyard Land" affiche un bilan globalement décevant sur les individus de quatre ans et plus. Malgré un démarrage correct devant près de 2,62 millions de curieux (12,3% 4+; 19,6% FRDA-50, en audience veille), la déclinaison hivernale de "Fort Boyard" a continûment perdu du terrain ensuite. Dès l'épisode 2, ils n'étaient ainsi plus que 2,19 millions de téléspectateurs devant leur poste (11,0% 4+; 16,0% FRDA-50; audience veille), puis 2,10 millions (10,0% 4+; 14,2% FRDA-50; audience veille) pour l'épisode 3 une semaine plus tard, avant de diminuer encore pour l'ultime numéro.

En moyenne, les quatre épisodes de "Boyard Land" ont ainsi fédéré en audience veille près de 2,2 millions de fans, soit 10,8% de l'ensemble du public, un score en deçà de la part d'audience moyenne de la chaîne publique. Cette performance est aussi très éloignée de celle réalisée par la marque historique, "Fort Boyard", chaque été en prime time sur France 2. La part de marché de "Boyard Land" sur les ménagères de moins de cinquante ans est meilleure, et s'établit à 15,8%. Un point réconfortant pour France 2 alors que ce nouveau divertissement avait notamment pour mission de rajeunir l'auditoire de la chaîne dans cette case.

La Boîte à Secret, en baisse.

Le 20 décembre, France 3 suit avec le deuxième numéro de "La boîte à secrets", produit par Capa et 13.34 et présenté par Faustine Bollaert. Les surprises réservées à Iris Mittenaere, Florent Pagny et Dave ont séduit 1,45 million de personnes, soit 7,4% du public, en baisse par rapport au premier numéro. Pour son arrivée sur la chaîne le 18 octobre dernier, Faustine Bollaert avait convaincu 1,68 million de curieux (8,8%).

300 Chœurs, France 3 au pied du podium

Le 10 janvier, France 3 proposait, "300 chœurs chantent les plus belles chansons d'amour", un divertissement inédit auquel participaient Isabelle Boulay, Marc Lavoine, Vincent Niclo ou encore Anggun. Au pied du podium, le programme produit par Carson Prod a attiré 1,67 millions de personnes, soit 8,4% des individus de quatre ans et plus (2% FRDA-50). 

Le 20 septembre, "300 chœurs chantent..." avait séduit 1,40 million de curieux (7,8% du public).

Le 22 novembre, France 3 est troisième avec son divertissement "300 chœurs chantent...", présenté par Vincent Niclo. La soirée a été regardée par 2,06 millions de téléspectateurs, soit 9,9% du public.

Rendez-vous avec Julien Clerc

Le 29 novembre, France 3 au pied du podium avec le divertissement "Rendez-vous avec Julien Clerc" produit par DMLSTV. Calogero, Soprano, Marc Lavoine, Slimane, Yannick Noah ou encore Maxime Le Forestier ont accepté de partager la scène avec l'artiste aux 50 ans de carrière le temps d'un prime time. Un anniversaire fêté par 1,61 million de mordus de chanson française (7,8% de PDA).

La vie secrète des chansons, très faible…

Il s’agit du deuxième prime de la saison pour l’émission musicale. Le premier a eu lieu le vendredi 22 mars dernier. Centré sur les titres ayant fait l’objet de diverses reprises, le programme avait attiré 1.3 million de téléspectateurs soit 6.6% du public âgé de 4 ans et plus. La chaîne avait terminé au pied du podium des audiences.

Le 6 juillet 2020, La Vie secrète des chansons (France 3) au pied du podium : 1,222 million de téléspectateurs (7,4 % de PDA)

La vie secrète des chansons diffusé le 28 octobre dernier avait été regardé par 1.47 million d’amateurs, soit 6.7% de part d’audience pour France 3.

Le 31 décembre 2018 le réveillon de France 2 certes plus fort que celui de TF1 mais avec Sébastien…l'an dernier, "Le Grand Cabaret du 31" de Patrick Sébastien avait rassemblé 3,78 millions de téléspectateurs, soit 27,1% du public. En revanche le 31 décembre 2019, France 2 est derrière avec "La chanson française fête le 31", présenté par Faustine Bollaert , Daphné Bürki et Sophie Davant. Le concert enregistré au Dôme du Cirque de Paname réunissait de nombreux artistes pour célébrer les plus belles chansons de l'année, mais aussi pour interpréter les plus grands tubes des années 60, 70, 80 et 90. La soirée musicale a fait chanter 2,85 millions de français jusqu'à 0h25. La part d'audience s'élève à 21,5% sur le public de quatre ans et plus et 16,1% sur les femmes responsables des achats de moins de cinquante ans.

Destination Eurovision revient à un faible niveau…

France 2 suit avec le lancement de la saison 2 de son télé-crochet "Destination Eurovision", animé par Garou et produit par ITV Studios France. Jusqu'à 23h40, la première soirée de ce concours musical a été suivie par 2,14 millions de curieux. La part de marché atteint 11,8% sur l'ensemble du public et 8,7% sur les FRDA-50.

Le 12 janvier 2018, le lancement de la saison 1 de "Destination Eurovision" avait fédéré 2,49 millions de personnes (12,4% du public).

Les enfants de la musique, bas…

Le 17 mai, France 3 est au pied du podium avec le lancement de l'émission "Les enfants de la musique chantent les années 80". Ce nouveau programme produit par EndemolShine France et animé par le duo Bruno Guillon-André Manoukian a intrigué 1,59 million de nostalgiques, soit 8,1% du public (3,9% FRDA-50)

Le 24 mai, France 3 est au pied du podium avec son l'émission "Les enfants de la musique chantent les années 70". Ce programme produit par EndemolShine France et animé par le duo Bruno Guillon-André Manoukian a intrigué 1,77 million de nostalgiques, soit 9,2% du public.

Le 27 décembre, France 3 proposait son divertissement "Les enfants de la musique" incarné par André Manoukian et Bruno Guillon. La soirée à laquelle Dave, Jarry, Amel Bent, Cartman, Marc Lavoine et Vincent Niclo, a attiré 1,53 million de personnes, soit 8,6% des individus de quatre ans et plus.

Le 24 décembre 2019, France 3 talonné par C8 : Un soir de fête avec Roberto Alagna, au pied du podium

France 3 est au pied du podium avec le divertissement musical inédit "Un soir de fête avec Roberto Alagna". Cette soirée musicale produite par Morgane Production et captée au Théâtre Mogador, à laquelle participaient Marina Rekba, Christophe Willem ou encore Claire Keim, a fédéré 1,08 million de Français (9,1% de part d'audience sur l'ensemble du public et 0,6% des FRDA-50).

Cerise sur le gâteau, Candilis lui aussi dans une interview fleuve, annonçant même pour cette formidable soirée de réveillon de Noël « Des propositions très variées comme par exemple la soirée en hommage à Maria Callas avec Roberto Alagna… » démontrant qu’il n’avait  évidemment aucune connaissance de ce qu’il diffuse car il n’avait  jamais été question d’un hommage à Maria Callas dans « Un soir de fête » avec Roberto Alagna construit « à l’occasion de la sortie de son album hommage à Caruso, réunit autour de lui tout un tas d’invités pour redécouvrir les plus beaux airs de sa carrière », et encore moins d’un Roberto à 22h55 dans un documentaire de Tom Wolf « Maria by Callas » moments d’intimité à travers « des films amateurs et des lettres de ses amis pour un retour sur la vie et la carrière de la mythique diva ».

Côté Documentaires divertissement (liste non exhaustive) :

Patrick Bruel entre les lignes, un flop…
Le 1er novembre 2019, Patrick Bruel a eu les honneurs d’un documentaire sur France 3 intitulé Patrick Bruel, entre les lignes. Celui-ci n’a pas soulevé les foules, n’attirant que 1.06 million de passionnées, soit 5.1% des 4 ans et plus.

La saga des feuilletons, France 3 au pied du podium
Le 3 janvier 2020, France 3 proposait, elle, "La saga des feuilletons et des séries", un documentaire inédit qui a attiré 2,04 millions de personnes, soit 10,6% des individus de quatre ans et plus (5,6% FRDA-50)…

Ce ne sont là que quelques exemples que le blog CGC Média met en avant pour montrer aux Français, aux Politiques, aux parlementaires, aux téléspectateurs, aux salariés du groupe qu’il ne suffit pas de prétendre qu’“une envie viscérale de terminer le travail” sur 2 ans vous taraude, juste avant l’hypothétique mise en place en 2021/2022 du holding France Médias chapeautant les quatre entreprises de l'audiovisuel public, pour que de perpétuelles sornettes deviennent des vérités.

etc...