samedi 14 mars 2020

Christopher Baldelli « le patron millionnaire » (*) « ne fera pas acte de candidature » pour France Télés !


« Je n’ai jamais fait acte de candidature où que ce soit » avait déclaré à l’AFP Christopher Baldelli « le patron millionnaire » (*) et ex-bras droit de Marc Tessier, ajoutant à l'époque « Je ne serai pas candidat contre lui » juste avant que le CSA vote contre le renouvellement de ce dernier.


Autrement dit, «je ne me porte jamais candidat où que ce soit… » affirmait celui qui partageait alors avec Michèle Cotta la direction générale de France 2 de 1999 à 2002…


On vient toujours me chercher..semble dire Baldelli. Waouuhhh ! 

Comme l’actuel salaire annuel d’Ernotte payé par le contribuable dépasse les 412.000 euros (¤) hors ce qu’elle touche de Suez  – il parait peu probable que « Christopher Baldelli, le  patron millionnaire de RTL » dont La Lettre A écrivait dans son article (*) « Entre salaire fixe, bonus et prime exceptionnelle, le salaire brut de Christopher Baldelli président du directoire de RTL va largement dépasser 1,1 million d'euros pour 2018 », se contente donc de moitié moins avec France Télévisions mais attende que soit votée par le Parlement la loi sur la création d’une nouvelle ORTF !

(¤)
Viré l’an dernier -  « Les audiences ne sont qu'un prétexte », s'agaçait  un proche Nicolas de Tavernost qui ajoutait « La crise était vive avec l’emblématique patron du groupe » Baldelli pourrait pourtant bien être en embuscade contre l'ex-Orange que « Schrameck and co » parachutait en 2015 à France Télés dans les conditions qui font toujours depuis plus de 4 ans l’objet d’une instruction judiciaire en cours  !

« Le Premier ministre verrait son arrivée d’un très bon œil » confie sous le sceau du secret l’un de ceux qui disent faire partie de son équipe de campagne et finit par lâcher « Il a même le soutien d’un ex-chef d’Etat français » ! 

Alors là...un big bang comme celui-là personne ne l’attendait !




vendredi 13 mars 2020

Le dernier contrat signé entre l’ex-Orange et Nagui (sans vachettes) en suspens !


Le dernier contrat signé entre l’ex-Orange et Nagui (sans vachettes) en suspens !

Les suites de l’épidémie de coronavirus a de multiples répercussions. Alors que les tournages d'Intervilles devaient commencer fin mars, la chaîne a préféré, par sécurité, les annuler.

« Coup dur pour Nagui. L'animateur et producteur travaille depuis des mois sur le retour de la célèbre émission qui devait faire son retour prochainement avec Olivier Minne aux commandes.. » écrit Purepeople.

Les tournages de ses deux quotidiennes N’oubliez pas les paroles et Tout le monde veut prendre sa place que l’ex-Orange a très chèrement payées  certains parlent de sommes indécentes  – ne sont-eux pas suspendus !






jeudi 12 mars 2020

Christopher Baldelli pro Zemmour pourrait faire un nouveau ticket pour France Télévisions !


Christopher Baldelli pro Zemmour pourrait faire un nouveau ticket pour France Télévisions !


« Les bonnes audiences de RTL, la grève à Radio France et le cas Mathieu Gallet, l’avenir d’Eric Zemmour, les raisons de sa "non-candidature" à France Télé » écrivait Alexandre Le Drollec interrogeant Baldelli alors « président du directoire de RTL » invité à s’expliquer.

A quelques tournures de phrases près (*) on se croirait toujours en 2015  [(*) « la grève à Radio France, les mauvaises audiences de RTL, et le cas Delphine Ernotte et toujours l’avenir d’Éric Zemmour, les raisons de la " candidature" à France Télés de l’ex président du directoire de RTL »].

A la question du journaliste alors même que Laurent Ruquier regrettait d’avoir donné la parole à Eric Zemmour «En décembre, iTELE se séparait d’Eric Zemmour. Pas vous. Sera-t-il sur votre antenne à la rentrée ? » Baldelli tonnait « Ceux qui assimilent Eric Zemmour au FN ont tort » ajoutant même « Éric Zemmour est un souverainiste de droite ».

Laurent Ruquier qui avait alors exprimé ses "regrets" de lui avoir donné la parole durant cinq ans sur France 2 et considérait lui aussi avoir participé à "la banalisation des idées du FN" venait ainsi contredire Baldelli, l’ex bras droit de Tessier, qui pourrait bien faire un ticket avec un ex dirigeant de France Télés sous feu Xavier Gouyou-Beauchamps que révèlera bien entendu le blog CGC Média.

Ramzi Khiroun, bras droit de Lagardère crée son agence de communication…


Ramzi Khiroun, bras droit de Lagardère crée son agence de communication…

Ils sont quelques-uns à parler d’une nouvelle ère au sein du groupe Lagardère après la création, il y a quelques jours, par Ramzi Khiroun d’abord conseiller spécial d’Arnaud Lagardère mais aussi et toujours porte-parole, directeur des relations extérieures et membre du comité exécutif du groupe Lagardère, de la SAS AFPEI Agence française de promotion d'événements internationaux.

Certains allant même jusqu’à y voir l’annonce prochaine de son départ du groupe, les deux activités semblant peu compatibles ! 

Après le rachat imminent de Lagardère Studios par Fabrice Larue (*) – l’affaire serait quasiment faite selon nos informations ! – et les bruits qui courent sur la possible vente d’Europe 1, de fins observateurs du secteur y voient le signe d’une nouvelle ère au moment même où Franck Riester flanqué de sa rapporteure Bergé voudrait  faire sauter avec sa loi audiovisuelle tous les garde-fous encore existant.

S’agissant de Fabrice Larue qui faisait partie des fervents soutiens au parachutage d’Ernotte en 2015 et du rachat de Lagardère Studios, le scénario un temps élaboré par une petite poignée de « penseurs » d’envisager pour en prendre la tête Christopher Baldelli dégagé de RTL l’an passé et ex-bras armé de Marc Tessier dont la candidature à France Télés est d’autre part sur toutes les lèvres, pourrait finalement être tout autre.

Takis Candilis le toujours numérobis ernottien qui propose aujourd’hui ses services dans l’autosatisfecit que publie de lui, sur 10 pages le n°70/5622 de Satellifax ce lundi 9 mars 2020 ou encore La Lettre A (ci-dessous), pourrait en fin de compte lui être préféré !


Que chacun se rassure quel que soit le scénario et alors que la télé publique après 5 ans avec l’ex-Orange est subclaquante, le business devrait continuer comme avant avec des contribuables vache-à-lait toujours là pour mettre la main à la poche !




  


mardi 10 mars 2020

Nicolas Coppermann (patron d'Endemol-Shine) pour remplacer Candilis qui lui-même remplacerait Ernotte !?

Nicolas Coppermann (patron d'Endemol-Shine) pour remplacer Candilis qui lui-même remplacerait Ernotte !?

Depuis la grotesque psychanalyse d’opérette à laquelle s’est livré Takis Candilis numérobis ernottien dans la serviette d’Anna Cabana pour sa rubrique « Rendez-vous » dans le JDD, un nom circule à France Télévisions : celui de Nicolas Coppermann patron d'Endemol-Shine.

Les affaires d’Endelmol n’étant pas au top, le nom de Nicolas Coppermann qui le 15 septembre 2018 se félicitait auprès de Benoît Daragon pour Le Parisien de l’annonce de Françoise Nyssen, qui évoquait alors le projet abandonné sous François Hollande, celui d’imposer la redevance à tous les foyers (TV, ordinateur, tablette ou smartphone), tourne en boucle.

La suppression de la taxe d'habitation prévue pour 80 % des foyers en 2020 se profilant, l’intéressé expliquait en total désaccord avec Éric Woerth, le député LR de l'Oise et président de la commission des finances de l'Assemblée nationale : « C'est la bonne fenêtre de tir, il est temps de  revoir le mode de perception de la redevance et  autant revoir en même temps son assiette… », en ajoutant « Il faut donc désormais débattre des modalités de la redevance, de son montant, de son éventuelle mensualisation et des exonérations pour les personnes en difficultés ».

A bon entendeur salut ! 

« On en est où de l’arrivée annoncée de Copperrmann » s’interroge ce directeur qui prend opportunément à présent ses distances par rapport au tandem candilo-ertnottien (ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux, en ce moment, à prétendre vainement ne jamais avoir soutenu l’ex-Orange et ses potes…) et fera le dos rond demain pour conserver sa paie !  
Il est prévu pour remplacer Candilis, le « métèque qui doit prouver qu’il est meilleur que les autres » (c’est lui qui le dit à Anna Cabana) pourrait lui prendre la suite de l’ex-Orange malgré les déclarations qu’il a faites il y a peu !  



Ben voyons…Après la nomination par Ernotte de Takis Candilis qui dirigeait depuis 2016 la fiction à Banijay, le groupe audiovisuel de l’homme d’affaires Stéphane Courbit…ce serait donc un autre ex de chez Courbit (*) qui pourrait prendre la main !

(*) EndemolShine France est la filiale française du groupe de production télévisuelle hollandais Endemol Shine Group, dirigée par Nicolas Coppermann depuis juin 2012…

En 1998, Endemol, groupe de production audiovisuelle néerlandais, décide de s’implanter sur le marché français, en rachetant 50 % du capital de la société de production audiovisuelle ASP Productions de l'animateur Arthur et du producteur Stéphane Courbit

En décembre 2000, Endemol Group devient propriétaire à 100 % d'ASP Endemol[6]. En janvier 2001, la nouvelle entité acquise par Endemol Group devient Endemol France. Stéphane Courbit est alors nommé président de la filiale. En 2001, la société crée l'évènement en produisant la première émission de télé-réalité pour M6, Loft Story. L'émission est programmée en face d'émissions produites également par Endemol (Exclusif et Le Bigdil)[6]. L'activité des différentes sociétés du groupe atteint un volume horaire hebdomadaire de 32 heures sur les chaînes hertziennes en 2002.
En 2001, Patrick Le Lay, alors PDG de TF1, signe un contrat d'exclusivité avec Endemol pour racheter les droits concernant toutes les futures émissions de télé-réalité produites par Endemol.
En 2007, Stéphane Courbit quitte la direction d'Endemol France et revend ses parts au groupe Endemol » …[« 

Le blog CGC Média vous renvoie également à l’article de Libération du 25 février 2018 signé Jérôme Lefilliâtre, concernant l’arrivée décriée de Candilis : 

Extrait 

« La nomination du nouveau numéro 2, qui entre en fonction (à France Télés, ndlr), a été accueillie avec hostilité. Le producteur de «Borgia» doit mettre en place une organisation «transverse» de la fiction…
Takis Candilis n’a pas encore passé une journée complète à France Télévisions comme directeur général délégué à l’antenne et aux programmes pourtant dans le milieu culturel, les flingues sont déjà sortis contre le nouveau numéro 2 de l’entreprise publique… 

Le ton est donné par Pascal Rogard, mitrailleur en chef de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques : «Takis Candilis, je l’appelle le Grec qui parle anglais. A cause de Borgia [série produite par Candilis et tournée dans la langue de Shakespeare, ndlr]. Borgia, c’est trois minutes de violence, cinq minutes de sexe, trois minutes de fausse politique.»…

«Tout le monde est sidéré par cette nomination, râle un producteur bien connu dans le milieu culturel, sous couvert d’anonymat. Takis connaît bien la télé mais il n’a pas brillé par une qualité de fiction extraordinaire. Il a fait des choses très formatées.» Et cette personnalité très remontée, qui va jusqu’à parler de «trahison», de lister les défauts du personnage : il s’entourerait exclusivement d’hommes à lui, black-listerait les producteurs qui ne lui reviennent pas, imposerait sa femme (la comédienne Babsie Steger, qui a joué dans Borgia notamment) au casting de ses séries… «C’est d’autant plus inquiétant qu’il va avoir la main sur tous les programmes. On se retrouve avec un guichet unique», poursuit cette source… »

Avec de tels scénarii, la question première qui se pose c’est de savoir si le Service Public de l'audiovisuel va continuer à être la vache à lait pour une poignée de producteurs extérieurs et rester la honte de la République ?    

lundi 9 mars 2020

Et si “la honte de la République” était aussi au Parlement?

Et si “la honte de la République” était aussi au Parlement?


C’est une interview hallucinante qu’a donnée Aurore Bergé au Figaro concernant le projet de loi audiovisuelle que Franck Riester voudrait faire avaler au Parlement. 



Ce qui m’importe, explique - sans rire - la députée LREM “c’est de faire passer ma loi avant l’été” oubliant au passage qu’elle n’en est que rapporteure et n’hésitant pas de taper sur le ministre à la moindre occasion.


A l’Assemblée, la députée LaREM qui insupporte maintenant au plus haut point, laisse même entendre avec ses choix qu’ils seraient ceux d’Emmanuel Macron !!!


Interrogée sur la candidature à sa propre succession de Delphine Ernotte, Aurore Bergé a indiqué minablement "Je ne préjuge pas de la décision du CSA mais il ne serait pas inutile d'instaurer de la stabilité à un moment de grand chamboulement de l'audiovisuel public". 



Quant au holding France médias qui va regrouper France Télévisions, Radio France, France Médias Mode et l’INA, Aurore Bergé a bien confirmé qu’il serait mis en place “dans une logique de convergence afin de créer des synergies et des missions communes majeures comme l’information”...ce qui correspond à une fusion des sociétés.  



N’y-a-t’il personne pour la faire taire ? 



Un constat s’impose après de tels propos indignes de la Représentation nationale, c’est que “La honte de la République” qu’évoquait le Chef de l’État, ne se limiterait donc pas qu’à France Télés. 


Élections municipales a minima sur France Télés…


Élections municipales a minima sur France Télés… 

Pour les élections municipales, pas d’équipes France 2 et France 3 sur un même lieu.
« C’est comme ça et ce n’est pas autrement » a prévenu la direction de l’info…

« Une seule équipe pour tourner qui ensuite montera un sujet pour La Deux et un autre sujet pour La Trois…» serinent à l’envi les lieutenants ernottien au sein des rédactions y compris celle de franceinfo : en total surchauffe où les burn out et autres arrêts maladie ne se comptent plus.

Les bruits de plusieurs motions de défiance contre les donneurs d’ordre mais aussi à l’encontre de Fabien Tormos rédacteur en chef adjoint et chef du service Journalistes reporters d'images (JRI) et Guillaume Barbier le chef du service Journalistes reporters d'images (JRI) de France 3, se font des plus insistants.

« Le décryptage, le recul et lanalyse indispensables à une information sérieuse, vérifiée, de service public »  dont n'a cessé de se vanter l’ex-Orange, a ses limites !