samedi 17 octobre 2020

Molotov continue son expansion…Salto a déjà tout faux !

Molotov continue son expansion…Salto a déjà tout faux !

Molotov qui propose GRATUITEMENT toute la télé dans son App :

- Diffusion en direct de 36 chaînes télé dont toutes les chaînes de la TNT (liste en fin de post)

- Nombreux replays (voir la liste des chaines proposant la fonction replay)

- Fonctionnalités spécifiques comme la mise en pause ou la reprise au début d'un programme, là où on l’avait arrêté avec les fonctions avancer ou reculer…» vient d’annoncer se développer encore. (*)

Créée il y a seulement trois ans, la plateforme de SVOD Molotov qui affiche un nombre de 12 millions d'utilisateurs enregistrés, fait ces annonces au moment où Salto le service de SVoD (TF1, M6 et France TV) communique sur les trois forfaits distincts qui, eux, seront payants :

Premier forfait proposé à partir de 6,99 € par mois qui permettra de voir les programmes de la plateforme sur un seul écran.

Il faudra débourser 9,99 €/mois pour l’offre « Duo » et deux écrans.

Enfin, le forfait « Tribu » qui moyennant 12,99€/mois permettra d'utiliser le même service sur quatre écrans…

Pas le moindre contenu « original » à court terme pour cette télé de rattrapage !

Rien à voir avec un « Netflix à la française » comme l’ex-Orange voulait le faire croire et encore moins avec Molotov dont la gratuité ne cesse de séduire. En plus de cela, Salto ne vise à se positionner sur un public français et exclusivement français, à l'inverse de Netflix, Disney+, Apple TV+ ou Amazon Prime Vidéo principalement .

Chacun imagine aisément les réactions des internautes déjà pliés de rire… Deux exemples suffisent à résumer l’accueil:

SALTO…Mdr

Ne t’enflamme pas, grâce à notre fantastique chronologie des médias, tu pourras voir les inédits sur tous les autres média, supports bien avant qu’ils arrivent sur Salto.

Nombreux sont ceux qui s’interrogent « Reste à savoir si les Français seront réceptifs à cette nouvelle plateforme de streaming "la française"… ».

Puis il y a la majorité de tous ceux qui n’y croient pas et ne voient pas l’intérêt  comme Pierre-Etienne Pommier ex-candidat à la présidence de France Télés qui a participé bien malgré lui, à cette mascarade de juillet dernier qui fait  aujourd'hui l’objet d’une demande d’annulation et voit comme une erreur stratégique, la participation de France Télés à Salto qui en rejoignant la plateforme payante, affaiblit le modèle d'un service public déjà financé par l'impôt payé par les français qui auront l'impression de payer deux fois."

(*)

Au premier semestre 2020, la plateforme recensait « 1,5 millions d'utilisateurs en plus et + 57 % de temps passé sur l'application ».

Le site internet « Clubic » écrivait, il y a quelques jours « Fort de ses succès, le groupe a lancé une nouvelle filière, Molotov Solutions. Celle-ci vise à accompagner des entreprises dans la création de leur propre plateforme de vidéo mobile. Le partenariat avec le groupe Trace semble, à notre connaissance, être le premier gros contrat obtenu par cette nouvelle filière…

Pour la première fois, le groupe va lancer une plateforme OTT – une plateforme de streaming mêlant vidéo à la demande, chaînes de télévision, radios, etc. Celle-ci, développée par Molotov Solutions, sera lancée au printemps 2021 et disponible en français, anglais et portugais dès les premiers jours.

La chaîne des cultures afro-urbaines Trace va lancer une nouvelle application mobile pour regarder ses contenus : TracePlay. Celle-ci sera développé par Molotov Solutions, la filière technologique de l'application de VoD Molotov.

Trace Play va agréger 25 chaînes de télévision en direct, une centaine de chaînes de radios et de très nombreuses heures de contenu à la demande. Elle sera disponible en plusieurs langues à son lancement...

La plateforme sera distribuée dans 180 pays, en particulier en Afrique mais aussi en Europe et en Amérique, du Nord et du Sud. Elle promet 25 chaînes en direct, 100 chaînes de radio et « quelque 1 000 heures de contenus à la demande »

vendredi 16 octobre 2020

Enième scandale à France Télés sur fond de conflit d’intérêts majeur.

Enième scandale à France Télés sur fond de conflit d’intérêts majeur. 

Le blog CGC média le révélait en exclusivité mercredi 12 octobre dans son post intitulé « Jacques Denoyelle directeur associé chez SECAFI pourrait devenir directeur du dialogue social et de la politique salariale chez France Télévisions ?! Un scandale.... », Stéphane Chevallier qui « officiait depuis 1999 au sein de l'audiovisuel public français », s’est donc fait éjecter.

« Il ne fait pas partie de la nouvelle équipe DRH mise en place par Laurence Mayerfeld » écrit le titre de Presse qui ajoute « Alors qu'Arnaud Lesaunier [nommé après sa récente condamnation…voir fin de post, ndlr ]  (*) bascule sur les filiales France.tv studio/France TV distribution et cède sa place de DRH à Laurence Mayerfeld en provenance de la direction de France 3, le groupe verra le départ de Stéphane Chevallier fin octobre » indique aujourd'hui  La Lettre A. 

Comme quoi dans l’audiovisuel public, on peut être condamné par la Cour de discipline budgétaire et financière de la République et être promu juste après pédégé  (*)

Comme si cela ne n’était déjà pas assez grave, voici que l’ex-Orange dont les conditions de désignation en 2015 mais également la décision du 23 juillet dernier, font l’objet à présent de deux procédures, une instruction judiciaire pendante depuis septembre 2015 et une nouvelle saisine déposée en septembre dernier, recrute comme nous l’avions indiqué, Jacques Denoyelle un directeur associé du cabinet Secafi pour succéder à Stéphane Chevallier comme directeur du dialogue social et de la politique salariale.

« Ce serait là un conflit d’intérêts majeur que beaucoup devraient évidemment dénoncer voire poursuivre en Justice si la manœuvre venait à se confirmer » écrivions-nous il y a deux jours – et c’est assez logiquement ce qui sera fait – car la boite de Conseil où ce monsieur sévissait, extrêmement proche de la cgt France Télés qui l’a employé à toutes les sauces dans l’intérêt des salariés (la formule consacrée !!!!!) en étant supposé les conseillers et qui se retrouve à présent à agir dans l’intérêt de la direction.

"C'était déjà le cas avant, personne n'est dupe" nous glisse ce haut cadre médusé de constater chaque jour un peu plus, les coups tordus de cette gouvernance...Vous savez, la fameuse "HONTE DE LA REPUBLIQUE" que dénonçait pourtant Emmanuel Macron !

Encore très récemment, le blog CGC Média – documents à l’appui   publiait un article intitulé « Troisième relance de Sécafi pour répondre à leur étude sur le télétravail voulue par CGT et qu’Ernotte fait finalement payer deux fois aux contribuables ! » s’agissant des  nombreuses missions que lui confiait l’organisation pro ernottienne payées évidement avec les deniers publics donc par le contribuable

Cela dit, c’est sans doute cela qui aurait coûté son poste à Stéphane Chevallier qui était de moins en moins enclin, selon plusieurs sources, à favoriser les soutiens d’Ernotte en permanence ?!

Le blog CGC Média vous propose de découvrir un large extrait de l’article de La Lettre A publié ce jour

« Delphine Ernotte, aurait recruté un directeur associé du cabinet Secafi, Jacques Denoyelle, pour succéder à Stéphane Chevallier comme directeur du dialogue social et de la politique salariale. Un poste hautement stratégique alors que plusieurs dossiers seront en discussions, en particulier concernant le déploiement du groupe en région…. Delphine Ernotte, revoit entièrement son service des ressources humaines pour entamer son second mandat. Alors qu'Arnaud Lesaunier bascule sur les filiales France.tv studio/France TV distribution et cède sa place de DRH à Laurence Mayerfeld, en provenance de la direction de France 3, le groupe verra le départ de Stéphane Chevallier fin octobre.

Ce dernier était directeur du dialogue social et de la politique salariale depuis 2017. Il assurait également la présidence du comité social et économique (CSE) du siège. Un connaisseur des télécoms, ancien secteur d'Ernotte. Stéphane Chevallier, qui officiait depuis 1999 au sein de l'audiovisuel public français, ne fait donc pas partie de la nouvelle équipe DRH mise en place autour de la journaliste Laurence Mayerfeld.

Ses fonctions devraient être confiées à Jacques Denoyelle, directeur associé chez Secafi, cabinet spécialisé dans l'expertise, l'assistance et le conseil auprès des instances représentatives du personnel.

Son arrivée a été évoquée en interne le 13 octobre par la nouvelle DRH et devrait être officialisée la semaine prochaine. Un recrutement qui interpelle en interne alors que Jacques Denoyelle a mené, à de nombreuses reprises - et encore très récemment -, des missions chez France TV pour le compte de Secafi.

Jacques Denoyelle est également en charge des télécoms chez Secafi, l'ancien secteur d'activité de Delphine Ernotte. Cette dernière a officié de 1989 à 2015 chez France Telecom/Orange, y occupant le poste de directrice générale à partir de 2011. Refondation du réseau France 3…

Outre la RCC rupture conventionnelle collective [un fiasco soit dit en passant, ndlr] mise en œuvre jusqu'à fin 2022 et qui vise 2 000 départs, le futur directeur du dialogue social sera à la manœuvre dans les discussions relatives à la stratégie de régionalisation… »

Il convient de rappeler qu’en cas d’annulation, toutes les nominations et autres décisions prise depuis le 24 août seront, de facto, annulées.

 (*)




Mélenchon remonté contre l’ex-Orange et France Télés.

Mélenchon remonté contre l’ex-Orange et France Télés.

Le chef de file de La France Insoumise qui devait participer, ce jeudi 15 octobre, à l'émission politique « Vous avez la parole » sur France 2, a fait savoir juste avant l’émission qu’il renonçait à y participer.

Voici ce que l’intéressé a publié un peu plus tard sur son compte Facebook : «Un changement dans l'organisation de l'émission de France 2 me conduit à renoncer à ma participation à cette émission.

Cette émission était une demande de France 2. Un déroulement était prévu. Je devais faire l'ouverture pour répondre à Macron d'hier soir. Un autre s'est mis en place en dernière minute. France 2 dit que c'est à la demande du ministre Véran. Je ne le crois pas. C'est le résultat de la pagaille et des mauvaises pratiques de cette équipe dont tous les politiques invités se sont plaints.

Les émissions politiques doivent respecter leurs invités. Sur le service public, les opposants aussi ont des droits. Castex, Macron, Véran à la suite sur France 2. Nous ne sommes pas leur décor.»

Les deux journalistes Léa Salamé et Thomas Sotto ont donné en direct leur explication. «On aurait dû donner la parole à Jean-Luc Mélenchon», a indiqué Léa Salamé avant que Thomas Sotto ne poursuive  : «Il aurait dû être notre invité, mais il y a un peu plus d'une heure, le leader de La France Insoumise a exigé que vous (Olivier Véran) quittiez le plateau pour intervenir car il ne voulait pas débattre avec vous. C'est une condition dont il n'a jamais été question. On a établi des règles très claires avec lui. Il est évident que nous gardons la maîtrise éditoriale de l'émission».

Jean-Luc Mélenchon s’est, cette fois-ci, fendu d’un tweet (ci-après) semble-t-il assez parlant !

Conclusion de l'intéressé à nouveau sur les réseaux sociaux...



Roselyne Bachelot ne passera probablement pas une nouvelle nuit blanche : il n’y aura pas d’assouplissement au couvre-feu.

Roselyne Bachelot ne passera probablement pas une nouvelle nuit blanche : il n’y aura pas d’assouplissement au couvre-feu.

La ministre de la culture se confiait, hier au Parisien avouant «  avoir passé une nuit blanche, à réfléchir aux moyens d'amortir le choc pour le monde de la culture, après l’annonce mercredi soir par le chef de l’État du couvre-feu ».

Ce matin sur BFM T Bruno Lemaire le ministre de l’Économie et des Finances, invité de Jean-Jacques Bourdin, a déclaré que la même règle devait s’appliquer à tous les professionnels concernés, notamment ceux qui relèvent du ministère de la Culture (théâtres, concerts, festivals, cinémas) mais pas que…et qu’il n’était pas question de tranche horaire distinctes par secteur entre 21h et 6h.

Roselyne Bachelot qui se plaçait en «médiatrice entre le monde de la culture et le gouvernement », a donc essuyé ce matin une fin de non-recevoir.

jeudi 15 octobre 2020

TF1 leader sur l'interview d'Emmanuel Macron

Il n'y a pas photo...Les audiences du 20h-21h de ce mercredi 14 octobre 2020 où Emmanuel  Macron intervenait pour le couvre-feux pour une vingtaine de millions de Français sont tombées.

Elles montrent si besoin était que le JT de TF1 présenté par Gilles Bouleau est très très loin devant celui de France 2 d'Anne-Sophie Lapix. Pas loin de 3 millions de téléspectateurs  d'écart.

Interview d'Emmanuel Macron sur TF1 - Gilles Bouleau : 11,89 millions (40,2%).

Interview d'Emmanuel Macron sur France 2 - Anne-Sophie Lapix 9,03 millions (30,5%).

Les audiences des chaînes d'information en continu sur lesquels l'interview a également été retransmise, seront publiées à 11h.




La ridicule bouffonnerie qui s’est déroulée au sein de la télé d’État syldave fera évidemment de nombreuses victimes collatérales.

La ridicule bouffonnerie qui s’est déroulée au sein de la télé d’État syldave fera évidemment de nombreuses victimes collatérales.

Depuis la publication mi-août du premier épisode de cette saga Syldavo-Bordure que le blog CGC Média a choisi de publier « Le "gros boum" de la télé publique n’aura pas lieu ! », le feuilleton devrait continuer à s’étoffer avec de nombreux rebondissements à couper le souffle.

Le troisième volet intitulé « La saga Syldavo-Bordure (ter) ou la consécration de l’homme par qui le scandale arrive ! » avait déjà tenu toutes ses promesses mais le quatrième opus qui met encore plus en lumière les basses manœuvres du chef du Conseil Audiovisuel Syldave (le CAS), devrait encore tenir ses fans en haleine.

Sans trop déflorer l’intrigue qui risque fort de tourner vinaigre pour les esprits tordus qui ont cru pouvoir la mettre en œuvre impunément, les révélations ne devraient pas manquer dans les prochains épisodes.

On apprendra par exemple comment, le plus immoralement qui soit, le chef du CAS (Conseil Audiovisuel Syldave) a sondé son collège pour savoir comment il se comporterait et pour agir en conséquence au cas où il ne serait pas suivi !

Rappel sommaire des épisodes précédents sur ces problèmes en matière de télé d’État auxquels « nos voisins syldaves sont confrontés ».

Le 18 août dernier, le blog CGC Média dans son post « Le "gros boum" de la télé publique n’aura pas lieu ! » vous contait l’histoire de cette de ce petit État d’Europe orientale, qui avait annoncé réformer sa télévision publique pour cause « d’indignité républicaine » et voulait provoquer une telle déflagration dont le peuple syldave n’allait pas revenir !

« La Syldavie voisine de la Bordurie, ne sort pas grandie de cette pitoyable mascarade dont chacun pouvait croire qu’elle était d’un autre temps mais qui au bout du compte ridiculise la parole présidentielle comme elle plombe pour longtemps la télé publique syldave qui avait Impérativement besoin d’évoluer avec son temps » écrivions-nous.

Le 22 septembre, suite de la saga syldavo-bordure avec un nouveau post « Ça barde en Syldavie...le scandale de la télé publique pourrait bien éclabousser jusqu'au chef de l'État ! ». Le titre à lui seul n’avait guère besoin d’être explicité.

Aujourd’hui, deux camps s’affrontent. Il y a ceux qui pensent que le Chef de l’État syldave ne voulait pas s’en mêler, au mieux a tourné la tête pour ne pas voir vraiment ce que certains de ses proches tramaient en son nom et ceux qui disent que c’est impossible, que jamais un Président en Syldavie, ne serait resté en dehors du coup bien au contraire !

Sinon expliquent-ils très logiquement, notre homme à la tête du CAS ne se serait pas vanté d’avoir écrit au Premier ministre syldave pour discuter de sa nomination à la présidence de l’ECRAN comprenez l'Établissement de Contrôle Républicain de l’Audiovisuel National - la nouvelle instance que le gouvernement avait imaginé créer fusionnant le CAS Conseil Audiovisuel Syldave et l’AGONI Autorité de Gestion des Œuvres Numériques et Intellectuelles ! (lire « La saga Syldavo-Bordure (ter) ou la consécration de l’homme par qui le scandale arrive ! »)

Il faut dire qu'il y a eu déjà de quoi pimenter notre action ! Des lièvres en guise de pseudo participants avec un ordre de passage bidon, un ou deux coups de téléphone discrets avant un déjeuner collégial, « l’idée deux jours avant le dénouement de l’invraisemblable mascarade, d’un diner à l’initiative d’une représentante du peuple présidente de commission de la Haute Chambre syldave avec une demi-douzaine de convives dont entre autres le président du CAS, une productrice ex-membre de l’instance, un producteur en activité dont beaucoup croyait qu’il roulait pour un autre candidat…Bref des pros du secteur amenés à échanger sur ce que sera la télé pour les années à venir avec la même présidence ! » et tout le monde n’y verrait que du feu !

C’est mal connaitre les sujets syldaves qui n’aiment pas qu’on les prenne pour des andouilles! 

«Le 2 octobre fut l’occasion d’un « troisième épisode de ce feuilleton qui a tenu nos lecteurs en haleine cet été et qui, loin d'être terminé, devrait continuer quelques semaines encore à passionner jusqu’à la déflagration finale » indiquions-nous encore, ajoutant « Le Président de ce petit État d’Europe orientale, bien mal aujourd’hui, pourrait payer très cher et très vite cette pathétique farce médiatique … ».

« ll ne bougera pas » commentent plusieurs de nos lecteurs quand d’autres imaginent qu’« il ne va pas d’autre choix de faire stopper au plus vite cette farce » avant qu’elle ne le lui colle définitivement aux basques et compromette radicalement les chances de réélection qu’il ambitionne.

Loin de nous l’idée de divulgâcher la série, comme on dit dans le Larousse depuis 2019 mais un indice pourrait toutefois mettre nos lecteurs sur la voie :  L’affaire est loin d’être classée  !

mercredi 14 octobre 2020

Sibyle Veil fait du Ernotte...elle licencie mais étoffe sa garde rapprochée !

Sibyle Veil fait du Ernotte...elle licencie mais étoffe sa garde rapprochée !

C'est encore Le Canard enchainé de ce14 octobre qui révèle la nomination intervenue, cette fois-ci à Radio France (en règle général, c'est plutôt France Télés). 

Sibyle Veil en plein plan de licenciements - 340 ici contre 2000 à France Télévisions - a donc nommé "l'un de ses proches Gaël Hamayon en tant que « délégué aux relations extérieures » de France Inter".

Le Palmipède revient sur la mission du monsieur chargé "d'anticiper toutes les crises qui pourraient entamer la réputation de la radio..." et ironise sur " l'invitée de  Nagui dans son émission «Bande originale» Melanie PAGE, la femme de l'animateur venue faire la promo de sa pièce de théâtre" (dans l'émission de son mari donc).

Nagui dont on devrait très vite reparler dans le cas d'une plainte pénale suite entre autres, à la signature par l'ex-Orange en mai 2017 d'une « lettre confidentielle » à l’intéressé, sécurisant sur trois ans  ses prestations d’animateur pour France Télés (*) !


(*) Vu dans Challenges la semaine dernière

 


A Radio France, on connait la chanson !

A Radio France, on connait la chanson !

Il y aura dorénavant, 41 titres dans la Playlist de France Inter qui n'en comptait jusqu'alors que 40. 

"La présidence de Radio France a exceptionnellement porté ladite Playlist de France Inter qui sert d'habillage musical aux émissions (liste de titres, en français) à 41 titres, incluant une chanson du dernier album de Carla Bruni contre l'avis des programmateurs de la radio chez qui il ne faisait pas fureur".




mardi 13 octobre 2020

On a du mal à comprendre pourquoi Ernotte et Lauvergeon sont hyper remontées contre Veolia !

On a du mal à comprendre pourquoi Ernotte et Lauvergeon sont hyper remontées contre Veolia !

C’est quasiment un feuilleton qui se déroule sous les yeux des Français dont plus de la moitié d’entre eux selon le « Baromètrede la pauvreté Ipsos 2020 » pour le Secours populaire paru ce mercredi et qui témoigne de l’impact de la crise sanitaire, ont peur de basculer dans la pauvreté.

On a du mal à comprendre pourquoi Ernotte et Lauvergeon sont vent debout contre Veolia qui veut absorber Suez !! (*document Suez 2019)

(*)


 

Le 12 octobre, le blog CGC Média dans son post « Ernotte agace visiblement au plus haut point...et au plus haut niveau ! », faisant référence aux écrits du Monde publié ce samedi 10 octobre dans l'article intitulé « Veolia-Suez : comment l’Etat a perdu la face Récit des cinq jours durant lesquels s’est joué le premier round du duel entre les géants de l’eau et des déchets »  (¤) mais aussi à l’exaspération de certains au regard de cette fronde que mènent "Delphine Ernotte, Anne Lauvergeon et Isabelle Kocher contre l’OPA de Véolia sur Suez !" 

 "Un comité ad hoc qui compte notamment et Delphine Ernotte (France Télés) et  Anne Lauvergeon (l’ex-PDG d’Areva)  s'est créé au sein du conseil d’administration de Suez qui refuse en bloc le projet de tailler « un mini-Suez » écrivait d’ailleurs Le Monde relatant les propos croquignolet de l'ex-Orange qui détient 2088 actions de Suez qui s'insurgeait parmi d'autres femmes de ce comité identifiées comme les meneuses de la résistance: « On nous laisse des miettes » 

Pas sûr qu’avec tout ça les Français n’aient pas très très vite, une énorme envie de renverser la table !

(¤).








Elise Lucet : Les chiens sont lâchés !?

Elise Lucet : Les chiens sont lâchés !?

Dans l’article que publie en EXCLUIVITÉ le magazine Challenges intitulé «  Cash Investigation mis en cause par le Comité d'éthique de France », le titre de presse révèle que « L'émission vedette de France 2 présentée par Elise Lucet, Cash Investigation, s'est fait taclée par le Comité relatif à l'honnêteté, l'indépendance, le pluralisme de l'information et des programmes de France Télévisions. »

« Cette instance, présidée par l'universitaire Sophie Jehel, a rendu le 23 septembre un avis à propos de l'émission intitulée "Egalité hommes-femmes: balance ton salaire", une enquête de Zoé de Bussierre diffusée le 19 mai dernier en prime time. L'émission mettait en cause l'inégalité salariale à la Caisse d'Epargne d'Ile-de-France, en reprenant les arguments de la CGT…qui  vient d’assigner officiellement en justice la banque pour discrimination envers les femmes dans le cadre d’une action de groupe. Une première juridique permise par une loi de 2016, qui autorise les syndicats a mener une action de groupe, notamment en cas de présomption de discrimination au travail. » ajoute Pierre-Henri de Menthon le journaliste qui a mené l’enquête.

Challenges s’interroge : « De façon assez surprenante, le comité d’éthique de France Télévisions fait référence à cette procédure inédite en expliquant "que la présentation des faits par Cash Investigation correspond pour l’essentiel aux arguments de la CGT dans son action de groupe. »

Bah alors, si pour France Télés et son comité trucmuch « la présentation des faits par Cash Investigation correspond pour l’essentiel aux arguments de la CGT dans son action de groupe », tout est dit !!

Le magazine a beau indiquer que « Le syndicat (cgt) est minoritaire dans l’entreprise, et n’a pas signé, selon les plaignants, l’accord d’entreprise relatif à l’égalité femmes/hommes.», la manip ressemble à étrangement un lâcher de meute au début d’une chasse à courre machiavéliquement orchestrée.

 

lundi 12 octobre 2020

Jacques Denoyelle directeur associé chez SECAFI pourrait devenir directeur du dialogue social et de la politique salariale chez France Télévisions ?! Un scandale....

Jacques Denoyelle directeur associé chez SECAFI pourrait devenir directeur du dialogue social et de la politique salariale chez France Télévisions ?! Un scandale....

Le bruit coure depuis quelques jours à France Télévisions, de l’arrivée possible de Jacques Denoyelle directeurs associée chez Sécafi à qui la cgt de France télévisons soutien de la première heure de l’ex-Orange, confie l’ensemble des procédures d’audit qui vont toujours, dans le sens du vent est-il besoin de le préciser !


Il remplacerait, selon la rumeur, le directeur du dialogue social et de la politique salariale au sein de France Télés.

Ce serait là un conflit d’intérêts majeur que beaucoup devraient évidemment dénoncer voire poursuivre en Justice si la manœuvre venait à se confirmer…

A moins que les différentes affaires en cours devant les juges, notamment la procédure en annulation de la décision du 23 juillet dernier mise en scène par Roch-Olivier et qui viendra redessiner radicalement le paysage