Les soutiens à Anne Hidalgo vont pouvoir se multiplier à France Télés…C’est Emmanuel Macron qui va être content !

Les soutiens à Anne Hidalgo vont pouvoir se multiplier à France Télés…C’est Emmanuel Macron qui va être content !

C’est un tweet (*) de plus parmi d’autres qui montre à quel point, certains à France Télés vont rouler pour la maire de Paris à l’élection présidentielle de 2022.

Le 27 février, Anne-Cécile Mailfert vient de en effet d’afficher la couleur avec son message posté sur Twitter « Je suis dans le Parisien week-end et j’y parle de mon amour de @Paris, de mes lieux préférés et de ce qu’on a réalisé avec @Anne Hidalgo@ Hélènebidard et la @Fondationfemmes… »

Sous couvert d’un énième constat sur le nom des rues parisiennes bien peu féminines – il y a eu entre autre en mars 2019, le reportage de Libération citant mettant en avant « le collectif # » mais aussi l’enquête de l’ONG Soroptimist dévoilée dès janvier 2014 par Le Figaro Madame sur les 63 500 rues parisiennes dont moins de 1500 sont baptisées au féminin, ou encore ce tweet d’Anne Hidalgo de 2015 relayé par La Nouvelle République en 2015 – la compagne de l’ex-dircab d’Ernotte Stéphane Sitbon-Gomez que cette dernière a propulsé aux programmes après l’éviction de Candilis, en profite pour louer les mérites de la mire de Paris qui se disait sur France 2 récemment intéressé pour la présidentielle de 2022 dans le JT de 20 heures de France 2 avec le sujet diffusé dans l’édition du dimanche soir, au titre tranché « Dans la tête d’Anne Hidalgo ».

"Je savais qu'Anne-Cécile Mailfert était la compagne de Stéphane Sitbon-Gomez, directeur de cabinet de Delphine Ernotte, mais pour moi cela n'entrait pas dans l'équation pour aider cette fondation, qui veut notamment fournir des logements aux femmes victimes de violence", répondait à l'AFP la porte-parole de France Télévisions lorsque chacun découvrait que l’ex-Orange avait financé la structure de préfiguration avec les deniers publics.  

A l’époque dans son communiqué, le SNJ dénonçait "Les petits arrangements entre amis sont intolérables, surtout quand ils sont pratiqués dans une entreprise de service public, avec l'argent du contribuable" et "exigeait qu’Ernotte s'explique, en particulier sur la question des éventuels intérêts croisés, qui sont interdits"…une instruction judiciaire est d’ailleurs en cours.

L’intéressée qui vante les mérites d’Anne Hidalgo pourrait bien être candidate dans 14 mois maintenant contre le Chef de l’État  sortant - « Je veux prendre ma part dans le débat qui vient » déclarait la maire sur France 2 – lui adresse donc tout son soutien par titre de presse interposé. 

« Cette ville [Paris] leur fournit des opportunités professionnelles [aux femmes], de nombreux services comme la garde des enfants, tout en leur permettant d'être anonyme parmi la foule. Elles ne sont pas juger sur leurs relations ou leurs comportements comme cela arrive dans les petites communes. Cette liberté peut être un formidable accélérateur de leur émancipation... » précise-t-elle au Parisien avant d’ajouter « Il n'existait rien de tel à Paris. A l'image de notre combat, cet espace dédié aux femmes devait être solidement structuré, visible, pérenne, au cœur de la cité. La maire de Paris [Anne Hidalgo] nous a soutenus, notamment Hélène Bidard chargée de toutes les questions relatives à l'égalité entre les sexes. Dans une ancienne école rénovée de 10.000m² nous avons pu créer la Cité audacieuse qui a ouvert le 5 mars 2020. » 

Un soutien en vaut bien un autre...C’est Emmanuel Macron qui va être content de voir comme s’en désolait certains que la maire de Paris pourrait donc l’affronter avec en coulisses l’appui de celles et ceux, notamment à France Télés qui verraient bien celle qui voulait encore hier confiner les parisiens pour trois semaines à cause de l’épidémie de Covid-19 et qui aujourd’hui crie au scandale en prévision d’un possible confinement le weekend ! 

Le groupe le plus important de l’audiovisuel public propriété des Français n’est plus ce qu’il était monsieur le Président !

Allez une petite bise pour la route...Non pas à lui, à elle !