Les vœux de "Mr T" concernant FMM, très
préoccupants quant à sa santé mentale !
L'inénarrable "Mr T" est de retour...après quelques jours sans que le blog CGC Média soit destinataire des
nombreuses révélations dont il nous a abreuvé en 2022, le voila donc à
nouveau sur le qui-vive !
Pourtant cette nouvelle année semble
différente...il brandit l'article de L'Opinion du 3
janvier (*) et ironise sur "l'épée
de Damoclès" que le titre de presse place au dessus de la tête
de la pédégère sortante de France Médias Monde dont il revendique la
proximité et l'amitié, en expliquant que tout serait " déjà calé avec
l'Arcom et le Château".
Selon notre intarissable source qui continue de balancer tous azimuts depuis un
disque dur qu'il aurait récupérer au départ d'un pote et transféré sur clé USB,
après le dernier épisode "Dotscreen puis Red Bee Média (*) créés par ex-directeur
des « Nouveaux Médias » de France 24 entre 2006 et
2010, avec qui France Medias Monde est en affaire depuis une bonne
dizaine d'années, il mouille à présent la terre entière.
Tout le monde y passe le dégé de
FMM, le directeur des services techniques, celui de la
sécurité et de la cybersécurité (ex) "ayant dû quitter
la boite après la transmissions de mails intempestifs" et toujours
pas remplacé selon lui, mais aussi la direction des
Ressources humaines qui bloquerait toujours selon notre
informateur une négo lui faisant perdre ses nerfs ou encore les
financiers et autres contrôleurs de gestion, etc...
Il a beau continuer à
alimenter la procédure engagée par la Cour des comptes officiellement saisie
récemment sur l'incroyable utilisation récurrentes de boites de prestation, son état de santé
morale préoccupe le blog CGC Média au plus au point !
S'il expliquait, il y a peu, "
Marie-Christine n'a rien à craindre des candidatures à la présidence de
FMM" (selon un proche de la pédégère sortante), ajoutant « Elle n’est
absolument pas inquiète » et affirmant
qu'elle " a bien fait d'égratigner la Pouvoir devant les sénateurs
puisque vu les candidats, chacun sait bien que
Roch-Olivier Maistre et l’Arcom n’auront pas d’autre choix ! "
Alors là, si ROM et
son vaisseau amiral ont déjà choisi, que dire de plus ?!
Une
étrange manière tout de même de défendre
la candidature de celle qui "se fait discrète et
évite les prises de position publiques"...au regard de la
situation qu'a décrit "sa pote" devant la Chambre
Haute, à savoir "la suppression de la CAP (ex-redevance
télévisuelle) adoptée en août dernier, qui lui était préjudiciable avec des
conséquences immédiates" impliquant même nos voisins germaniques
parlant d'"un flirt beaucoup trop étroit avec
l'Etat, non conforme à la législation allemande."
Marie-Christine Saragosse, va même jusqu'à
comparer FMM à Russia Today - dans ce contexte catastrophique d'invasion contre l'Ukraine - « Si on fait sauter un
financement affecté, on est dans le même statut que Russia Today, Il
n'y a pas de raison qu'on ne soit pas considéré comme une chaîne
gouvernementale aussi. Pour lutter contre les intox, il y a quand même
mieux.»
A moins que "Mr T" ne fasse de nouvelles
révélations et que la Cour des comptes passe la main au
Parquet de Paris (comme cela semble bien être la cas), quel
intérêt notre gorge profonde qui se dit à présent persécuté de tous bords
et dont l'état psychique dans lequel il se trouve soucie le
blog CGC Média, a-t-il à chanter sur tous les toits que l'Arcom a déjà choisi la
sortante tout en agitant devant qui veut encore
l'entendre l'article de L'Opinion (*) qui ne dit pas
exactement cela ?
(*)
L'audiovisuel
extérieur fait face à des cyberattaques et des campagnes de dénigrement, et
s'inquiète de son financement. En difficulté, France Médias Monde remet en jeu
sa direction.
Damoclès
Marie-Christine
Saragosse, 62 ans, sera entendue lundi 9 janvier par les sages
de l'Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle). A
la tête de France Médias Monde (France 24, RFI, Monte Carlo Doualiya et TV5
Monde) depuis dix ans, elle brigue un troisième mandat.
A UNE SEMAINE DE SON
AUDITION devant l'Arcom, Marie-Christine Saragosse se fait discrète et évite
les prises de position publiques. Mais elle a déjà exprimé le fond de sa pensée,
et ses contrariétés - sans ambages - il y a un peu moins d'un mois. C'était
le 7 décembre dernier, devant les sénateurs de la commission de la culture de l'éducation
et de la communication.
Aux côtés de trois
autres dirigeants de groupes audiovisuels publics - Delphine Ernotte (France
Télévisions), Sibyle Veil (Radio France) et Laurent Vallet (INA) -, Marie-Christine
Saragosse a notamment précisé en quoi la fin de la redevance télévisuelle
adoptée en août dernier, lui était préjudiciable. A l'international, la
nature du financement n'est pas une simple posture, a-t-elle expliqué. Elle
a des conséquences immédiates. A Berlin, on nous a fait savoir que la budgétisation
était un flirt beaucoup trop étroit avec l'Etat et que ce n'était pas
conforme à la législation allemande. »
Pour l'heure, le
remplacement de la redevance par une part de TVA ne pose pas de pro- blème
particulier. Mais si l'an prochain, le budget de France Médias Monde - d'un
montant de 284,7 millions d'euros pour 2023 - provenait directement des caisses
de l'Etat, alors les Allemands pourraient tout simplement supprimer la
fréquence FM attribuée aux Français depuis 24 ans. « On a une épée de Damoclès
au-dessus de la tête. Si on fait sauter un financement affecté, on est dans le
même statut que Russia Today, Il n'y a pas de raison qu'on ne soit pas
considéré comme une chaîne gouvernementale aussi. Pour lutter contre les intox,
il y a quand même mieux.»
Colère.
En effet, c'est en
raison des liens de RT avec le pouvoir russe que Bruxelles l'a fermée en trois
jours en mars dernier. En retour, France 24 a été fermée en Russie, puis au
Mali. En décembre dernier, elle a été suspendue au Burkina Faso.
France Médias Monde,
média d'Etat ? La question se pose avec d'autant plus d'acuité qu'Emmanuel
Macron a affiché cette ambition éditoriale le 1er septembre dernier. Devant les
ambassadeurs réunis à l'Elysée, le chef de l'Etat avait demandé à « mieux utiliser
le réseau France Médias Monde face à l'adversité ». « Nous avons besoin d'avoir
des instruments de communication qui disent quand la France est attaquée à
tort, qui disent ce que fait la France, et qui relaient notre action », avait-il
alors expliqué, provoquant la colère des rédactions concernées, indignées de
pouvoir être associées à quelque « voix de la France » que ce soit.
A ces difficultés de
positionnement éditorial s'en ajoutent deux autres. France Médias Monde a dû
faire face à de nombreuses cyberattaques dont deux très importantes sur ses
infrastructures de diffusion, et pour lesquelles l'Anssi (Agence nationale
de la sécurité des systèmes d'information) a dû intervenir. Ses
journalistes sont également pris pour cible sur les réseaux sociaux. « On voit
la haine monter en puissance, confirme un porte-parole de la chaîne.
C'est particulièrement difficile pour les journalistes français en Afrique,
ainsi que pour ceux qui viennent d'Afrique du Nord. Et pour les Juifs, c'est
difficile partout.»
Auditions.
Quant à l'ambiance dans les différentes rédactions, elle est tendue, particulièrement à RFI, dirigée par Cécile Mégie, elle aussi présente depuis dix ans. Meilleure illustration: la radio, qui compte environ 350 journalistes titulaires (hormis les pigistes au siège, pigistes correspondants et CDD), ne trouve pas de candidat pour prendre la tête du service international. « Personne ne veut être candidat tant qu'on reste avec cette direction » déplore un journaliste, qui l'attribue aux conséquences d'une motion de défiance lancée en février dernier. Alors que la direction ne prenait pas clairement la défense de l'enquêtrice Sonia Rolley face à un animateur de la chaîne(¤), 67,1% des journalistes avaient alors exprimé leur manque de confiance. Entre-temps la journaliste est partie, l'animateur controversé est resté en place.
(¤)
A la veille des
auditions devant l'Arcom, et après dix ans passés avec la même équipe
dirigeante, nombreux sont ceux qui, à France Médias Monde, espèrent un
changement, même si les concurrents de Marie-Christine Saragosse peuvent
sembler manquer d'envergure. [Ça devrait plaire aux
intéressés, ndlr] David Hivet est l'ex-directeur Méditerranée-Asie de
CFI Médias, Arnaud Ngatcha est maire adjoint de Paris chargé de l'Europe
et Sylvain Attal, journaliste. Un seul nom est cité comme pouvant l'emporter
face à Marie-Christine Saragosse, même s'il souffre aussi d'un manque de
notoriété : celui de Pierre-Etienne Pommier, "entrepreneur dans le
numérique, les médias et l'éducation" en raison de ses bons rapports
supposés avec l'Elysée. "
@CBoullay
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