Alex Vizorek qui rejoint « RTL Soir » dit ne pas comprendre les choix de Radio France.
Dans une interview qu’il donne ce 11 juillet dans Le Parisien, Alex Vizorek qui rejoint donc « RTL Soir » après plus de dix ans sur le service public, dit ne toujours pas comprendre l’arrêt de l’émission quotidienne " C’est encore nous" reléguée le dimanche soir.
A la question de Kevin Boucher
qui lui demande « Passer le dimanche, c’était inenvisageable ? », l’humoriste
répond un brin dubitatif « Non, pas du
tout. Je pense d’ailleurs qu’ils vont bien s’amuser.
En revanche, on ne sait pas trop bien d’où est tombée cette
décision… Et on n’a toujours pas compris, en fait. Les audiences de « C’est encore
nous » stagnaient, c’est vrai. Mais presque mathématiquement, nous aurions probablement
fini par dépasser « les Grosses Têtes ». Et comment explique-t-on de supprimer
le podcast le plus puissant de Radio France ? Je n’ai pas d’explications.
On caricature
souvent France Inter comme une radio de gauche et RTL comme de droite. Un grand
écart ? Dans l’émission de Charline, on m’a pris pour le mec le plus à droite
de France Inter. Là, je serai peut-être le plus à gauche du 18 heures de RTL…
même s’il y a de la concurrence ! (Il rit.) »
Sur sa lancée, à qui la journaliste
lance « Vous avez proposé récemment une chronique baptisée "Restera ?
Restera pas ?" sur le mercato foot… » il ironise après plus de dix
ans passés sur le service public : « Je parlais évidemment de
moi, il n’y avait pas trop de doute.
Même si, à ce
moment-là, je ne savais pas si ma rentrée se faisait sur France Inter, sur RTL…
Ou même sans radio, car toute cette séquence « intérienne » m’a heurté.
Pas tant qu’on déplace
l’émission mais tout ce qu’il y avait autour, notamment qu’on n’écoute pas les
auditeurs (une pétition réclamant le maintien de la quotidienne de la « bande à
Charline » a réuni plus de 225 000 signatures). La communication pas très
élégante aussi, en avançant d’abord les audiences et puis finalement non… Je me
suis dit qu’au fond, les belles années de France Inter étaient derrière moi. »...
Sibyle Veil croit peut-être
encore qu’elle présidera le très couteux nouvel ORTF que certains ont décidé de
promouvoir en dépit de la situation financière du Pays mais qui ne verra jamais
le jour ?
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