Et si la surchargée despote du Comité interentreprises de l’audiovisuel public nous parlait des 40.000€ perdus ?
Ce qui se passe aujourd’hui est assez hallucinant et, au regard des informations dont dispose le blog CGC Médias, a provoqué un profond malaise au sein des élus du CSE Siège (Comité Social et Économique ) de France Télévisions.
Sans passer par le CSE du Siège dont elle dépend puisqu'élue, la cégétiste qui s'est à ce titre retrouvée à parachutée Secrétaire du Comité interentreprises de l’audiovisuel public (CI-ORTF) a demandé au CSE Central de France Télés (l'émanation des divers CSE de France Télés) pour demander une expertise au motif qu'elle aurait été verbalement agressée par des membres de l’équipe du Siège après un déplacement en province !!!
On est chez les dingues...et ce n'est pas fini. Il y a même une autre élue CGT qui dit à qui veut l'entendre que "les convocations seraient justifiés".
Elle a même trouvé le moyen, après plusieurs jours de se déclarer en accident du travail au motif qu’elle aurait subi un choc psychologique après un soi-disant désaccord survenu 3 semaines auparavant, pour être précis 2 semaines et 1 jour....
Elle serait toujours en accident du travail pour France Télés alors que le 6 mai dernier, elle était présente au Comex du CI-ORTF...La
C'est dans ce même temps, prétextant une situation délétère, qu'elle en profité pour convoquer 4 salariés de l'ex-CI-ORTF ( aujourd'hui CASCI-ORTF) à des procédures totalement bidon en vue de leur licenciement.
Faire voter une résolution qui pourrait déboucher sur une sanction voire faire virer des salariés qui n’ont
rien fait, surtout pour une adhérente de la Cgt, ça a de quoi faire bondir !
Certes ce ne sont pas les premiers à faire les frais de la tyrannique cégétiste
mais là c’est le pompon…
L’Arlésienne comme certains la surnomment – c’est d’ailleurs
elle qui le dit « On ne me voit pas souvent, effectivement,
parce qu’au CIORTF, je ne suis pas que secrétaire de l’instance, j’assume
également mes fonctions de directrice générale des services définies par
les statuts. Non seulement c’est un temps plein, mais c’est beaucoup plus
qu’un temps plein…Ce n’est pas par plaisir que je n’arrive pas à vous rejoindre
la plupart du temps. » – ne serait pourtant
pas adepte de sanctions.
Concernant l’ex-trésorier Cgt lui aussi dont la Cour des comptes a mis en lumière les agissements et a demandé que les
55.000€ d’argent qu’il a indûment perçus soient récupérés par une action en
Justice – la plainte déposée à ce sujet par la CGC de l’Audiovisuel – sa
collègue l’a ainsi présenté « Je n’ai absolument pas défendu ce qui
s’est passé à l’époque et qui a été dénoncé par la Cour des comptes, au contraire.
Vous pouvez tous constater que, depuis
que je suis à la tête du CIORTF, cette personne ne siège plus à l’assemblée
plénière. Donc, je ne le défends absolument pas. J’en suis moi-même
profondément heurtée. Simplement, j’ai suivi les préconisations du
rapport Sogex Cube, de l’avocat du CIORTF. Et effectivement, on ne va pas plus
vite que la justice. »
Puis d’interpeller « Qu’est-ce
qu’on fait ? Je suis là aussi pour protéger le CI-ORTF. Si on engage
des actions contre ce monsieur et que, derrière, la justice dit que,
finalement, le dossier est vide, moi, je n’en sais rien, donc je pense qu’il
n’y a pas mieux qu’un magistrat instructeur »
Protéger le CI-ORTF…ben voyons ! Et si la surchargée despote
du Comité interentreprises de l’audiovisuel public nous parlait des 40.000€
perdus...ceux qu’une directrice de colo dont plus personne n’a entendu parler aurait, selon nos sources, claqués au casino ?
Elle a porté plainte ? Ou bien elle attend qu’un magistrat instructeur spontanément la mette au parfum ?
Elle qui concluait de la
sorte son propos devant les élus « Ma prédécesseuse n’avait
pas souhaité porter plainte. Je ne sais pas pourquoi, mais ça n’a pas été fait.
C’est comme ça. [elle fait mine d'ignorer que si l'ancien bureau en avait eu le temps, il l'aurait fait mais malheureusement, le cycle électoral, l'en a empêché, ndlr]
En tout cas, il n’y a
aucune complaisance vis-à-vis de ce qui s’est produit, c’est une certitude. J’espère qu’on
aura des nouvelles un jour. En tant que secrétaire, je serais
absolument ravie qu’on puisse récupérer les fonds. Je n’hésiterai pas et
ma main ne tremblera pas. Simplement, je ne me substitue pas à un
magistrat qui a été nommé. Et vous ne pouvez pas me reprocher de n’avoir rien
fait : au contraire, j’ai suivi les préconisations. »
Nous voilà tous rassurés…une
affaire qui dure depuis environ 4 ans !
Comme le blog CGC Média
l’indiquait dans deux de ses articles :
les retours de manivelle, c’est particulièrement violent…
Et si notre directrice générale des services, se plaint de « faire beaucoup plus qu’un temps plein », la seule option qu’elle puisse prendre aujourd’hui pour éviter tout choc émotionnel qui pourrait nuire à sa santé, c’est de tout arrêter !
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