samedi 6 juillet 2024

Deux camouflets la même semaine pour Claudine Gilbert la très controversée cégétiste secrétaire du CASCI ORTF (ex CIORTF).

Deux camouflets la même semaine pour Claudine Gilbert la très controversée cégétiste secrétaire du CASCI ORTF (ex CIORTF).

Ce mardi, Claudine Gilbert restée en arrêt maladie pendant plusieurs mois  depuis sa déclaration du 20 mars dernier en accident du travail après les supposés " propos, infondés et pour certains irrespectueux, pour lesquels elle a ressenti avec une grande violence la charge agressive émise par cette personne" avec " Troubles psychologiques sur l’ensemble du corps », qui avait cru bon de faire citer directement le directeur de publication du blog CGC Médias Jean-Jacques Cordival, s’est désistée de la procédure à l’audience de fixation du 2 juillet dernier, face à maître Pierre Olivier  Lambert intervenant en défense.

Deux jours plus tard, l’adhérente CGT qui vient de procéder au licenciement de plusieurs salariés dont ceux ayant osé engager une action contre elle ès qualité, qu'ils ont gagnée.

Par jugement du 4 juillet dernier, le Tribunal judiciaire de Paris (*) saisi dans le cadre de la procédure accélérée au fond, visant à juger «  L’existence d’un risque grave et de la légitimité de son recours à l’expertise prévue par l’article L. 2315-94 1° du Code du Travail » et « enjoindre au Comité des activités sociales et culturelles Interentreprises des Organismes de Radio et de Télévision Français de de ne plus entraver le bon déroulement de l’expertise confiée au cabinet ADDHOC » pour ainsi « condamner le Comité des activités sociales et culturelles Interentreprises des Organismes de Radio et de Télévision Français à verser à son CSE les sommes suivantes : 8.000 euros en réparation de l’atteinte portée à ses prérogatives et des préjudices résultant de l’entrave portée au bon déroulement de l’expertise et de ses droits à information et consultation, ainsi que 5.000 euros au titre des dispositions de l’article 700 du Code de Procédure Civile… », leur a donné raison.

Maître Isabelle TARAUD qui les défendait vient de remporter une première victoire et ce n’est pas la seule à venir…il y en a d’autres en attente, notamment la réintégration des salariés de facto lanceurs d’alertes virés d’ailleurs pendant la période d’arrêt maladie précitée…ce qui n’est pas sans poser de problèmes juridiques, chacun s’en doute.

Quand bien même l’intéressée démissionnerait de son mandat dans la foulée, cela n’arrêterait  pas la machine judiciaire aujourd’hui en marche.

(*)











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