dimanche 20 octobre 2024

La justice ordonne une expertise s’agissant du "Complément d'enquête" à Depardieu. A France Télés chacun attend avec impatience l’explosion.

 La justice ordonne une expertise s’agissant du "Complément d'enquête" à Depardieu. A France Télés chacun attend avec impatience l’explosion.

Après les révélations du weekend dernier publiées par le JDD qui précise « avoir  mis la main sur les procès-verbaux des trois protagonistes à l’origine du Complément d’enquête consacré à Gérard Depardieu, diffusé en décembre dernier dans "Complément d'enquête" », qualifiant « l'ensemble d’accablant avec des témoignages imprécis et des versions contradictoires », la Justice vient de donner raison à l’acteur qui comme Yann Moix avait toujours indiqué ne jamais avoir tourné une telle séquence.



La Cour d’appel qui confirme la précédent décision du tribunal judiciaire de Paris, faisant entièrement droit aux demandes de Gérard Depardieu, ordonne en effet à France Télévisions de communiquer l’intégralité des rushes de la séquence, ainsi que le constat d’huissier sur lequel France Télévisions a communiqué mais que personne n’a jamais vu.

Dans une décision consultée par l'AFP et révélée par Télérama, la cour d'appel de Paris ordonne cette expertise des images brutes tournées dans un haras lors d'un voyage en Corée du Nord en 2018, "aux frais avancés de M. Depardieu qui a intérêt à ce que cette mesure soit diligentée" afin de déterminer si les images d'une émission "Complément d'enquête" sur France 2 consacrée à Gérard Depardieu, ont été manipulées comme l'acteur le prétend, sachant que Yann Moix a toujours dit n’avoir jamais tourné cette séquence de la fillette diffusée sur France 2.

Le tribunal avait rendu une ordonnance par laquelle la société de production qui avait vendu les images à France Télés, « était obligé de communiquer l’ensemble des rushes  liés à la séquence et de les soumettre à un expert »  mais aussi et surtout « le constat d’huissier »  auquel Delphine Ernotte and co avait cru bon de recourir pour tenter d’éteindre la polémique. Pour justifier leur refus, ils avaient une prétendue mis en avant une prétendue atteinte au secret des sources, alors que par définition la source était le comédien… il y avait pas de secret des sources.Mieux. Tant France Télés qu’Hikari la société de prod à l’origine des images avaient d’ailleurs interjeté appel pour ne pas s’y soumettre. 

Patatras, les voilà maintenant condamnés à communiquer les rushes pour qu’un expert puisse faire son travail  mais aussi France Télévisions et à communiquer ce fameux constat dont  personne ne sait rien, sous astreinte de 1.500€ par jour.

 (*)

Dans le dossier des 3 journalistes sportifs licenciés par l’ex-Orange après de soi-disant faits de harcèlements – plus d’une centaines d’écrits consacrant supposément les choses, selon France Télés !! – chacun se souvient de la demande de l’un d’entre eux à communiquer lesdites validés par la Justice sur lesquels France Télés s’était assis mais surtout du désistement du groupe en Appel qui avait payé 18.000€ (*) plutôt que de reconnaitre ses erreurs (l’astreinte courant toujours selon nos informations puisque l’intégralité des docs, n’a toujours pas été  transmise !)

Qu’importe puisque ce sont les Français qui paient, ricanent certains…Il n’est pas question ici de revivre le même scénario et que ce soient les Français qui passent à la caisse !


Ce devront être sur les deniers de la donneuse d’ordre et responsable légale que tout cet argent devra être prélevé et ce avant son éviction que tous attendent logiquement.

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