Un fric de fou dépensé pour saborder France 3 et faire sien le label de Radio- Canada.
Comment l’État peut-il
cautionner une telle pantalonnade ?
L’ex-Orange et sa pote de circonstance
à Radio France ont décidé d’effacer le nom de France 3 des antennes régionales –
la chaîne des régions gardant son nom uniquement lors de la diffusion des programmes nationaux.
C’est ICI le nom de Radio-Canada
qui va le remplacer. Non, vous ne rêvez pas. Les programmes
régionaux avec à l’origine les JT régionaux qui ont disparu au profit de
rendez-vous qui ne marchent, sont donc diffusés sous label ICI qui est donc celui
de nos amis canadiens. (*)
(*)
L’État a permis que l’ex-Orange dépense des fortunes pour qu’un prestataire extérieur sorte d’un chapeau le nom ICI qui, redisons le, est propriété de Radio-Canada (*)
(*)
Certains indéfectibles alliés
ernottiens proposent de s’indigner, raillent «les têtes pensantes qui ne sont pas d’ICI ET ont
décidé qu’il faut jeter à la poubelle une AOP (France 3) pour mieux
parler de proximité.. »
Ce n’est pas d’indignation qu’il
est question mais de l’abandon même du nom de notre Pays pour la télé publique
que l’État pourrait
donc cautionner avec la fusion totale
Radio France et France Télés (France
Bleu - France 3) et la très probable filialisation de l’entité « ICI ».
C’est une plainte qu’il faut
déposer pour viol d'un droit de propriété
intellectuelle avec le risque pour celles et ceux qui ne
respectent pas cette propriété intellectuelle et enfreignent donc la loi, donnant
lieu à des sanctions pénales (article L. 335-2 CPI : 3 ans
d'emprisonnement, 300 000 euros d'amende et, le cas échéant, confiscation des
recettes procurées par l'infraction ou les déclinaisons commerciales afférentes)
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