samedi 17 février 2024

La dirCom' de l'ex-Orange tente vainement de jouer les spin doctors...ça ne servira à rien !

La dirCom' de l'ex-Orange tente vainement de jouer les spin doctors...ça ne servira à rien !

Face à la presse qui s'est  indignée toute cette semaine depuis les révélations exclusives de  La Lettre (¤) les efforts de la dirCom' corporate à France Télés pour tenter de faire croire que les 112.123 € dépensés au Majestic de Cannes par Ernotte, son ex-dircab Sitbon-Gomez, Tardieu le Secrétaire général de FTV et Alduy son dirlo à l'international, au cinéma et aux  fictions numériques, ainsi que 2 pontes de Brut, ne serviront à rien.

Le blog CGC Média prévoit d'ailleurs d'autres révélations sur cette invraisemblable gabegie qui fait aujourd'hui l'objet d'une plainte pour les « CHEFS DE DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS ET D’ABUS DE CONFIANCE, PRÉVUS ET RÉPRIMÉS PAR LES ARTICLES 432-15 ET 314-1 DU CODE PÉNAL » visant DELPHINE ERNOTTE-CUNCI ET TOUS AUTEURS, COAUTEURS, COMPLICES, QUE L’ENQUÊTE DÉTERMINERA", peut tout à fait - vu la nature même de France Télés à savoir entreprise publique -  avoir le goût et la couleur du scandale d' État ! 

Muriel Attal pourra tout essayer pour que l'ensemble de la presse arrête de sortir des papiers contre l'ex-Orange,  rien n'y fera ! Le blog CGC vous propose de découvrir les derniers dont Voici (*)

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vendredi 16 février 2024

Nouvelle grosse claque pour l'émission d'Hugo Clément sur France 2...encore moins d'audience!

La semaine dernière, le blog CGC Média dans son article intitulé "Nouvelle grosse claque pour le duo Sitbon-Gomez/Ernotte avec « Nos grandes décisions » et le tandem Hugo Clément/Ardisson."

Le deuxième numéro de "Nos grandes décisions" déjà amputée  d'environ un quart par rapport à la précédente, n'a réuni que 532.000 téléspectateurs entre 22h46 et 0h04, selon Médiamétrie, ce qui représente 5,7% des quatre ans et plus présents devant leur téléviseur et 1,7% des Femmes responsables des achats âgées de moins de 50 ans (FRDA-50). 

La première de « Nos grandes décisions » présentée donc par Hugo Clément sur France 2 n’avait rassemblé que 592.000 curieux, soit 6,5 % seulement des téléspectateurs. 

Ixième flop pour l’ex-Orange et son ex-dircab qui ne les comptent plus.

Soutien d’Ernotte dès la première heure, FO s’en prend à Rachida Dati…

Soutien d’Ernotte de la première heure, FO s’en prend à Rachida Dati…avec une étrange posture contre la direction de France Télévisions.

« Service commandé ou pathétique volte-face de ces soutiens ernottiens de la première heure auquel personne ne croit ? »

Dans un écrit des plus étranges parce totalement improbable, l’auteur du liminaire FO lu en séance du CSE Central le 9 février dernier, s’en prend violemment à Rachida Dati semblant prendre comme de coutume la défense d’Ernotte, tout en flinguant son Numérobis.

Extraits

« Depuis sa nomination, notre nouvelle Ministre de tutelle madame Rachida Dati a déjà beaucoup parlé. Presse audiovisuelle, presse écrite, elle s’est exprimée et a été questionnée.

Dernière interview en date,ce mardi matin, sur la partialité présumée dont serait coupable la télévision de service public, France Télévisions! Sa réponse plutôt habile:“on doit respecter la diversité des opinions de chacun”.

Une réponse en creux par laquelle la Ministre confirme sans affirmer en concluant par un “j’ai répondu» et de compléter par “c’est une question de déontologie”….

France Télévisions ne respecterait donc pas le pluralisme des opinions, ne serait pas le reflet de la diversité de la société française et pire, ferait preuve de manquements à la déontologie. Ces propos sont graves. »

La ministre de la Culture a dû trembler en lisant les attaques du syndicat maison qui qualifie de graves, ses propos et « la dame du Majestic » a probablement dû boire du petit-lait !

Les attaques contre elle vont se poursuivre, tentent le plus ridiculement qui soit de présenter l’ex-Orange comme une victime  « Plan stratégique, audit de productivité, synergies avec la radio, autant de perspectives qui sont pourtant entre les mains de notre Ministre de tutelle. Sans transparence, sans explication, sans association de l’ensemble du personnel à ce destin commun pour mieux nous engager, la direction de France Télévisions risque bel et bien de se retrouver écrasée entre le marteau et l’enclume. »

Délirant. La suite est surréaliste.

« Nous posons la question. L’une des chaînes de France Télévisions, l’un de ses programmes, a-t-il invité la Ministre. Si oui, pourquoi ne l’a-t-on pas encore entendue? Si non pourquoi? Nous aimerions tant que des questions précises lui soient posées par nos professionnels et non pas par nos détracteurs, par et pour nous les personnels et nous les Français fidèles de la télévision de service public. »

Hallucinant. Non seulement FO considère les premiers journalistes qui ont posé des  questions à la ministre comme des détracteurs non professionnels qui ne posent pas des questions précises et n’ont rien à voir avec leurs professionnels mais qu’en plus ils ne s’exprimeraient pas comme eux qui le font au nom de tous les personnels mais aussi des Français.

Quelle grotesque suffisance.

Puis, FO va s’en prendre à Sitbon-Gomez pour tenter de démontrer on ne sait quoi


« Avec un directeur des programmes que le plus grand moteur de recherche planétaire (Google) classe sous la catégorie d’activiste politique, il est sûr que l’on prend quelques risques avec le pluralisme. » 


Peut-être ont-ils eu vent de ce fantasmique projet de 3ème mandat que briguerait celle qui est aujourd’hui sous le coup d’une plainte pour « détournement de fonds publics et abus de confiance » (¤) dont l’ex-dircab ne ferait pas parti ? Le directeur de l’Information n’est pas en reste !

« Avec une direction de l’information qui donne à penser avec des moratoires inexpliqués qu’elle veut agir sur une campagne électorale, ça n’est pas mieux. »

Les derniers paragraphes dont du même acabit…avec une spéciale dédicace pour les salariés de l’Outremer en ligne de mire de ces alliés ernottiens. Ils devraient apprécier.

« Depuis 2015 maintenant, mis à part en Outre-mer, les personnels de France Télévisions, l’expertise de l’entreprise, sa richesse, son âme n’ont cessé d’être écartés de son destin. »

L’ironie feinte qu’ils adressent en conclusion à l’infirmière TV laisse pantois... 

« Externaliser à tout va, déresponsabiliser le management, «cornaquer» la ligne éditoriale n’a rien à voir avec ce que doit être France Télévisions… Derrière les attaques sur notre «équilibre» ou notre «probité» intellectuelle, c’est bien ce manque de «démocratie» managériale qui est pointé du doigt…

N'oubliez jamais, Madame, que lorsque l'on attaque le service public, nulle acrobatie, pas même un Salto maladroit et coûteux, n’évitera qu’à la fin ce soient encore et toujours les salariés qui en subissent les conséquences. »

« Service commandé ou pathétique volte-face de ces soutiens ernottiens de la première heure auquel personne ne croit ? », redisons-le, la question est bien des plus pertinentes.

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jeudi 15 février 2024

Challenges épingle à son tour Ernotte...la Justice en marche !

 Challenges épingle à son tour Ernotte...la Justice en marche (¤) !


Voir une des nombreuses réactions sur les réseaux sociaux...

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Le dilemme de Christopher Baldelli : France Télévisions ou Public Sénat ?

Le dilemme de Christopher Baldelli : France Télévisions ou Public Sénat ?

Demain vendredi 16 février à 10h01, il sera trop tard…Les candidatures à la présidence de Pubic Sénat doivent être adressées, au plus tard le vendredi 16 février 2024 à 10 heures, exclusivement par voie électronique à l’adresse générique suivante : pdg-psenat@senat.fr.

Le mandat de Christopher Baldelli l’actuel pédégé de la chaîne arrivant à son terme le 31 mai 2024, le Bureau du Sénat a en effet décidé, lors de sa réunion du 25 janvier 2024, de  l’ouverture d’un appel à candidatures pour le renouvellement de ce poste.

Celui qui candidatait à l’été 2020 à la présidence de France Télévisions, n’ayant pas compris que tout était joué d’avance – une contestation portée par la CGC des médias est d’ailleurs toujours en cours – s’interrogerait encore, selon certains de ses proches : France Télévisions ou Public Sénat ?

« Une formalité » croit savoir un sénateur qui ajoute « Où voulez-vous qu’il aille ? »… 

« A France Télévisions dans 1 an ! » rétorque cet autre qui poursuit « Il y croit ».

Ce troisième jettera le pavé dans la marre « Imaginez qu’il soit renommé PDG de Public Sénat pour une prise de fonction au 1er juin 2024 et que moins d’un an après, au printemps 2025, il soit de nouveau candidat à France Télés !? », enfonçant le clou « Il aura 60 ans en février prochain donc ira vers ses 66 ans à l’été 2025, autrement dit il aura passé 65 ans, la limite pour la présidence de France Télévisions, donc dans l’impossibilité de faire un éventuel second mandat. »

Comment ne pas être d’accord avec ce très pragmatique parlementaire dont l’analyse ne souffre guère de contradiction.

Baldelli sera reconduit et ne sera pas le prochain locataire de la Maison de Jean-Pierre Elkabbach lorsque l’ex-Orange pliera les gaules à l’été prochain voire bien avant en fonction du contexte !

mercredi 14 février 2024

COMMUNIQUÉ DE LA CGC DES MÉDIAS CONCERNANT LA PLAINTE DEPOSÉE CONTRE DELPHINE ERNOTTE-CUNCI ET TOUS AUTEURS, COAUTEURS, COMPLICES, QUE L’ENQUÊTE DÉTERMINERA

COMMUNIQUÉ DE LA CGC DES MÉDIAS CONCERNANT LA PLAINTE DEPOSÉE CONTRE DELPHINE ERNOTTE-CUNCI ET TOUS AUTEURS, COAUTEURS, COMPLICES, QUE L’ENQUÊTE DÉTERMINERA 

LA CGC DES MÉDIA NE « SE RÉSERVE PAS LE DROIT », ELLE, (*) « ELLE LE RESPECTE ET L’UTILISE ».

 

La Lettre a révélé, ce lundi 12 février (¤), que le syndicat CGC pour les médias avait saisi la Justice pour des faits passibles des « CHEFS DE DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS ET D’ABUS DE CONFIANCE, PRÉVUS ET RÉPRIMÉS PAR LES ARTICLES 432-15 ET 314-1 DU CODE PÉNAL » visant DELPHINE ERNOTTE-CUNCI ET TOUS AUTEURS, COAUTEURS, COMPLICES, QUE L’ENQUÊTE DÉTERMINERA.

C’est une plainte de 10 pages particulièrement étayée que le syndicat CGC des médias a déposée jeudi dernier et dont maître Pierre-Olivier LAMBERT qui avait déjà fait condamner Patrick de Carolis en 1ère instance confirmée en Appel dans le volet audiovisuel de l’Affaire dite Bygmalion, est en charge.

Pourtant le 5 décembre 2014, Carolis l’ex-pédégé définitivement « condamné à 5 mois de prison avec sursis,  25.000€ d'amende et solidairement à des dizaines de milliers d’euros aux appelants dont le SNPCA-CGC, à l'origine de la plainte dès 2011, à savoir  25 .000€ de dommages et intérêts  et 15 000€ au titre de l'article 475-1 du Code de Procédure Pénale et 1.000€ au titre de l'article 475-1 du Code de Procédure Pénale », déclarait au micro de Thomas Sotto alors sur Europe 1 "Un individu s'amuse depuis quelques années à jouer du ball-trap avec tous les présidents de France Télévisions… »

L’ex-pédégé  accusant même le Canard enchaîné qui avait le premier révélé l’affaire, de propager des « informations fausses », ajoutant « Ce sont des allégations mensongères et fausses. La  coupe est pleine , c'est grave !" Chacun connaît la suite.

Le condamné était allé à bonne école. Le 5 décembre 2012, Jérôme Cahuzac l’ancien ministre de l’Économie et des Finances affirmait devant l’ensemble des députés de l’Assemblée nationale : « Je démens catégoriquement les allégations contenues sur le site Mediapart. Je n'ai pas, je n'ai jamais eu de compte à l'étranger, ni maintenant, ni avant. » Là aussi, chacun connaît la suite.

Le 28 avril 2015, l’ex-présidente de l’INA Agnès Saal qui avait raillé son conseil d'administration qui lui demandait des explications "Comme je ne peux pas le faire travailler douze à quinze heures par jour ni les week-ends [un chauffeur, ndlr], j'ai également un abonnement aux taxis G7, car je n'ai pas de permis de conduire", était contrainte de présenter sa démission, après la révélation du montant de ses frais de taxi soit près de 41 000 euros.

Le 7 février dernier, La Lettre révélait encore que le syndicat CGC pour les médias avait officiellement saisi l’Arcom concernant le passage de Xavier Niel dans C à vous sur France 5, une émission produite par la société Mediawan dont il est actionnaire et où pourtant il est allé faire la promotion de sa nouvelle box à l’antenne…


...et ce alors que la CGT qui comme FO soutiennent Ernotte depuis la première heure de son parachutage à l’été 2015 écrivait un semaine plus tard (13/02) «La CGT appelle la direction de l’éthique et de la conformité à prendre des sanctions contre le producteur de « C’est à vous » pour détournement de mission de service public. France Télévisions n’est pas au service des marchands et des grands patrons.

La CGT se réserve le droit de porter plainte devant l’Arcom pour que ce genre de manquement grave aux règles déontologiques ne se reproduise plus ».

Le syndicat pro-direction faisait référence au début de son propos «  Vous connaissez « C’est à vous » ? L’émission de débat sur France 5, produite par Mediawan, dont l’un des fondateurs et actionnaires est le patron de Free, Xavier Niel.

Surprise ! Dans l’émission du 30 janvier 2024, c’est lui l’invité principal. Il aurait pu se contenter, comme cela se passe habituellement, de commenter l’actualité. Mais non ! Pendant une bonne partie du programme, le champion des opérateurs de télécommunication va faire gratuitement sa pub sur une chaîne du service public, et avec la connivence des journalistes à l’antenne. »

(*) Il faut donc, ici, le réaffirmer :  LA CGC DES MÉDIA NE « SE RÉSERVE PAS LE DROIT » (*) « ELLE LE RESPECTE ET L’UTILISE ».

LA CGC DES MÉDIA DANS LA PLAINTE SUSVISÉE IRA JUSQU’AU BOUT ET DÉMONTERA LES UNS APRES LES AUTRES,  LES PATHÉTIQUES DÉNÉGATIONS DE CELLES ET CEUX QUI DEVRONT REPONDRE DE LEURS ACTES.

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Un texte voté discrètement qui remet gravement en cause les règles de la Démocratie avec un délai de prescription en matière de diffamation qui passerait de 3 mois à 1 an !

Un texte voté discrètement qui remet gravement en cause les règles de la Démocratie avec un délai de prescription en matière de diffamation qui passerait de 3 mois à 1 an ! (*)

Début février, Rachida Dati déclarait « Le wokisme est devenu une politique de censure et je ne suis pas pour la censure ». La ministre de la Culture du gouvernement Attal devrait donc pouvoir mettre en pratique ses déclarations et stopper « le démantèlement de la loi de 1881 sur la presse ».

En effet, après que les sénateurs ont adopté, en octobre 2023, un amendement déposé conjointement par la sénatrice LR Catherine Di Folco et le groupe socialiste qui prévoit « le rallongement de la prescription du droit de la presse »mercredi 7 février, les députés en ont débattu dans l’Hémicycle en 10 minutes comme le révèle Mediapart.

L’article 2 bis de cette proposition prévoit que pour les délits de diffamation ou d’injure publique contre un élu ou une personne dépositaire de l’autorité publique, le délai de prescription sera porté de trois mois à un an, faisant ainsi une loi d’exception quasiment pour les seuls élus.

Si la députée Renaissance Violette Spillebout a souhaité la limiter aux seuls élus, locaux ou nationaux, et aux candidats à un tel mandat, la proposition enfonce un coin sans précédent dans le fragile équilibre de la loi de 1881 sur la liberté de la presse en France qui fait pourtant figure de modèle, jusqu’à la Cour européenne des droits de l’Homme pour la défense de la liberté d’expression.

Cette modification substantielle d’une des lois les plus protectrices de la liberté d’expression, de la liberté d’informer et d’être informé, en rallongeant de 9 mois le délai dès qu’il s’agit d’un mandat local ou national, interroge sur le traitement de l’actualité politique avec le risque de voir, durant un an, un élu ou un candidat pouvoir s’en prendre à un ou une journaliste ou à un éditeur de presse dès l'instant où les d’informations délivrée par un organe de presse auraient des conséquences sur la poursuite de son mandat

La liberté d’expression n’est pas négociable et les journalistes ont tout à fait le droit d’enquêter et de faire leur travail d’investigation, y compris celui de s’intéresser de près aux affaires politiques de ce Pays.

Le fait qu’une catégorie de citoyens « les éditeurs de presse et les journalistes » qui sont d’ailleurs aux manettes du pouvoir législatif pour beaucoup, soient systématiquement ciblés comme les éditeurs de presse et les journalistes qui depuis plus d’un siècle, peuvent avoir à rendre des comptes dans un délai 4 fois plus long devant les tribunaux, n’est pas acceptable.

Alors les rendez-vous des États généraux de l’information toujours en cours et que la participation citoyenne via des ateliers les participants croient encore que les éventuels propositions qu'ils feraient comme la demande d’une transparence accrue seraient retenu, peuvent constater qu' avec cette démarche des parlementaires  pour le moins choquante voire anticonstitutionnelle, ça commence bien !

Jeudi 8 février, si la rapporteuse du texte, Violette Spillebout a  annoncé qu’elle auditionnerait les syndicats de journalistes, leurs avocats et un représentant de l’Alliance de la presse d’information générale en table ronde avant la CMP, afin « d’entendre leur point de vue et de l’intégrer dans les arbitrages qui s’y feront », il n'est sûr du tout que cela bouge d'un iota la volonté de certains de faire adopter ledit texte !

Il suffirait que Rachida Dati réaffirme son opposition à cette forme de censure et annonce que le gouvernement n’est pas en demande d'une telle disposition pour mettre un terme à ce dangereux projet ! 

mardi 13 février 2024

Sibyle Veil exhibe ses tablettes de chocolat et Ernotte perd ses nerfs !

Sibyle Veil exhibe ses tablettes de chocolat  et Ernotte perd ses nerfs !

Décidément La Lettre fait fort…

Après avoir révélé sous la plume de Catherine Boullay « Le dessous de la note du festival de Cannes » puis ce lundi, rendu publique en lumière la plainte que maitre Pierre-Olivier Lambert qui avait définitivement fait condamné Carolis au Pénal en 1ère  instance puis en appel,  a déposé au nom de la CGC Média « Delphine Ernotte Cunci visée par une plainte pour ses frais de séjour sur la Croisette » (*), le titre de presse nous régale à nouveau avec la toute dernière de Sibyle Veil.

Apres le fameux Savane de Papy Brossard voici donc sous la plume d’Antoine Cariou cette fois-ci, les tablettes de chocolat de Tatie Sibyle… au moment même où l’ex-Orange sa supposée pote de la télé publique - de très loin, alors  -  perd ses nerfs face à la PLAINTE DU CHEF DE DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS ET D’ABUS DE CONFIANCE (FAITS PRÉVUS ET RÉPRIMÉS PAR LES ARTICLES 432-15 ET 314-1 DU CODE PÉNAL) DÉPOSÉE CONTRE ELLE ET CONTRE TOUS AUTEURS, COAUTEURS, COMPLICES, QUE L’ENQUÊTE DÉERMINERA

Extraits  de l’article que les salariés de Radio France n’ont pas trouvé dans leur revue de presse, elle n’était apparemment pas dispo ce jour-là !

« À Radio France, la tournée promotionnelle effectuée en interne par la PDG Sibyle Veil depuis la sortie mi-novembre de son essai "Au commencement était l'écoute" l'écoute devient quelque peu indigeste pour les journalistes…

Cinq interventions à la radio publique et d’autres à la télé publique [Le blog CGC Média comme il vient de la faire récemment pour la promotion sur France 5 de sa nouvelle Frebox par Xavier Niel l’un des patrons de Mediawan qui produit l’émission –  encore une exclusivité de La Lettre – devrait saisir également l’Arcom, ndlr]

Depuis cette parution, Sibyle Veil suit un chemin sinueux, oscillant entre discours d'entreprise et promotion personnelle.

Le jour de la sortie de l'ouvrage, l'énarque affirmait ainsi dans un mail envoyé à l'intégralité de Radio France que ses salariés l'avaient inspirée pour ce vibrant plaidoyer en faveur de la radio, les invitant à échanger avec elle s'ils le souhaitaient. 

L'ancienne conseillère d'État, qui profite notamment de son livre pour défendre ses cinq premières années à la tête de la radio publique, a ensuite bénéficié d'aimables invitations au micro de France Bleu, les 2 et 7 décembre, puis de France Inter pour La Librairie francophone, le 7 janvier, et Grand bien vous fasse !, le 31 janvier. L'émission Musique émoi sur France Musique lui consacrera également bientôt un numéro. L'ex-camarade d'Emmanuel Macron sur les bancs de l'École nationale d'administration (ENA) n'y bénéficiera toutefois pas d'un traitement de faveur, puisqu'elle prévoit de revenir sur l'épisode de ses vœux en 2020, marqués par un mouvement de protestation du chœur de Radio France en grève qui avait entonné le Chœur des esclaves de Verdi.

Sibyle Veil a par ailleurs répondu aux sollicitations de Brut, de France Télévisions, ainsi qu'à de nombreux titres de presse nationale…. 

Les recommandations du comité d'éthique

Les interventions sur les antennes de Radio France sont strictement encadrées par le comité indépendant d'éthique de la Maison ronde. Après avoir été sollicitée par la PDG, cette instance a indiqué que Sibyle Veil pouvait répondre favorablement aux invitations dans la mesure où le temps d'antenne qui lui était consacré pour promouvoir son ouvrage n'excédait pas "ce qui est usuel". Le président d'Arte, Bruno Patino, avait bénéficié d'une exposition similaire.

En 2022 cependant, dans le cas de la promotion de l'ouvrage de la journaliste Léa Salamé Femmes puissantes (Les Arènes / France Inter), la direction de France Inter avait précisé qu'un collaborateur de Radio France ne pouvait présenter lui-même son livre qu'une seule fois par antenne. À l'époque, Léa Salamé n'avait ainsi répondu qu'à une seule invitation, celle de La bande originale d'Inter, bien que la publication de son livre ait également été mentionnée en son absence par Nicolas Demorand lors de la matinale… »

Niveau promo Sibyle Veil ne s’est pas arrêtée là, nous explique le titre de presse, histoire d’allier le goût et l’écoute, elle pousse la promo de son livre jusqu'à des tablettes de chocolat.

« Comme à l'accoutumée, fin janvier, les salariés ont reçu des sucreries pour la nouvelle année. Mais sur l'emballage de la tablette de chocolat offerte par leur employeur, ils ont eu la surprise de découvrir une citation du philosophe grec Plutarque : "Le commencement de bien vivre, c'est de bien écouter".

La maxime, sélectionnée par le service de communication de Radio France, fait une nouvelle fois référence au livre publié par leur patronne aux Éditions de l'Observatoire. »

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