vendredi 20 janvier 2012

Et le prix de l’humour « noir » est décerné à Patrice Papet dans le cadre de ses vœux à France Télévisions.

Et le prix de l’humour « noir » est décerné à Patrice Papet dans le cadre de ses vœux à France Télévisions.

Cadeau d’anniversaire tout dans la retenue, la sobriété et la finesse pour Patrice Papet, à la veille de souffler demain ses 62 bougies, celui du prix de l’humour « noir », il convient de le préciser.

L’imprévisible Patrice Papet (qui le disait encore, il y a quelques jours, au Nouvel Obs « Franchement, je ne sais pas et je ne vois pas qui pourrait m’aider à prévoir….) le numéro 3, directeur général chargé des ressources humaines et de la communication à France Télévisions, jamais avare d’un mot drôle ou d’une formule à vous laisser vous gondoler de rire sur place, a fait très fort à l’occasion des vœux.

Le cadre : Une séance d’autocongratulation dont il a l’habitude comme d’ailleurs l’ensemble de l’équipe dirigeante.

L’auditoire : La quasi totalité des apparatchiks situés surtout dans les étages supérieurs du Siège et quelques collaborateurs triés sur le volet et invités à se rendre au « cérémonial »… évidemment, ce n’était pas une opération porte-ouverte (*)

(*) L’histoire nous apprendra que même parmi ces « happy few » présents, quelques uns ont trouvé choquante, vu le contexte, la blagounette de Patrice Papet…et se sont regardés dans l’assistance interloqués.

Inutile de garder le suspense plus longtemps, voici ce qui a été dit :

« Nous sommes à France Télévisions dans un beau paquebot qui a atteint sa pleine vitesse de croisière et le nôtre il ne coule pas ! »
Chacun a donc pu apprécier à quel autre « paquebot » Patrice Papet faisait allusion.
Il est comme ça, le dga/drh de France Télé, il a beau faire partie des salariés éligibles au départ en retraite (et lui sans la moindre décote puisque né au premier trimestre 1951) mais qui ne part pas pour ne pas donner l’exemple (il ne voudrait pas après qu’on dise qu’il ait pu quitter le navire…pour rester dans ses comparaisons !), pourtant il ne rate jamais une opportunité.

Comme quoi s’amuser quand les autres souffrent, ce n’est pas donné à tout le monde…il faut pouvoir et surtout oser.

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