Pflimlin et
Papet les hors la loi de la télé publique…le SNPCA-CGC annonce saisir la Justice dans le cadre d’une
procédure collective d’ampleur pour chaque salarié dont le contrat de travail
serait modifié unilatéralement.
Mardi 13 novembre 2012 dans une communication
mensongère dont la direction a l’habitude, relayée d’ailleurs par une note de
fo sur le soi-disant «accord d’entreprise FTV –
Volet emplois, classification et rémunération » et ses implications, Pflimlin
et Papet annoncent vouloir mettre
en application unilatéralement le texte non signé donc.
Pflimlin et Papet procèdent de la sorte pour tenter de masquer l’inertie
qu’ils ont largement développée depuis près de 3 ans sur ces pseudos négos
mais plus grave, la technique grosse comme une ficelle de plantage qu’ils
avaient en tête dès le départ.
Il convient juridiquement de redire
et redire ce que le blog CGC Média a déjà eu l’occasion de rappeler Papet et
Pflimlin qui sont tous deux hors la loi tout au long de l’année :
- tout d’abord, un accord est une convention conclue entre plusieurs parties, s’il n’y a qu’un partie, ce texte est réputé non écrit et n’a donc aucune existence légale ;
- ensuite, la direction ne peut TRANSPOSER UNILATÉRALEMENT quelque contrat de travail de tout salarié que ce soit, c’est illégal.
- tout d’abord, un accord est une convention conclue entre plusieurs parties, s’il n’y a qu’un partie, ce texte est réputé non écrit et n’a donc aucune existence légale ;
- ensuite, la direction ne peut TRANSPOSER UNILATÉRALEMENT quelque contrat de travail de tout salarié que ce soit, c’est illégal.
Alors ces bulletins d’information sur leur « nouveau système » avec 4 classifications et 11
niveaux par classifications qui peuvent le cas échéant se subdiviser, soit 44
paliers à franchir au minimum, à l’attention
de salariés inquiets qui contactent sans discontinuer le SNPCA-CGC – on le serait à moins –ce
sont des salades.
Papet a beau expliquer qu’il
n’y est pour rien que c’est une demande formelle des Tutelles dont il explique
pourtant en coulisses qu’il n’a que faire de l’avis, la loi est la loi et s’applique
à tous y compris au duo Pflimlin/ Papet.
Rappel de la loi :
Que le salarié soit sous contrat à durée déterminée ou
sous contrat à durée indéterminée, l’employeur
ne peut généralement pas lui imposer des changements substantiels dans son
contrat de travail comme rémunération, classification, etc… sans son accord.
En l’occurrence, depuis le 10 juillet 1996, la chambre sociale de la Cour de Cassation a même posé clairement une nouvelle
distinction entre les modifications du contrat de travail et les changements
des conditions de travail.
Les modifications du contrat de travail relèvent, comme le nom l'indique, du contrat de travail. De ce fait, l'employeur ne peut agir seul et il lui est nécessaire d'obtenir l'acceptation du salarié. C'est le cas notamment du changement de la rémunération ou du changement du temps de travail. (les conditions de travail peuvent, certes, ne pas être considérés comme faisant partie du contrat mais relevant du pouvoir de direction de l'employeur, dès l’instant où elles ne relèvent pas des A.I.A. Avantages Individuels Acquis qui en deviennent faut-il le redire partie intégrante)
Les modifications du contrat de travail relèvent, comme le nom l'indique, du contrat de travail. De ce fait, l'employeur ne peut agir seul et il lui est nécessaire d'obtenir l'acceptation du salarié. C'est le cas notamment du changement de la rémunération ou du changement du temps de travail. (les conditions de travail peuvent, certes, ne pas être considérés comme faisant partie du contrat mais relevant du pouvoir de direction de l'employeur, dès l’instant où elles ne relèvent pas des A.I.A. Avantages Individuels Acquis qui en deviennent faut-il le redire partie intégrante)
La menace permanente à l’adresse
des organisations syndicales et le chantage permanent auxquels se livrent le
trio Pflimlin/ Papet/Charles, n’a que trop duré…et l’on parle à présent du retour de Cécile Lefèvre partie depuis une paire
d’années sur TV5 qui revendrait à France Télé pour renforcer l’équipe de
négociateurs !!!! Voila surement qui devrait faire avancer le Schmilblick.
Que le tiercé ou le quarté de spécialistes de la casse sociale se rassurent, le SNPCA-CGC mettra en ouvre toute procédure collective ad hoc devant les Juridictions compétentes pour faire valoir le droit des salariés.
Que le tiercé ou le quarté de spécialistes de la casse sociale se rassurent, le SNPCA-CGC mettra en ouvre toute procédure collective ad hoc devant les Juridictions compétentes pour faire valoir le droit des salariés.
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