vendredi 27 septembre 2013

Pflimlin: démission.


L'article de Satellifax de ce vendredi  27 septembre (en fin de post) est probablement la énième goutte de trop à faire déborder le vase.

Pflimlin après s'être attaqué l'année dernière à Martine Martinel la courageuse députée PS en charge pour 2011 et 2012 du dossier  France Télé et fustigé son rapport, avec un communiqué  « Pour en finir avec certaines contre-vérités » - communiqué qui lui a valu de la députée PS parrorteure de la Commission une réponse étayée récusant point par point les attaques de l’intéressé avec les chiffres mêmes de France Télé – voila semble-t-il, qu'il s'en prend à présent au président du CSA Olivier Schrameck qui a sûrement dû apprécier.

Que nous apprend Satellifax ? Que "France Télévisions a adressé au CSA ses "observations" sur l'avis rendu par ce dernier relatif au projet d'avenant au COM 2013-2015 du groupe".

Ce fameux avis de 19 pages dont parle "Le Canard enchaîné" d'avant hier que "Marc El Nouchi, tout nouveau directeur général auprès d'Olivier Schrameck aurait [visiblement] voulu corriger en dernière minute, hors assemblée...soufflé par France Télé lui ayant soufflé d'adoucir le texte." (dixit )





Satellifax d'ajouter: "France Télévisions répond aux remarques et recommandations du CSA voire les contredits...en conestant surtout la méthode choisie par le CSA le jour où il a adopté son avis le 11 septembre, considérant qu'un échange approfondi et ciontradictoire en amont, aurait sans doute permis de lever certaines incompréhensions dont certaines donnent lieu à des appréciations négatives du Conseil"

Pour en finir avec les soi-disant "contre vérités " visant Martine Martinel et à travers elle le Parlement, pour éviter " certaines incompréhensions donnant lieu à des appréciations négatives " visant Olivier Schrameck et à travers lui les sages du CSA....pour en finir avec les auditions où la langue de bois marche à plein,  Pflimlin n'a plus aujourd'hui qu'une solution pour abréger son sacerdoce amis surtout pour que l'entreprise ait une petite chance de se relever:  la DÉMISSION






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